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mercredi 29 octobre 2025

PALESTINE - Gaza - Cisjordanie ..Le processus de Paix et le cessez- le feu déjà violé par Israël qui n'a pas mis fin à son entreprise génocidaire ! Mercredi 29 octobre 2025

 


                                                                                   




                      






                         

« Madame Albanese, vous êtes une sorcière. »
Le représentant d'Israel à l'ONU a traité la rapporteuse de l'ONU pour les territoire palestiniens occupés de sorcière.
La réponse de Mme Albanese :
« Soyez assuré que si jamais le pouvoir de jeter des sorts, je l'utiliserais pour arrêter vos crimes. »



                     



                     



                     



                     

🕊️ Chanter la liberté
Je suis Palestinien.
Ma voix traverse les murs, les frontières, le silence imposé.
Elle parle pour ceux qu’on étouffe, pour ceux qu’on humilie, pour ceux dont on brise la terre et les rêves.
La liberté n’appartient à personne.
Elle se partage… ou elle meurt.
« Pourquoi nous vole-t-on la liberté ? »
Je viens d’une terre où le vent porte le nom des disparus.
Chaque pierre murmure une prière.
Chaque olivier pleure des siècles de paix volée.
Chaque enfant apprend trop tôt que le ciel peut tuer.
Et pourtant… la Palestine respire encore.
Dans les cœurs qui battent à Gaza, à Hébron, à Jérusalem.
Dans les exilés qui ferment les yeux pour revoir leur maison perdue.
Nous sommes encore là.
Et notre simple souffle est déjà un cri de résistance.
Mais dis-moi… pourquoi nous vole-t-on la liberté ?
Au nom de quelles lumières, de quelle morale, d’un monde prétendument éclairé,
Des hommes acceptent-ils que d’autres soient condamnés à l’ombre ?
Comment peuvent-ils parler de droits…
Alors qu’ils piétinent le droit le plus élémentaire : vivre libre, debout, sur sa terre, sans peur, sans honte ?
« Être libre, ce n’est pas seulement se débarrasser de ses chaînes, c’est vivre d’une façon qui respecte et renforce la liberté des autres. » — Nelson Mandela
Sommes-nous autre chose que des êtres humains ?
Notre sang aurait-il une autre couleur ?
Nos rêves valent-ils moins parce qu’ils portent un nom arabe, ou qu’ils s’élèvent d’une terre qu’on convoite ?
La liberté ne se divise pas
Je ne réclame pas la vengeance.
Je réclame la justice.
Je ne demande pas la pitié.
Je demande l’égalité.
Je ne rêve pas d’un drapeau planté sur les ruines…
Je rêve d’un horizon ouvert,
Où chacun peut marcher debout, libre et digne,
Sans que son nom, sa prière, son souffle fassent de lui une cible.
« L’injustice, où qu’elle se produise, est une menace pour la justice partout. » — Martin Luther King
Ceux qui ferment les yeux sur Gaza, tout en prétendant défendre la démocratie…
Ne défendent que le privilège du fort.
Car la liberté ne se divise pas : elle se propage… ou elle meurt.
Aimé Césaire écrivait :
« Notre civilisation s’avère incapable de résoudre les problèmes qu’elle crée. »
Celle qui parle des droits de l’homme… mais choisit ses victimes selon la géographie.
Celle qui s’indigne quand des murs tombent en Europe…
Et bénit ceux qui s’élèvent en Palestine.
Celle qui proclame la liberté comme un idéal…
Et la distribue comme une faveur.
Le ciel au-dessus de nous est sombre
Le ciel au-dessus de nous est lourd de menaces.
À Gaza, les bombes tombent comme des pluies de poudre, arrachant aux murs les cris des enfants, les rires suspendus, les ombres des maisons effondrées.
En Cisjordanie, les miens sont privés de liberté : chaque pas est surveillé, chaque regard scruté, chaque souffle mesuré.
Nos terres saignent. Nos rues sont des prisons. Nos cœurs, des sentinelles fatiguées.
Et pourtant… malgré la peur qui pèse sur nos épaules, malgré l’obscurité qui semble vouloir nous engloutir, nous levons encore les yeux vers l’horizon.
Car même dans la nuit la plus dense, un souffle, un chant, un rêve… refuse de s’éteindre.
L’espérance, ce mal incurable
Et pourtant… malgré les ruines, malgré les exils, malgré le silence complice… je veux croire.
Croire, comme Victor Hugo, que « rien n’est plus puissant qu’une idée dont l’heure est venue ».
Croire que les enfants de Gaza verront la mer redevenir bleue,
Que leurs rires recouvriront un jour le bruit des drones,
Que les ruines se transformeront en jardins,
Que la Terre sainte redeviendra ce qu’elle aurait toujours dû être : un lieu de rencontre, pas de séparation.
« Nous souffrons d’un mal incurable qu’on appelle l’espérance. » — Mahmoud Darwich
Oui, nous espérons.
Parce que l’espoir n’est pas un luxe.
Il est une arme.
Une survie.
Nous espérons parce que nous refusons de disparaître.
Nous espérons parce qu’un peuple qui chante encore la liberté…
Ne peut pas mourir.
Un chant universel
Je suis Palestinien.
Mais avant tout, je suis un homme libre.
Et je chanterai la liberté — pour mon peuple, pour tous les peuples.
Car la liberté ne se mendie pas.
Elle se vit.
Elle se défend.
Elle se chante.
Tant qu’il restera un cœur pour battre,
Une voix pour dire « non »,
Un rêve pour dire « oui » à la vie…
La Palestine continuera de chanter.
Et dans chaque souffle de vent, chaque arbre, chaque pierre…
Vous entendrez ce chant.
Un chant qui traverse le temps.
Un chant que rien ne pourra étouffer



