Alors que la propagande nationale nous abreuve d'informations tout aussi inutiles les unes que les autres, hier, lors de l'acte XXIII des Gilets Jaunes, l'impensable s'est produit dans le pays qui se revendique comme celui des Droits de l'homme (cette bonne blague"): le bras armé de la macronnerie frappe, blesse puis interpelle avec violence les journalistes, indépendants ou non, afin de les empêcher de couvrir l'événement. Ceci, s'appelle tout simplement l'instauration d'une dictature. Un gouvernement qui commence à interpeler des journalistes, peut très bien mettre en taule pourquoi pas, les opposants à sa politique indigne, puis les artistes, puis tous les penseurs libres,ce qui exclut automatiquement les BHL et consorts à la solde d'un pouvoir corrompu, bien évidemment.
La France puante de Macron, est chaque jour plus insupportable d'injustice, de flicage, de matraquage et de censure, ce qui me fait cruellement penser aux années 20, quand un certain Hitler commençait à faire du grabuge dans une Allemagne en proie à une incertitude politique et qui usait des mêmes méthodes que la macronnerie: propagande outrancière, intimidation par la violence sur les journalistes, les opposants politiques, puis le peuple...
Evidemment, Macron n'est pas Hitler, car le petit moustachu teigneux était bien plus charismatique que l autre paillasse des lobbies, et Macron ne veut pas d'un régime basé sur le racisme le plus abject, mais l'instauration de la pleine puissance des multinationales incarnée par lui-même ce qui pour le coup, lui confère une certaine ressemblance malsaine à Mussolini. .
Aujourd'hui, comme le disait le philosophe canadien (dont je ne me rappelle plus le nom) intervenant dans le sublime reportage "Trump et le hold up des multinationales" (diffusé sur Arte il y a quelques temps) ce n'est pas Hitler qui a gagné la seconde guerre mondiale mais bel et bien Mussolini qui vantait le corporatisme où les intérêts privés des multinationales primaient sur celui de peuples. Ca tombe bien, ce monde à chier, est celui promu par Macron et toute sa clique de vandales.
Plus que jamais, nos libertés et la France que l'on aime sont menacées par les fous furieux qui la dirige, fous furieux qui sont les futurs dictateurs du monde à venir.
Aussi, la moutonnerie populacière peut toujours s'offenser lorsque les Gilets Jaunes scandent "suicidez-vous" aux flics, mais que penser de ce CRS qui se vantait devant les mêmes gilets Jaunes de se faire "500 euros par samedi" à casser du manifestant. Propagande infecte, parti pris dégueulasse et info biaisée par la propagande nationale, le mépris total affiché par l'élite crasseuse de ce pays à l'égard des gens qui soufrent à de quoi sérieusement nous inquiéter.
Rappelons que dans les années 20, en Allemagne, une bonne partie du peuple adhérait totalement aux propos du jeune Hitler et le soutenait malgré l'aberration du programme politique de ce fou illuminé qui a conduit à la perte son pays, puis l'Europe, puis le monde.
"Ceux qui ne peuvent se rappeler du passé sont condamnés à le répéter"... George Santayana (1863-1952).
https://www.20minutes.fr/…/
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