UKRAINE : Déclaration commune du PRCF, R. Cercles Communistes, Faire Vivre et Renforcer le PCF, Rouge Vifs Midi, Gauche Communiste
Oleh Tyahnybok, chef du Parti Svoboda.
L’Ukraine est aux portes de la guerre civile sous influence étrangère, selon un schéma que les conjurés de l’ALLIANCE ATLANTIQUE ont déjà expérimenté tragiquement en Syrie.
Le conflit qui ensanglante Kiev a été sciemment allumé par les partisans d’un projet qui vise à annexer l’Ukraine à l’UE et à l’OTAN, comme l’ont déjà été, depuis l’éclatement de l’URSS et du camp socialiste, les pays de l’Est et une partie de l’ex-Union soviétique (les pays baltes) ; les impérialistes occidentaux savent bien évidemment qu’un tel projet est inacceptable pour la Russie dont le territoire est de plus en plus encerclé par l’OTAN et par les bases américaines, de la Baltique à l’Asie centrale.
Malgré la présentation scandaleusement partiale qui en est faite par les médias occidentaux, les forces qui attisent le conflit ukrainien à coups d’ingérence (présence permanente et propos incendiaires des représentants de l’UE et des Etats-Unis d’Amérique aux mobilisations factieuses de l’ « opposition ») n’ont rien à voir avec la démocratie ; il s’agit notamment :
L’UE fait aujourd’hui semblant de vouloir « apaiser » la situation. La réalité est que ce pompier est un pyromane international dont les peuples doivent voir à temps la nature de classe réactionnaire, impérialiste, contre-révolutionnaire et fascisante de l’EMPIRE EURO-ATLANTIQUE en construction.
On savait déjà, par les politiques d’austérité et de délocalisation industrielle, que l’UE, ce n’est pas la prospérité mais la misère de masse, le chômage, les inégalités explosives. On savait aussi, par le viol systématique de la volonté populaire exprimée par référendum, que l’UE est le contraire d’un espace démocratique. On voit maintenant, après le tragique épisode des Balkans, avec l’exemple ukrainien que l’UE n’est pas l’espace de paix que ses promoteurs ont vanté, mais peut être un appui de la guerre civile et soutenir des forces fascistes. Déjà, dans le silence de nos médias « démocratiques », des BHL et autres pseudo-philosophes, les forces soutenues par l’UE en Ukraine persécutent et interdisent le parti communiste ukrainien et le parti des régions qui s’opposent aux putschistes.
Cela ne signifie en rien qu’il faille soutenir politiquement le régime de Poutine en Russie. Nous sommes naturellement solidaires des communistes russes qui restent les défenseurs les plus conséquents de la paix et de l’indépendance nationale dans leur pays. Il ne s’agit pas de soutien politique mais de lutte anti-impérialiste et de défense du droit de tous les peuples d’Europe et du monde au droit élémentaire à disposer d’eux-mêmes. Il s’agit d’empêcher l’étranglement programmé des peuples ukrainien, biélorusse et russe auxquels les Français doivent tant (« les Français savent que la Russie soviétique a joué le rôle principal dans leur libération », De Gaulle, 1966). Il s’agit de contrer la marche à la guerre mondiale. Il s’agit de faire échec à la fascisation rampante ou galopante du sous-continent européen.
C’est pourquoi les mouvements communistes signataires déclarent :
Les communistes seront au premier plan de la lutte pour la paix et la solidarité internationale et ils lieront, plus que jamais, ce positionnement à la dénonciation radicale de l’UE et de l’OTAN dans l’esprit du texte produit parles Assises du communisme et publié en septembre 2013.
Déclaration à retrouver sur le site web du PRCF www.initiative-communiste.fr
Le conflit qui ensanglante Kiev a été sciemment allumé par les partisans d’un projet qui vise à annexer l’Ukraine à l’UE et à l’OTAN, comme l’ont déjà été, depuis l’éclatement de l’URSS et du camp socialiste, les pays de l’Est et une partie de l’ex-Union soviétique (les pays baltes) ; les impérialistes occidentaux savent bien évidemment qu’un tel projet est inacceptable pour la Russie dont le territoire est de plus en plus encerclé par l’OTAN et par les bases américaines, de la Baltique à l’Asie centrale.
