Europe Ecologie-Les Verts (EELV) se défend. Appelé par Jean-Marc Ayrault à
"sortir de l'ambiguïté" au lendemain des
violences et dégradations qui ont émaillé la mobilisation contre
Notre-Dame-des-Landes à Nantes, sa numéro un, Emmanuelle Cosse, dit avoir
"toujours dénoncé les actes de violence".
Dans un entretien à
Presse Océan publié dimanche 23 février, le Premier ministre tient des propos très offensifs :
"Ces violences sont inacceptables dans un Etat de droit. Tous ceux qui exercent des responsabilités publiques doivent condamner les squatteurs de la ZAD [zone d'aménagement différé dédiée à l'aéroport], organisateurs délibérés de ces violences", déclare-t-il. Dans son collimateur, Cécile Duflot, la ministre du Logement et ancienne patronne du parti écologiste, qui a
affirmé samedi dans un entretien au
Monde qu'elle aurait participé à la manifestation
"plutôt deux fois qu'une" si elle n'avait pas été ministre.
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