                        

Cessez-le-feu ? Non : la permission de tuer, tamponnée par Washington
On nous a vendu un cessez-le-feu.
Des mots parfumés à la diplomatie, emballés dans des sourires de sommet et des poignées de main sous les flashs. Mais sur le terrain, Gaza brûle.
Encore. Toujours.
Ce n’est pas un cessez-le-feu — c’est un permis de tuer à validité renouvelable.
Israël bombarde quand bon lui semble, sous les applaudissements discrets de ses parrains.
Et les Palestiniens ? Eux, ils doivent « respecter les clauses ».
Ne pas respirer trop fort, ne pas exister trop visiblement, ne surtout pas enterrer leurs morts au mauvais endroit.
Car dans ce jeu truqué, la moindre étincelle devient un prétexte à l’orage :
un tir non revendiqué ? On rase un quartier.
Une voiture suspecte ? On pulvérise une famille.
Un bruit à la frontière ? On bombarde un hôpital.
C’est la doctrine du déséquilibre moral : Israël tue, les Palestiniens doivent se taire — sinon, ils violent l’accord de paix.
Ajoutons le prétexte du moment, servi chaud par les haut-parleurs officiels : les dépouilles des soldats israéliens.
On nous dit que le Hamas « traîne les pieds » pour les restituer.
Ne transformons pas le chagrin des proches en levier contre tout un peuple.
Résultat : on bloque l’aide humanitaire, on rationne la farine, on asphyxie les blessés…
pendant que les politiques jouent au calcul cynique avec la vie des civils.
Et pendant ce temps, Netanyahou joue sa survie politique sur le sang des Palestiniens.
Chaque bombe larguée est un sondage de popularité.
Chaque massacre, une publicité électorale.
En Israël, plus tu taches tes mains de sang palestinien, plus tu es "fort" dans les urnes.
Ce n’est plus de la politique, c’est du vampirisme électoral.
Le pays entier vit dans un concours macabre : qui tuera le plus, le plus vite, le plus "légitimement" ?
Et le monde civilisé ?
Ah, ce monde à la mémoire courte et à la morale sélective !
Les mêmes qui, il y a deux semaines, posaient tout sourire à Charm el-Cheikh pour célébrer la « paix retrouvée »,
se taisent aujourd’hui, bouche cousue, laissant Israël poursuivre sa politique de terreur comme si Gaza était un jeu vidéo dont les civils sont des pixels.
Ces champions des droits de l’homme ont troqué leurs principes contre des contrats d’armement.
On nous dit : « Le cessez-le-feu tient toujours ».
Oui, il tient comme un patient sous respirateur,
pendant que le bourreau ajuste son masque à oxygène.
Ce n’est pas la paix, c’est la guerre au ralenti, calibrée, dosée, politiquement rentable.
Et Gaza ?
Gaza ne "risque" plus de devenir un champ de ruines —
Gaza est déjà une cicatrice à ciel ouvert, un charnier transformé en décor de propagande.
Mais tant que les caméras filment du bon angle, tout va bien :
on parlera de « riposte mesurée », de « frappes ciblées », de « réaction nécessaire ».
Le mot « paix » est devenu obscène.
Le mot « humanité », un sarcasme.
Et ceux qui continuent à sourire devant les caméras, à parler de « réconciliation » et de « nouvel espoir »,
ne sont pas des diplomates : ce sont des figurants dans un film d’horreur qu’ils feignent de ne pas voir.

                        


Massa et Shaaban ont été martyrisés ce matin avec leur père dans le dernier attentat sioniste.


 

                       

🔴🗣️ URGENT : Gabrielle Cathala dénonce la complicité du gouvernement français face au génocide à Gaza.
« L’entreprise génocidaire de Netanyahou se poursuit.
Et que fait la France ? Vous ne décrétez toujours aucune sanction. Pire, la France livre des armes à Israël.
Pourquoi notre pays a-t-il reconnu l’État de Palestine, si ce n’est pas pour agir aux conditions de son existence réelle ? » #QAG #DirectAN





                             
Je suis une femme juive ashkénaze.
Je porte en moi une histoire millénaire de fuites, de livres sauvés dans des valises, de noms effacés puis réinventés. J’ai grandi avec la conscience aiguë d’appartenir à un peuple dont la mémoire est tissée de blessures, de résistance et de lumière.
Mais justement parce que je suis juive, je ne peux pas accepter que cette mémoire soit utilisée pour justifier l’animosité, la domination ou la violence d’un État ,quel qu’il soit.
Je ne confonds pas le peuple et le pouvoir, ni la foi et l’armée.
Je ne nie pas la peur, ni la tragédie du 7 octobre, ni la douleur d’Israël. Mais je ne peux pas non plus détourner le regard devant la souffrance des Palestiniens.
Être juive ne m’oblige pas à me taire. Être ashkénaze ne m’impose pas la loyauté à un gouvernement qui oublie le cœur de ce que nos aïeux ont transmis : la dignité, la justice, la valeur absolue de la vie humaine.
On me dit parfois que je trahis. Mais je ne trahis rien.
Je reste fidèle à ce que le judaïsme m’a appris : interroger, questionner, refuser les idoles.
La Torah ne parle pas de supériorité, elle parle de responsabilité.
Je ne veux pas d’un monde où être juive signifierait soutenir l’anéantissement d’un autre peuple.
Je veux pouvoir dire que la sécurité d’Israël ne passera jamais par la négation d’autrui.
Je veux croire qu’on peut aimer un peuple sans idolâtrer un État, et que la fidélité à nos morts ne se mesure pas à la haine des vivants.
Je suis une femme juive ashkénaze.
Et si je parle, ce n’est pas contre mon peuple c’est pour qu’il ne se perde pas.
I am an Ashkenazi Jewish woman.
I carry within me a thousand-year history of flight, of books saved in suitcases, of names erased and then reinvented. I grew up with a keen awareness of belonging to a people whose memory is woven with wounds, resistance and light.
But precisely because I am Jewish, I cannot accept that this memory be used to justify the animosity, domination or violence of any state.
I do not confuse the people with power, nor faith with the army.
I do not deny fear, nor the tragedy of 7 October, nor Israel's pain. But neither can I look away from the suffering of the Palestinians.
Being Jewish does not oblige me to remain silent. Being Ashkenazi does not impose loyalty on me to a government that forgets the heart of what our ancestors passed on: dignity, justice, the absolute value of human life.
I am sometimes told that I am betraying something. But I am not betraying anything.
I remain faithful to what Judaism has taught me: to question, to challenge, to reject idols.
The Torah does not speak of superiority, it speaks of responsibility.
I do not want a world where being Jewish means supporting the annihilation of another people.
I want to be able to say that Israel's security will never come at the expense of denying others.
I want to believe that it is possible to love a people without idolising a state, and that loyalty to our dead is not measured by hatred for the living.
I am an Ashkenazi Jewish woman.
And if I speak out, it is not against my people, but so that they do not lose their way.I


