DSK à Marcela Iacub : "Ma vie a été une terrible erreur"
Créé le 20-02-2013 à 20h38 - Mis à jour le 21-02-2013 à 11h42
Dans "Belle et Bête", dont "le Nouvel Observateur" publie les premiers extraits en exclusivité, l'essayiste dresse un portrait de DSK, avec qui elle a eu une liaison, en "cochon sublime".
La défense des porcs
"Même au temps où ma passion était si fastueuse que j’aurais échangé mon avenir contre une heure dans tes bras je n’ai jamais cessé de te voir tel que tu étais : un porc. C’est ma compassion pour ces animaux si dénigrés qui a éveillé mon intérêt pour toi. Tu étais le grand persécuté, le bouc émissaire.
Je me suis sentie obligée de prendre ta défense pour dire : "Les porcs ont le droit d’être des porcs. Une société qui met ces créatures en prison aux seuls motifs qu’ils ont des goûts propres à leur espèce n’est pas une société libre et juste." […]
"Tu te comportais comme un méchant porc. Tu n’étais plus la victime de la société mais mon agresseur, mon bourreau. Je me disais : 'A quoi bon continuer de le traîner de tribunal en tribunal, de viol en viol ? Il serait plus utile transformé en jambon. Il pourrait nourrir les contribuables au lieu de leur coûter tant d’argent'."
L'Elysée, boîte échangiste
"Voilà ta véritable faute, ton unique faute impardonnable. Tu as prétendu que tu étais prêt à donner ton sang pour la patrie quand en vérité tu te serais servi de cette patrie pour verser ton sperme inépuisable....
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