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jeudi 4 décembre 2025

libération - Libé - À la une : Bernard et Antoine Arnault: succession saison 2 - Vendredi 5 décembre 2025

 

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Le 5 décembre 2025

Interview Le Parquet européen a mis au jour 51 milliards d’euros de fraudes : «On ne s’attendait pas à trouver un tel montant !»

Par Jean Quatremer

Frédéric Baab, procureur chargé de traquer les préjudices faits au budget communautaire, a été étonné par la somme des détournements identifiés depuis 2021, «sans aucune commune mesure» avec les affaires traitées au niveau français. Lire plus

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La newsletter food de Libé

Paris et sa banlieue ont ceci de merveilleux que l'on peut goûter à toutes les cuisines du monde presque aussi bien que dans leurs pays d'origine. Mais il y avait encore des oublis gustatifs, comme le dibi, la célèbre viande fumée malienne, dont il était quasiment impossible de retrouver le goût si caractéristique dans la capitale. Grâce à quelques restaurateurs et de nouvelles techniques, le tort est réparé et cela plaît beaucoup. Balla Fofana est allé à leur rencontre.

Dans un autre style, Kim Hullot-Huiot dresse le portrait de César Troisgros, élu cuisinier de l'année par le guide Gault et Millau. Et la semaine de «Tu Mitonnes» est aussi marquée par les nombreuses recettes intimes que vous nous avez partagées et dont nous publions une sélection. Encore merci et bon appétit ! 

 Reportage  «C’était un plaisir que je ne pouvais avoir qu’au Mali» : en région parisienne, les dibitiers font feu de tout bois

La viande emblématique du Mali connaît un engouement aux portes de la capitale, porté par une nouvelle génération de restaurateurs revendiquant l’authenticité d’une cuisson lente à l’étouffée.

 Lire l'article de Balla Fofana

 Le portait  César Troisgros, tombé dans la marmite

Chef étoilé sérieux et passionné, le fils de la grande famille de gastronomes a été sacré cuisinier de l’année 2026 par le Gault et Millau.

 Lire l'article de Kim Hullot-Guiot

«Le menu, c’était rien du tout. Il était archi simple. Je l’ai même enlevé à un moment, il n’y avait même plus de carte. Les gens savaient ce que je servais»

Davé, restaurateur chéri de la mode : «J’ai vu la gloire changer les gens mais je ne dévoile pas mes secrets»

 Lire l'article de Marie Ottavi

 Ma recette intime  La tarte danoise de Pierre : «C’est le chef-d’œuvre de ma grand-mère»

La cuisine est souvent une affaire de transmission, un patrimoine qui raconte une histoire. Dans cet épisode, la tarte meringuée de Pierre, héritée de sa grand-mère alsacienne.

 Lire l'article de Juliette Deborde

 Ma recette intime  Le navarin de langue d’agneau de Patrick : «Jacquot, il était drôle quand il parlait de ces chasses présidentielles»

Dans cet épisode, le plat un peu particulier de Patrick, associé à un ami garde forestier au domaine de Chambord.

 Lire l'article de Quentin Girard

Ça arrive à tout le monde ! Vous avez été victime d'une arnaque en ligne, et vous voulez la raconter pour protéger les autres et éviter de nouvelles victimes ? 

 Ecrivez-nous à vecu@liberation.fr

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 Les meilleures frites de Paris  Coquin dans le XXe arrondissement

Les puristes de la croustillance jugeront peut-être les frites de la brasserie-rôtisserie Coquin, située sous la rue Sorbier à deux pas du métro Ménilmontant, un poil molles. Mais on a été conquise, justement, par le côté tout en purée sous la croûte de ses frites maison, cuites, comme le veut la tradition, en deux fois : d’abord un blanchiment puis à l’huile végétale. Surtout, l’endroit est une perle de café du coin, qui accueille dans une ambiance conviviale toute la journée, du petit déj au petit dernier avant de retrouver Morphée. Outre le service toujours adorable, Coquin a récemment mis en place une formule déjeuner en semaine qui bat tous les records de rapport qualité-prix : entrée, plat et dessert pour 14 euros ! A ce tarif, on ne s’attend évidemment pas à de la bistronomie léchée, plutôt à une bonne cantine de quartier. Ce midi-là, on a opté pour un œuf-mayo, une cuisse dodue de poulet rôti sur place dans les rôtissoires placées juste en face du bar, servie avec un peu de mesclun et des frites fondantes, et une part de gâteau aux pommes avec de la crème chantilly. Avec un verre de vin et un café, on dépasse à peine la vingtaine d’euros, autant dire que l’offre est imbattable ces temps-ci dans la capitale. On peut aussi déguster les frites à l’apéro, avec une pinte à 5 euros en happy hour. K.H.-G.

 Lire l'intégralité du Top de Libé

Tu mitonnes, une newsletter hebdomadaire réalisée par le service Modes de vie de Libé

 
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