                         


Cessez-le-feu ? Non : la permission de tuer, tamponnée par Washington
On nous a vendu un cessez-le-feu.
Des mots parfumés à la diplomatie, emballés dans des sourires de sommet et des poignées de main sous les flashs. Mais sur le terrain, Gaza brûle.
Encore. Toujours.
Ce n’est pas un cessez-le-feu — c’est un permis de tuer à validité renouvelable.
Israël bombarde quand bon lui semble, sous les applaudissements discrets de ses parrains.
Et les Palestiniens ? Eux, ils doivent « respecter les clauses ».
Ne pas respirer trop fort, ne pas exister trop visiblement, ne surtout pas enterrer leurs morts au mauvais endroit.
Car dans ce jeu truqué, la moindre étincelle devient un prétexte à l’orage :
un tir non revendiqué ? On rase un quartier.
Une voiture suspecte ? On pulvérise une famille.
Un bruit à la frontière ? On bombarde un hôpital.
C’est la doctrine du déséquilibre moral : Israël tue, les Palestiniens doivent se taire — sinon, ils violent l’accord de paix.
Ajoutons le prétexte du moment, servi chaud par les haut-parleurs officiels : les dépouilles des soldats israéliens.
On nous dit que le Hamas « traîne les pieds » pour les restituer.
Ne transformons pas le chagrin des proches en levier contre tout un peuple.
Résultat : on bloque l’aide humanitaire, on rationne la farine, on asphyxie les blessés…
pendant que les politiques jouent au calcul cynique avec la vie des civils.
Et pendant ce temps, Netanyahou joue sa survie politique sur le sang des Palestiniens.
Chaque bombe larguée est un sondage de popularité.
Chaque massacre, une publicité électorale.
En Israël, plus tu taches tes mains de sang palestinien, plus tu es "fort" dans les urnes.
Ce n’est plus de la politique, c’est du vampirisme électoral.
Le pays entier vit dans un concours macabre : qui tuera le plus, le plus vite, le plus "légitimement" ?
Et le monde civilisé ?
Ah, ce monde à la mémoire courte et à la morale sélective !
Les mêmes qui, il y a deux semaines, posaient tout sourire à Charm el-Cheikh pour célébrer la « paix retrouvée »,
se taisent aujourd’hui, bouche cousue, laissant Israël poursuivre sa politique de terreur comme si Gaza était un jeu vidéo dont les civils sont des pixels.
Ces champions des droits de l’homme ont troqué leurs principes contre des contrats d’armement.
On nous dit : « Le cessez-le-feu tient toujours ».
Oui, il tient comme un patient sous respirateur,
pendant que le bourreau ajuste son masque à oxygène.
Ce n’est pas la paix, c’est la guerre au ralenti, calibrée, dosée, politiquement rentable.
Et Gaza ?
Gaza ne "risque" plus de devenir un champ de ruines —
Gaza est déjà une cicatrice à ciel ouvert, un charnier transformé en décor de propagande.
Mais tant que les caméras filment du bon angle, tout va bien :
on parlera de « riposte mesurée », de « frappes ciblées », de « réaction nécessaire ».
Le mot « paix » est devenu obscène.
Le mot « humanité », un sarcasme.
Et ceux qui continuent à sourire devant les caméras, à parler de « réconciliation » et de « nouvel espoir »,
ne sont pas des diplomates : ce sont des figurants dans un film d’horreur qu’ils feignent de ne pas voir.




