DSK arrive à bon porc
Jeudi 21 Février 2013 à 20:00 |
CHRISTINE LAMBERT - MARIANNE
La juriste-philosophe Marcela Iacub raconte sa liaison avec un homme qu’elle préfère qualifier de cochon. Dans le rôle de Babe : DSK. Mieux vaut en rire.
Tout le monde se pince le nez, écœuré, en approchant de la porcherie, mais ne boudons pas notre pervers plaisir : c’est sans doute le bouquin le plus risible et le plus délirant de ce début d’année. Dans Belle et Bête, Marcela Iacub tombe le masque de la juriste/philosophe/chroniqueuse tonitruante et se mue en Albert Londres sous couverture (et sous les draps), pour raconter sa liaison sept mois durant avec un cochon.
Détail savoureux : le porc en question était plutôt labellisé 100% grosse légume, ancien ministre, ancien directeur du FMI, ancien favori à l’Elysée – bien que ses péripéties à l’horizontale lui aient ces derniers temps fait perdre une certaine verticalité –, autrement dit Dominique Strauss-Kahn.
Les extraits sont publiés dans Le Nouvel Obs, sous une « une » un tantinet cochonne. Les 120 pages suivantes arriveront en librairie chez Stock le 27 février. Patience. Tout commence en janvier 2012, après l’affaire du Sofitel, quand Marcela Iacub prend la défense de DSK contre le déchainement du « féminisme punitif » dans un brûlot paresseux, Une société de violeurs ? Reconnaissants, Strauss-Kahn et son épouse se confondent en remerciements, chacun dans son style. Anne Sinclair lui offre de tenir – gratuitement – chronique sur le Huffington Post ; l’ex-ministre lui propose la botte. ...
Détail savoureux : le porc en question était plutôt labellisé 100% grosse légume, ancien ministre, ancien directeur du FMI, ancien favori à l’Elysée – bien que ses péripéties à l’horizontale lui aient ces derniers temps fait perdre une certaine verticalité –, autrement dit Dominique Strauss-Kahn.
Les extraits sont publiés dans Le Nouvel Obs, sous une « une » un tantinet cochonne. Les 120 pages suivantes arriveront en librairie chez Stock le 27 février. Patience. Tout commence en janvier 2012, après l’affaire du Sofitel, quand Marcela Iacub prend la défense de DSK contre le déchainement du « féminisme punitif » dans un brûlot paresseux, Une société de violeurs ? Reconnaissants, Strauss-Kahn et son épouse se confondent en remerciements, chacun dans son style. Anne Sinclair lui offre de tenir – gratuitement – chronique sur le Huffington Post ; l’ex-ministre lui propose la botte. ...
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