Départementales : le PS rame pour boucler ses listes
Par Éric Hacquemand | LeParisien.frLeParisien.fr/Éric Hacquemand - Le Parti socialiste peine à trouver assez de candidats pour défendre ses couleurs dans les 2 074 cantons français, sachant que depuis le redécoupage électoral de 2013 il faut
Fragilisé par de sombres pronostics, le Parti socialiste est contraint dans certains cantons de faire appel à des volontaires et des non-adhérents pour les élections des 22 et 29 mars prochains.
Fini le temps où le PS était considéré comme une machine à gagner des mandats. Alors que les élections départementales des 22 et 29 mars prochains approchent à grands pas, le PS peine à trouver des candidats dans certains cantons et en appelle aux volontaires pour défendre ses couleurs devant les électeurs. Mais les sombres pronostics ne suscitent guère de vocations...
En Moselle, le patron des socialistes locaux s'est fendu d'une lettre de relance à ses adhérents pour, écrit Jean-Pierre Liouville, « ajuster les manques de candidatures dans les cantons où il n'y a personne à ce jour et compléter les autres ». Et le responsable socialiste de reconnaître « les interrogations sur tel ou tel aspect de la politique gouvernementale » mais, poursuit-il, « il ne faut pas baisser les bras ».
Le découragement n'est pas seul en cause, alors que selon les pronostics de l'Assemblée des départements de France (ADF) le PS pourrait ne garder qu'une vingtaine de départements (sur 49 actuellement) à l'issue du scrutin. « Il y a certes des doutes sur la politique actuelle », reconnaît Pascal Usseglio, le chef de file des socialistes du Loir-et-Cher, qui rame dans 5 cantons sur 15, « mais c'est difficile aussi de susciter des vocations quand on ne sait toujours pas quelles compétences auront demain les départements. C'est donc le parcours du combattant ».
Outre la Moselle et le Loir-et-Cher, le PS est confronté aux mêmes difficultés dans les Hautes-Alpes, le Loiret... Sans compter, explique Claudy Lebreton, le président de l'ADF, « qu'il faut désormais quatre candidats par canton » (deux titulaires et deux suppléants, lire les repères) même si, en raison du nouveau découpage électoral, il y a moins de cantons qu'auparavant (2 074 (...) Lire la suite sur LeParisien.frPéages : le gouvernement veut des tarifs plus avantageux pour les véhicules propres
Sondage : Le Pen, Thévenoud, Macron et Sarkozy ont marqué 2014
Décès de Jean-Yves Dusserre, président du conseil général et sénateur des Hautes-Alpes
Elysée : Philae, labrador de compagnie de François Hollande
Hollande y croit plus que jamais
En Moselle, le patron des socialistes locaux s'est fendu d'une lettre de relance à ses adhérents pour, écrit Jean-Pierre Liouville, « ajuster les manques de candidatures dans les cantons où il n'y a personne à ce jour et compléter les autres ». Et le responsable socialiste de reconnaître « les interrogations sur tel ou tel aspect de la politique gouvernementale » mais, poursuit-il, « il ne faut pas baisser les bras ».
Le découragement n'est pas seul en cause, alors que selon les pronostics de l'Assemblée des départements de France (ADF) le PS pourrait ne garder qu'une vingtaine de départements (sur 49 actuellement) à l'issue du scrutin. « Il y a certes des doutes sur la politique actuelle », reconnaît Pascal Usseglio, le chef de file des socialistes du Loir-et-Cher, qui rame dans 5 cantons sur 15, « mais c'est difficile aussi de susciter des vocations quand on ne sait toujours pas quelles compétences auront demain les départements. C'est donc le parcours du combattant ».
Outre la Moselle et le Loir-et-Cher, le PS est confronté aux mêmes difficultés dans les Hautes-Alpes, le Loiret... Sans compter, explique Claudy Lebreton, le président de l'ADF, « qu'il faut désormais quatre candidats par canton » (deux titulaires et deux suppléants, lire les repères) même si, en raison du nouveau découpage électoral, il y a moins de cantons qu'auparavant (2 074 (...) Lire la suite sur LeParisien.frPéages : le gouvernement veut des tarifs plus avantageux pour les véhicules propres
Sondage : Le Pen, Thévenoud, Macron et Sarkozy ont marqué 2014
Décès de Jean-Yves Dusserre, président du conseil général et sénateur des Hautes-Alpes
Elysée : Philae, labrador de compagnie de François Hollande
Hollande y croit plus que jamais
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire