La crise syrienne et la déroute de François Hollande
vendredi 27 septembre 2013
Fin août, une intervention militaire des Etats-Unis et de la France contre la Syrie semblait imminente, annoncée comme telle par les gouvernements américain et français. Hollande et Fabius étaient bien plus virulents qu’Obama. Il fallait « punir » le régime syrien pour l’utilisation d’armes chimiques. Des innocents, des femmes et des enfants avaient été tués. Les preuves étaient accablantes et ne laissaient aucun doute quant à la culpabilité du régime. La France allait donc prendre ses responsabilités. Le président français voulait que l’attaque ait lieu rapidement, sans attendre davantage de vérifications sur place et avant l’ouverture de la nouvelle session parlementaire du 4 septembre dernier.
Aujourd’hui, Monsieur Hollande chante une tout autre chanson. Les frappes « indispensables » n’ont toujours pas eu lieu et ne semblent plus être à l’ordre du jour dans un avenir prévisible. Le « devoir sacré » de punir la Syrie a été mis de côté. Une attaque occidentale contre la Syrie n’est pas définitivement exclue. Toutes sortes de retournements sont encore possibles. Mais quoi qu’il en soit, ceux de ces dernières semaines en disent long sur l’affaiblissement de la position mondiale de l’impérialisme français et sur la véritable nature du gouvernement « socialiste » de François Hollande....
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