Malgré la présentation scandaleusement partiale qui en est faite par les médias occidentaux, les forces qui attisent le conflit ukrainien à coups d’ingérence (présence permanente et propos incendiaires des représentants de l’UE et des Etats-Unis d’Amérique aux mobilisations factieuses de l’ « opposition ») n’ont rien à voir avec la démocratie ; il s’agit notamment :
- En Ukraine, des fascistes et des antisémites patentés du parti national-socialiste ukrainien rebaptisés « Liberté » (Svoboda) ; ces nostalgiques du Reich, qui veulent régler leur compte aux communistes ukrainiens, en découdre avec la Russie, réduire à l’esclavage la classe ouvrière minière russophone de l’Est, amener de force l’Ukraine dans le giron de l’Europe impériale, comme l’avaient fait leurs précurseurs « collaborateurs » des années 40/45 ;
- Les vrais chefs de file de l’insurrection réactionnaire sont en fait l’UNION EUROPEENNE impérialiste, l’OTAN et l’UNION TRANSATLANTIQUE en construction derrière l’AXE WASHINGTON-BERLIN. La classe dominante « française », MEDEF en tête, est partie prenante de ce projet impérialiste global, comme le montre en filigranes le manifeste « BESOIN D’AIRE » adopté par le MEDEF fin 2011.
L’UE fait aujourd’hui semblant de vouloir « apaiser » la situation. La réalité est que ce pompier est un pyromane international dont les peuples doivent voir à temps la nature de classe réactionnaire, impérialiste, contre-révolutionnaire et fascisante de l’EMPIRE EURO-ATLANTIQUE en construction.
On savait déjà, par les politiques d’austérité et de délocalisation industrielle, que l’UE, ce n’est pas la prospérité mais la misère de masse, le chômage, les inégalités explosives. On savait aussi, par le viol systématique de la volonté populaire exprimée par référendum, que l’UE est le contraire d’un espace démocratique. On voit maintenant, après le tragique épisode des Balkans, avec l’exemple ukrainien que l’UE n’est pas l’espace de paix que ses promoteurs ont vanté, mais peut être un appui de la guerre civile et soutenir des forces fascistes. Déjà, dans le silence de nos médias « démocratiques », des BHL et autres pseudo-philosophes, les forces soutenues par l’UE en Ukraine persécutent et interdisent le parti communiste ukrainien et le parti des régions qui s’opposent aux putschistes.
Cela ne signifie en rien qu’il faille soutenir politiquement le régime de Poutine en Russie. Nous sommes naturellement solidaires des communistes russes qui restent les défenseurs les plus conséquents de la paix et de l’indépendance nationale dans leur pays. Il ne s’agit pas de soutien politique mais de lutte anti-impérialiste et de défense du droit de tous les peuples d’Europe et du monde au droit élémentaire à disposer d’eux-mêmes. Il s’agit d’empêcher l’étranglement programmé des peuples ukrainien, biélorusse et russe auxquels les Français doivent tant (« les Français savent que la Russie soviétique a joué le rôle principal dans leur libération », De Gaulle, 1966). Il s’agit de contrer la marche à la guerre mondiale. Il s’agit de faire échec à la fascisation rampante ou galopante du sous-continent européen.
C’est pourquoi les mouvements communistes signataires déclarent :
- Leur solidarité totale avec les communistes ukrainiens dans leur lutte pour la démocratie, la paix civile, l’entente entre les peuples de l’est et de l’ouest du sous-continent européen.
- Leur condamnation totale de l’intervention impérialiste de l’UE, des Etats-Unis, et du gouvernement « socialiste » de France dans les affaires intérieures de l’Ukraine.
Les communistes seront au premier plan de la lutte pour la paix et la solidarité internationale et ils lieront, plus que jamais, ce positionnement à la dénonciation radicale de l’UE et de l’OTAN dans l’esprit du texte produit parles Assises du communisme et publié en septembre 2013.
Déclaration à retrouver sur le site web du PRCF www.initiative-communiste.fr
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