SOCIAL-ECO - le 29 Janvier 2013
Des centaines de salariés de PSA, Sanofi et Virgin, des Champs-Elysées à l’Assemblée
Les Sanofi ont réponduy présent ! Photo Facebook des Licenci'elles
Plusieurs centaines de salariés de PSA, Sanofi, ex 3 Suisses ou Virgin se sont rassemblés mardi à la mi-journée à Paris devant le magasin emblématique du Virgin des Champs-Elysées. Soutenus par le Front de gauche, le cortège est passé par le ministère du Travail, jusqu’à l’Assemblée nationale pour réclamer une loi contre les licenciements boursiers.
Des banderoles de chacune des entreprises disaient entre autres "Sanofi-Sanofric" ou "Butler menteur", en référence à l'actionnaire majoritaire de Virgin considéré par les salariés comme "principal responsable de la situation", c'est-à-dire la mise en redressement judiciaire du groupe. Une grande banderole flanquée d'un "Non à la fermeture de PSA Aulnay" était aussi brandie à l'entrée du magasin phare de Virgin sur les Champs-Elysées.
Les salariés de Virgin se sont mobilisés en masse, avec de 500 à 600 travailleurs du distributeur de biens culturels dans la rue, selon les syndicats. "On est tous en lutte aujourd'hui contre les pratiques de voyous", a dénoncé Guy Olharan, délégué CGT du groupe Virgin, placé le 14 janvier en redressement judiciaire assorti d'une période d'observation de quatre mois par le tribunal de commerce de Paris.
Les salariés de Virgin se sont mobilisés en masse, avec de 500 à 600 travailleurs du distributeur de biens culturels dans la rue, selon les syndicats. "On est tous en lutte aujourd'hui contre les pratiques de voyous", a dénoncé Guy Olharan, délégué CGT du groupe Virgin, placé le 14 janvier en redressement judiciaire assorti d'une période d'observation de quatre mois par le tribunal de commerce de Paris.
Des salaries de Goodyear, Sanofi, PSA, Valeo, Faurecia, Bigard, Pilpa, Fralib, Ford, Crédit Agricole, ZF, Haribo, Coca-Cola, Merck, Samsonite, Sodimedical… Avec Goodyear et Valeo, ils étaient nombreux à venir d’Amiens ce mardi. Des Sanofi sont eux venus depuis Toulouse. Un salarié de Candia venu de la Sarthe -entreprise dont trois sites et 313 emplois sont menacés- a expliqué être venu "soutenir des salariés de tous ces groupes qui sont en train de nous licencier". A l’appel des Licenci’elles, ils manifestent pour demander "une vraie sécurisation de l'emploi" qui passe par une loi contre les licenciements dans les groupes qui font du profit. ..
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