Il y a 70 ans, l’armée Soviétique libérait le camp d’Auschwitz
Les soviétiques stoppèrent l’invincibilité de Allemands
, par mardi 27 janvier 2015
Il y a 70 ans ce 27 janvier 2015, les soldats et officiers de l’Armée Rouge Soviétique libéraient le camp de la mort d’Auschwitz mis au point par les Nazis.
Si l’Armée Soviétique put libérer ce camp et d’autres, c’est d’abord parce que le gouvernement Soviétique de l’époque a mis en oeuvre une stratégie qui permit à son armée et à son peuple de mettre fin, pour la première fois, à la guerre éclaire menée par les Nazis et leurs alliés Italiens, Croates, Hongrois, Roumains Japonais.
Les démocraties occidentales s’étaient effondrées devant Hitler et avaient souvent collaboré avec lui en lui donnant un véritable trésor de guerre pris sur le dos de leurs peuples. Il fut aussi des bourgeoisies qui pour leurs affaires, préférèrent Hitler au Front Populaire !
Pourtant les moyens Allemands déployés sur le front Est dans le cadre de l’opération ’Barbarossa" étaient colossaux. Pour les dignitaires nazis, les slaves étaient des sous hommes et ils voulaient coute que coute faire disparaitre le communisme.
L’Armée Rouge était encore en 1940 victime de l’arriérisme hérité du Tsarisme. Il était donc vitale pour les dirigeants Soviétiques de retarder le plus possible la guerre qu’ils savaient inévitable, pour transporter les usines d’armement à l’est de l’Oural et d’engager une course vitale dans la fabrication de matériel moderne et adapté.
Ce qui fut fait avec la production en masse du char Soviétique T34, mais aussi avec d’autre matériel de terre, de mer et d’air. Sans compter des vétements et des rations adaptés au terrible hiver Russe pour les soldats et officiers, ce que les Allemands, aveuglés par leur orgueil n’avait pas cru devoir faire.
Après avoir beaucoup reculé, l’Armée Rouge, aidée par des partisans tint bon. Ses premières victoires décives furent la bataille de Moscou, celle de Koursk, de Stalingrad et de Léningrad.
1943 fut, grâce à la stratégie du gouvernement Soviétique mis en oeuvre par l’Armée Rouge, le tournant de la guerre.
Grâce aux Soviétiques, le reste du monde découvrit que les Allemands n’étaient plus invincibles. Dès lors, l’armée Rouge entreprit la poursuite des Allemands jusqu’à Berlin.
C’est sur leur très longue route qu’ils libérèrent différents camps de la mort, dont celui d’Auschwitz. Lorsqu’ils entrèrent dans le camp, les soldats et officiers Soviétiques ne pouvaient imaginer une telle horeur. Ils aidèrent comme ils purent les survivants. De nombreux médecins militaires Soviétiques furent réquisitionnés pour apporter des soins adaptés aux survivants et témoigner de l’horreur Nazie.
Une horreur qui était le fruit de la crise du capitalisme de 1929 qui portat de nombreux régimes d’extrême droite au pouvoir en Europe.
Pour dissmuler la responsabilité des capitalistes dans cette crise, il fallait des boucs émissaires : à cette époque ce furent les juifs.
Aujourd’hui, la même crise du capitalisme amène les extrêmes droites aux portes du pouvoir. Aujourd’hui, les boucs émissaires pour dissimuler les vrais responsables sont les magrhèbins, les Roms et plus généralement les "étrangers".
Pour combattre l’extrême droite, il faut combattre la crise, et donc le capitalisme. Nous avons besoin de lucidité et surtout pas "d’union sacrée"
Michel Drapet
Si l’Armée Soviétique put libérer ce camp et d’autres, c’est d’abord parce que le gouvernement Soviétique de l’époque a mis en oeuvre une stratégie qui permit à son armée et à son peuple de mettre fin, pour la première fois, à la guerre éclaire menée par les Nazis et leurs alliés Italiens, Croates, Hongrois, Roumains Japonais.
Les démocraties occidentales s’étaient effondrées devant Hitler et avaient souvent collaboré avec lui en lui donnant un véritable trésor de guerre pris sur le dos de leurs peuples. Il fut aussi des bourgeoisies qui pour leurs affaires, préférèrent Hitler au Front Populaire !
Pourtant les moyens Allemands déployés sur le front Est dans le cadre de l’opération ’Barbarossa" étaient colossaux. Pour les dignitaires nazis, les slaves étaient des sous hommes et ils voulaient coute que coute faire disparaitre le communisme.
L’Armée Rouge était encore en 1940 victime de l’arriérisme hérité du Tsarisme. Il était donc vitale pour les dirigeants Soviétiques de retarder le plus possible la guerre qu’ils savaient inévitable, pour transporter les usines d’armement à l’est de l’Oural et d’engager une course vitale dans la fabrication de matériel moderne et adapté.
Ce qui fut fait avec la production en masse du char Soviétique T34, mais aussi avec d’autre matériel de terre, de mer et d’air. Sans compter des vétements et des rations adaptés au terrible hiver Russe pour les soldats et officiers, ce que les Allemands, aveuglés par leur orgueil n’avait pas cru devoir faire.
Après avoir beaucoup reculé, l’Armée Rouge, aidée par des partisans tint bon. Ses premières victoires décives furent la bataille de Moscou, celle de Koursk, de Stalingrad et de Léningrad.
1943 fut, grâce à la stratégie du gouvernement Soviétique mis en oeuvre par l’Armée Rouge, le tournant de la guerre.
Grâce aux Soviétiques, le reste du monde découvrit que les Allemands n’étaient plus invincibles. Dès lors, l’armée Rouge entreprit la poursuite des Allemands jusqu’à Berlin.
C’est sur leur très longue route qu’ils libérèrent différents camps de la mort, dont celui d’Auschwitz. Lorsqu’ils entrèrent dans le camp, les soldats et officiers Soviétiques ne pouvaient imaginer une telle horeur. Ils aidèrent comme ils purent les survivants. De nombreux médecins militaires Soviétiques furent réquisitionnés pour apporter des soins adaptés aux survivants et témoigner de l’horreur Nazie.
Une horreur qui était le fruit de la crise du capitalisme de 1929 qui portat de nombreux régimes d’extrême droite au pouvoir en Europe.
Pour dissmuler la responsabilité des capitalistes dans cette crise, il fallait des boucs émissaires : à cette époque ce furent les juifs.
Aujourd’hui, la même crise du capitalisme amène les extrêmes droites aux portes du pouvoir. Aujourd’hui, les boucs émissaires pour dissimuler les vrais responsables sont les magrhèbins, les Roms et plus généralement les "étrangers".
Pour combattre l’extrême droite, il faut combattre la crise, et donc le capitalisme. Nous avons besoin de lucidité et surtout pas "d’union sacrée"
Michel Drapet
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