deuxcopainsdabord
Publiée le 17 nov. 2013
Commencent à faire chier, les Bretons ! Les vrais comme les faux...
Gavés de subventions européennes, hyper-pollueurs, producteurs avant tout d'algues vertes, de porcs et de poulets en batterie, les uns partant vers les pays musulmans, les uns et les autres vers nos estomacs (méritent-ils pareil sort indigne ? Euh... nos estomacs...), ils ont le monopole de l'artichaut breton, des crêpes, des fayots paimpolais, du cidre labellisé, du chouchen et du lisier... et je ne parle pas des ressources de la mer forcément nourricière, et "bien nourrie" (voir plus haut)...
Mais que dire de ces faux Bretons au beau nez rouge, marqués au front du signe du menhir national et fourrés de frais, qui sous leurs manteaux de "pauvres bêtes" à 3 000 euros le poil sont venus huer le président de la République le 11 novembre sur son parcours, souvent anonymement (comme la bouteille, le con n'est pas toujours con-signé)...
Bref, si les cons le démontrent dans la rue, c'est leur problème... je n'ai pas la tête près du bonnet.
Gavés de subventions européennes, hyper-pollueurs, producteurs avant tout d'algues vertes, de porcs et de poulets en batterie, les uns partant vers les pays musulmans, les uns et les autres vers nos estomacs (méritent-ils pareil sort indigne ? Euh... nos estomacs...), ils ont le monopole de l'artichaut breton, des crêpes, des fayots paimpolais, du cidre labellisé, du chouchen et du lisier... et je ne parle pas des ressources de la mer forcément nourricière, et "bien nourrie" (voir plus haut)...
Mais que dire de ces faux Bretons au beau nez rouge, marqués au front du signe du menhir national et fourrés de frais, qui sous leurs manteaux de "pauvres bêtes" à 3 000 euros le poil sont venus huer le président de la République le 11 novembre sur son parcours, souvent anonymement (comme la bouteille, le con n'est pas toujours con-signé)...
Bref, si les cons le démontrent dans la rue, c'est leur problème... je n'ai pas la tête près du bonnet.
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