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mercredi 6 mars 2013

Hugo Chavez, la seconde vie de Bolivar

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  le 6 Mars 2013

Hugo Chavez, la seconde vie de Bolivar


                                 
                                  Hugo Chavez avec sa fille devant un portrait de Simon Bolivar
Les années ont passé, depuis que, jeune lieutenant, il lisait, dans sa caserne, les écrits de Marx et de Bolivar. Le « Comandante », élu président en 1998, puis réélu en 2000, 2006 et 2012, adulé par la classe populaire, a déchaîné la haine de l’opposition de droite, du patronat et des médias privés.
À l’extérieur, l’homme est qualifié de « populiste », de « bête noire » des États-Unis. Ses déclarations fracassantes ont souvent pris le dessus sur le fond de ses discours. Pariant sur le socialisme à l’époque du capitalisme triomphant, les campagnes de dénigrement (antisémite, dictateur) n’ont pas tardé.
Soulèvement civico-militaire
Né en 1954, il fonde, en 1982, le Mouvement bolivarien révolutionnaire au sein des forces armées. En 1989, des milliers de pauvres protestent contre un plan d’ajustement structurel du FMI. Le Caracazo, la première révolte contre le néolibéralisme, tourne alors à la tragédie : 2 000 morts. Cet événement, un traumatisme dans la mémoire collective, motivera le soulèvement civico-militaire avorté de 1992 que Chavez conduit.
Politiques d'inclusion
Cet épisode scelle néanmoins une relation profonde avec le petit peuple qui s’identifie à ce métis, issu d’une famille pauvre, et qui le portera au pouvoir six années plus tard....
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