                         

Un nouveau rapport de la Rapporteuse spéciale de l’ONU, Francesca Albanese, révèle que plus de 60 États sont complices du gén0c!de perpétré par I$r●ël contre les P●le$tiniens à G●z●.
Les États-Unis et l’Europe représentent la majorité des pays mentionnés dans le projet de rapport, qu’Albanese prévoit de présenter à l’ONU depuis l’Afrique du Sud. Ce pays, l’un des plus grands fournisseurs de charbon d’Israël, y est également cité, tout comme plusieurs États arabes qui, selon elle, n’ont pas pris de « mesures décisives » pour mettre fin au génocide.
Le rapport affirme que le génocide aurait été impossible sans différents niveaux de soutien international.
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Le murmure sous la chape du silence....ou
Les mots libres dans une cage dorée
Ils nous ont enseigné la démocratie comme on enseigne une prière : avec des mots sacrés, une foi aveugle et une vérité unique.
Ils nous ont appris que parler, c’est être libre.
Mais ils ont oublié de préciser que cette liberté avait des murs — polis, transparents, presque invisibles.
Dans l’Europe des droits humains, dans l’Amérique des grands principes, la parole libre existe, oui, mais sous condition.
Elle vit sous surveillance, comme un oiseau que l’on nourrit pour mieux lui couper les ailes.
On peut parler, certes — à condition que cela ne dérange pas la machine.
Métro, boulot, dodo, et surtout : les yeux bien fermés.
Le citoyen idéal n’est pas celui qui pense, mais celui qui répète.
Pas celui qui questionne, mais celui qui consomme.
Ils veulent des rouages dociles, parfaitement huilés, dans un système qui tourne sans heurt ni conscience.
Et si tu lèves la tête, attention : l’épée de Damoclès n’est jamais loin.
Elle s’appelle “loi contre la haine”, “sécurité publique”, “ordre républicain”.
Elle s’abat sur les journalistes qu’on licencie pour un mot trop vrai, sur les artistes qu’on déprogramme pour une phrase trop humaine,
sur les enseignants qu’on sanctionne pour une opinion trop libre.
Les étudiants ne sont pas seuls : la répression s’étend aux poètes, aux professeurs, aux simples citoyens.
Tous ceux qui refusent de détourner le regard deviennent suspects.
La démocratie, paraît-il, se défend mieux quand elle muselle.
Les dirigeants, eux, jouent la symphonie du double langage.
Sous la pression des peuples, ils critiquent Netanyahu du bout des lèvres, mais continuent à absoudre Israël de tout crime.
Ils condamnent “les excès”, tout en livrant les armes.
Ils déplorent “la tragédie”, tout en finançant l’occupant.
Leur morale se porte bien — elle voyage en première classe vers Tel-Aviv.
Et pendant ce temps, les mots se heurtent aux murs.
Ils résonnent, mais ne traversent plus.
Les consciences se taisent, ou parlent à voix basse, comme pour s’excuser d’avoir vu.
La liberté est devenue une lumière tiède, un décor commode, un parfum d’époque : on la célèbre, on l’exhibe, mais on ne la pratique plus.
Oui, je peux écrire ces lignes.
Mais la vraie question n’est pas : “Puis-je parler ?”
C’est : “Qu’advient-il de ceux qui écoutent ?”
La liberté n’est pas dans le mot, elle est dans sa portée.
Et tant que la vérité fera trembler les murs de la cage, les puissants continueront de jurer que l’oiseau chante de son plein gré.


                          



                           




                            






                         

HUSOME ONG humanitaire médicale engagée dans l’accès aux soins, la protection de l’enfance, la distribution d’eau et le soutien aux populations les plus vulnérables à Gaza, en Syrie, en Ukraine et ailleurs.



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