Chômage en hausse en Isère et en Savoie, stable en Haute-Savoie, en avril 2014
Les chiffres du chômage ont été publiés ce mercredi 28 mai. Comme dans toute la France, le nombre de demandeurs d'emploi progresse en Rhône-Alpes : + 0,3 % entre mars et avril 2014. Seule la Haute-Savoie est stable.
- Par Philippe Perrot
- Publié le 29/05/2014 | 11:47, mis à jour le 29/05/2014 | 11:47
Hausse du chômage en avril 2014, en Rhône-Alpes. Le nombre de demandeurs d'emploi de catégorie A progresse de 0,3%. Au total, ils seraient donc 309 163 à n'avoir exercé aucune activité le mois dernier (+ 925 chômeurs recensés), en hausse de 3,1% sur un an. Hausse enregistrée sur les départements de l'Isère et de la Savoie (entre + 0,2 et 1,3%). En Haute-Savoie, il y a stabilisation.
En mars, la hausse était de 0,8 % avec 308 238 demandeurs inscrits en région Rhône-Alpes.
En mars, la hausse était de 0,8 % avec 308 238 demandeurs inscrits en région Rhône-Alpes.
+ 1% pour les chômeurs de longue durée
Au total dans la région, pour toutes les catégories de chômeurs (A, B et C), le nombre de demandeurs d'emploi de longue durée atteint 463 576, soit 4590 de plus qu'au mois de mars.
Au niveau national, le chômage est reparti à la hausse en avril, atteignant 3.364.100 demandeurs d'emploi sans activité, un chiffre jamais atteint jusqu'ici. Après une stabilisation en mars, Pôle emploi a accueilli fin avril en métropole 14.800 nouveaux inscrits (+0,4%) en catégorie A (sans aucune activité).
Ces chiffres "reflètent la conjoncture observée en ce début d'année" et "appellent à la mobilisation générale pour la croissance et l'emploi", mais "ne dessinent pas encore la tendance du 2e trimestre" estime le ministère du Travail dans un communiqué.
Au niveau national, le chômage est reparti à la hausse en avril, atteignant 3.364.100 demandeurs d'emploi sans activité, un chiffre jamais atteint jusqu'ici. Après une stabilisation en mars, Pôle emploi a accueilli fin avril en métropole 14.800 nouveaux inscrits (+0,4%) en catégorie A (sans aucune activité).
Ces chiffres "reflètent la conjoncture observée en ce début d'année" et "appellent à la mobilisation générale pour la croissance et l'emploi", mais "ne dessinent pas encore la tendance du 2e trimestre" estime le ministère du Travail dans un communiqué.
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