<<Retraités n oubliez pas le mépris de macron a votre égard allez voter aux européennes, pour qui vous voulez peu importe , mais votez pour virer son parti de nantis pourris arrivistes et opportunistes !!>> Pour le vote mon choix reste l'Insoumission (BV)
<<Et surtout grace a la mafia que l'on appelle pudiquement "" les partenaires sociaux "" .Tous les syndicats complices de l'état et du patronat ( sauf la CGT et Solidaire ) qui se sont entendus au printemps 2013, en effet, pour bloquer toute revalorisation des retraites des pensionnés privés de la CNAV et de leurs complémentaires, alors après la CSG, on peut s'attendre au pire !?>>
<<les retraités d'aujourd'hui étatient les actifs d'hier.il ont cotisés pour les retraités et maintenant c'est la double peinepas de revalorisation mais une amputation du pouvoir d'achat.les problèmes économiques sont bien le fruit des décisions prisent et a prendre par nos "élites",nos grands patrons" et des "actionaires".mais pour eux pas de problème.tout partis confondus..ne tirez pas trop sur la ficelle.même si en france nous vivons correctement mais çà régrèsse.il ne faudra pas s'étonner si çà dégénère un jour.a bon entendeur.>>
<<Retraités, rien n'est fait pour que vous viviez !!! cela se saurait. Vos pensions diminuent, l'Ehpad devient inabordable, de plus on vous y fait mourir lentement mais surement, on vous accuse d'être toujours malade, d'être assisté à longueur de journée, il nous faut vous distraire, entretenir votre mobilité et vos neurones.Retraités vous êtes des boulets dans cette société digitale, de startups dynamiques .....Signé un vieux au bord de l'état végétatif !!!!>>
<<ce n'est pas pour rien que Macron était le conseiller économique puis ministre à Bercy de Hollande et ce n'est pas fini !! merci aux doux rêveurs de 2017 qui croyaient que le rêve pouvait seul conduire le destin d'un pays>>
<<Merci Monsieur Macron, je suis retraité et bien entendu frappé par l'augmentation de la CSG, je suis encore pénalisé par vos petits calculs, je n'ai pas voté pour vous préférant de loin une augmentation de la TVA que de la CSG et j'ai aussi horreur des financiers. J'espère que lors des prochaines élections vous et votre parti d'incapables prendront non pas une veste mais un costume trois pièces complets.>>
https://finance.orange.fr
Retraites : peu ou pas de revalorisations à espérer avant janvier 2019
Boursier.com, publié le jeudi 23 août 2018 à 15h32
L'inflation est de retour. De quoi laisser entrevoir une revalorisation des retraites. Ceci étant, les retraités n'ont rien à attendre à très court terme.
Régime de base
Certains l'ont peut-être oublié, mais les retraites du régime général ne sont plus revalorisées au 1er octobre. Un article de la dernière loi de financement de la sécurité sociale an en effet décalé les revalorisations au 1er janvier. Principal argument mis en avant par l'exécutif : la date de revalorisation des retraites est désormais alignée avec celle d'autres prestations, simplifiant le système. Rappelons tout de même que ce décalage de trois mois permettra au passage d'alléger les dépenses de l'Etat de 380 millions d'euros en 2018.
Bref, les retraités devront patienter jusqu'en janvier pour voir leur pension de base suivre le rythme de l'inflation. Cette revalorisation sera assise sur l'inflation moyenne (hors tabac) constatée au cours des douze derniers mois. Au vu des projections actuelles, l'augmentation pourrait donc se situer entre 1,2% et 1,9%.
Régime complémentaire
D'ici là, les bénéficiaires de régimes complémentaires pourront se tourner vers les annonces de l'Agirc-Arrco. De fait, la date de revalorisation est ici fixée au 1er novembre.
Le retour de l'inflation aura toutefois un impact limité sur les prestations complémentaires car l'accord de 2015 prévoit des revalorisations annuelles au niveau de l'inflation (prévision de l'Insee pour l'année en cours) moins 1 point.
Dans sa note de conjoncture de juin, l'Insee tablait sur une inflation hors tabac de 1,6% cette année. En l'absence d'évolution majeure, les retraites complémentaires pourraient donc être rehaussées d'environ 0,6%.
Un décalage pénalisant
Les retraités vont donc continuer à faire les frais du retour de l'inflation en fin d'année. Ceci tient bien entendu aux règles adoptées (minoration à l'Agirc-Arrco), ainsi qu'à un effet de décalage.
Les revalorisations des prestations de base étant assises sur l'inflation passée, les retraites ne peuvent être relevées qu'après coup. A l'inverse, ce mode de calcul est plus favorable aux retraités lorsque l'inflation diminue.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire