Henri Guaino, hier
Claude Bartolone aujourd'hui. 
Et tant d'autres. À venir...
Le président de l'Assemblée nationale tonnedans le Figaro
C'est Claude Bartotonne !
Le titre entre guillemets est déjà tout un programme: "Claude Bartolone : 'Les députés ne doivent pas être jetés en pâture'".
Ça commence fort.
Mais plongeons-nous dans l'interview, après tout, on n'est jamais à l'abri d'une surprise. 
Même bonne !
Ah... Mince... 
Dès la première réponse, à la troisième phrase, c'est déjà foutu, plié...
"Le président de la République a annoncé de bonnes mesures, notamment pour lutter contre la fraude fiscale et la délinquance financière. C'était indispensable. Mais je vais être franc, je suis réservé quant à la publication du patrimoine des élus. La dérive individuelle de M. Cahuzac ne doit pas déboucher sur une culpabilité collective. Je mets en garde contre toute initiative qui viendrait alimenter le populisme. Déclarer, contrôler, sanctionner, c'est de la transparence. Rendre public, c'est du voyeurisme. L'émotion d'un moment ne doit pas aboutir à ce que les députés soient jetés en pâture. La France compte des milliers d'élus. Des gens modestes, honnêtes, qui travaillent parfois bénévolement, font des sacrifices. Ne leur faisons pas payer la faillite morale d'un homme. Le Parlement aura à dire son mot sur ce texte".
Bon vah voilà, la messe est dite non ?
Le président de l'Assemblée a enterré l'essentiel et déroulé tranquillou, pépère, l'argumentaire implacable du FEO
Fermez le ban ! Bam ! (Ban qui se ferme).
Plaît-il ?
Vous ne connaissez pas le FEO ?
Le Front des Élus Outragés ?
Eh bien, il va falloir vous préparer à la suite. Non pas à la Suisse! Ne soyez pas taquins!...
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