Publiée le 15 nov. 2013
Certains politiques spéculent apparemment et de façon honteuse sur les capacités d'oubli des gens. Professeur des écoles moi-même, j'ai souvenir du temps récent où nombres d'entre elles, souvent citadines, plus préoccupées par la possibilité de bénéficier d'un week-end avec deux grasses matinées que du succès et du devenir de la scolarité de leurs enfants, exigeaient parents auprès des IDEN la suppression du samedi matin "pour convenances personnelles", longtemps refusée. Les enseignants d'alors, qui n'auraient rien eu contre pour leur bon plaisir, s'y sont toujours refusé (et soutenus par les parents, dans mon école du moins).
Et puis, les choses changèrent... les élèves ne vinrent plus le samedi matin, n'ayant plus 27 h de cours (les enseignants les devant toujours, et y venant souvent, eux)...
S'impose ici un nécessaire rappel... Enfant, j'avais à l'école trente heures de cours, dix demi-journées de trois heures, matin et après-midi, les lundi mardi, mercredi, vendredi et samedi... et oui, même le samedi-après-midi... qui me privait des matchs du tournoi des V nations... et j'y ai survécu, indemne... enfin, je crois.
Et puis, les choses changèrent... les élèves ne vinrent plus le samedi matin, n'ayant plus 27 h de cours (les enseignants les devant toujours, et y venant souvent, eux)...
S'impose ici un nécessaire rappel... Enfant, j'avais à l'école trente heures de cours, dix demi-journées de trois heures, matin et après-midi, les lundi mardi, mercredi, vendredi et samedi... et oui, même le samedi-après-midi... qui me privait des matchs du tournoi des V nations... et j'y ai survécu, indemne... enfin, je crois.
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