Chère lectrice, cher lecteur,
La foire bâloise débute aujourd’hui. L’heure est à l’optimisme pour l’horlogerie suisse: les chiffres d’exportation sont repartis à la hausse et les marques récoltent le fruit des efforts consentis durant leurs années de vaches maigres.
S’il convient de les lire avec précaution, les chiffres des exportations publiés hier par la Fédération horlogère font souffler un vent d’optimisme dans les allées de Baselworld, qui ouvre ses portes aujourd’hui au grand public. Les patrons que Le Temps a rencontrés hier affichent sans complexe leur optimisme. «Somme toute, l’horlogerie suisse ne se porte pas si mal que ça», note celui de Tissot, François Thiébaud.
Les marques profitent aussi des efforts consentis durant les années de crise, en revenant à des produits plus modestes, d’une part, mais également dans la distribution, en repensant la relation qu’ils entretiennent avec leurs détaillants, comme le raconte notre journaliste Valère Gogniat depuis Bâle.
– Jean Abbiateci, rédacteur en chef adjoint
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