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Elsa Faucillon (PCF) : "Tout appelle aujourd'hui à des ruptures."
Ajoutée le 29 mars 2018
Petit tour d'actualité politique et sociale avec la députée communiste des Hauts-de-Seine Elsa Faucillon. Au menu : la marche blanche contre le racisme et l'antisémitisme, les mobilisations sociales et l'état de la gauche et du PCF.
http://www.regards.fr
MORCEAUX CHOISIS
Sur la marche blanche contre le racisme et l’antisémitisme de mercredi 28 mars en mémoire de Mireille Knoll
« Il y a de la crainte face à la montée de la violence. »
« Chez les juifs en France, il y a de la peur. »
« Il faut dire notre combat résolu face à l’antisémitisme. »
Sur la volonté affichée du CRIF d’exclure la FI et le FN de la marche blanche
« Mettre la FI et le FN sur un même plan, c’est scandaleux. »
« Interdire à la FI la manifestation, c’est une faute morale. »
« Je dis ma solidarité aux députés et à la délégation FI qui s’est fait malmener par quelques énergumènes haineux. »
« Il y a besoin d’un mouvement collectif pour dire non à cette haine et à cette violence. »
Sur la politique du gouvernement d’Emmanuel Macron
« Il y a une urgence sociale extrêmement forte. »
« Les fainéants, nous, on les appelle les courageux. »
« Il y a quelque chose d’indécent quand, d’un côté on touche aux APL et que de l’autre côté, on supprime l’ISF. »
« Il n’y a pas de soutien populaire à Emmanuel Macron. Mais en même temps, il n’y a pas non plus de non-soutien populaire et donc de mobilisation. »
Sur la gauche actuelle
« Je crois qu’on peut gagner, à condition d’agréger puis de déployer. »
« J’ai été très satisfaite de l’appel commun à la gauche du PS, des forces de transformation sociale, pour la manif du 22 mars. »
« Je crois que lutter ensemble, c’est un bon point de départ. »
« Tout appelle aujourd’hui à des ruptures. »
« On ne peut pas penser qu’on va refaire l’union de la gauche à la papa. »
« Il faut penser un rassemblement tout droit dirigé vers la mobilisation des classes populaires. »
Sur le PCF
« Le fait de ne plus être audibles est très partagé par les communistes. »
« On est sur un congrès [du PCF] de la dernière chance. »
« Il y a besoin que la gauche, que le peuple trouvent une expérience collective dynamique, qui corresponde à l’époque actuelle. »
« Je pense que l’idée communiste à un avenir. »
« Le parti communiste, qui est un parti anticapitaliste, comment peut-il aujourd’hui faire l’erreur de soutenir Notre-Dame-des-Landes ? »
« Si on décide que ce congrès soit réellement extraordinaire et qu’on arrive à de nouveau incarner l’idée communiste du XXIe siècle avec un récit nouveau, je crois qu’il faudra que cela s’incarne à la direction par une et des nouvelles personnes. »
Sur le rapport du PCF au reste de la gauche
« Je ne suis pas pour la force unique, je suis pour la force commune. »
« Il y a urgence à trouver le cadre pour pouvoir faire force commune. »
« Je suis communiste et révolutionnaire. »
« Je crois que la France insoumise, avec Jean-Luc Mélenchon, a su redonner de la couleur à la gauche et a suscité beaucoup d’espoir. Mais je l’interpelle aujourd’hui sur le fait qu’aujourd’hui, ça ne peut pas se refermer. Il y a une responsabilité à la France insoumise, à déployer, y compris avec d’autres. »
« Le fait d’avoir un curseur à gauche de transformation sociale, de radicalité, ça ne doit pas incarner du sectarisme. »
« On ne peut pas avoir d’un côté avoir une gauche radicale qui serait sectaire et de l’autre, l’idée que le rassemblement se fait forcément sur un consensus mou. »
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MORCEAUX CHOISIS
Sur la marche blanche contre le racisme et l’antisémitisme de mercredi 28 mars en mémoire de Mireille Knoll
« Il y a de la crainte face à la montée de la violence. »
« Chez les juifs en France, il y a de la peur. »
« Il faut dire notre combat résolu face à l’antisémitisme. »
Sur la volonté affichée du CRIF d’exclure la FI et le FN de la marche blanche
« Mettre la FI et le FN sur un même plan, c’est scandaleux. »
« Interdire à la FI la manifestation, c’est une faute morale. »
« Je dis ma solidarité aux députés et à la délégation FI qui s’est fait malmener par quelques énergumènes haineux. »
« Il y a besoin d’un mouvement collectif pour dire non à cette haine et à cette violence. »
Sur la politique du gouvernement d’Emmanuel Macron
« Il y a une urgence sociale extrêmement forte. »
« Les fainéants, nous, on les appelle les courageux. »
« Il y a quelque chose d’indécent quand, d’un côté on touche aux APL et que de l’autre côté, on supprime l’ISF. »
« Il n’y a pas de soutien populaire à Emmanuel Macron. Mais en même temps, il n’y a pas non plus de non-soutien populaire et donc de mobilisation. »
Sur la gauche actuelle
« Je crois qu’on peut gagner, à condition d’agréger puis de déployer. »
« J’ai été très satisfaite de l’appel commun à la gauche du PS, des forces de transformation sociale, pour la manif du 22 mars. »
« Je crois que lutter ensemble, c’est un bon point de départ. »
« Tout appelle aujourd’hui à des ruptures. »
« On ne peut pas penser qu’on va refaire l’union de la gauche à la papa. »
« Il faut penser un rassemblement tout droit dirigé vers la mobilisation des classes populaires. »
Sur le PCF
« Le fait de ne plus être audibles est très partagé par les communistes. »
« On est sur un congrès [du PCF] de la dernière chance. »
« Il y a besoin que la gauche, que le peuple trouvent une expérience collective dynamique, qui corresponde à l’époque actuelle. »
« Je pense que l’idée communiste à un avenir. »
« Le parti communiste, qui est un parti anticapitaliste, comment peut-il aujourd’hui faire l’erreur de soutenir Notre-Dame-des-Landes ? »
« Si on décide que ce congrès soit réellement extraordinaire et qu’on arrive à de nouveau incarner l’idée communiste du XXIe siècle avec un récit nouveau, je crois qu’il faudra que cela s’incarne à la direction par une et des nouvelles personnes. »
Sur le rapport du PCF au reste de la gauche
« Je ne suis pas pour la force unique, je suis pour la force commune. »
« Il y a urgence à trouver le cadre pour pouvoir faire force commune. »
« Je suis communiste et révolutionnaire. »
« Je crois que la France insoumise, avec Jean-Luc Mélenchon, a su redonner de la couleur à la gauche et a suscité beaucoup d’espoir. Mais je l’interpelle aujourd’hui sur le fait qu’aujourd’hui, ça ne peut pas se refermer. Il y a une responsabilité à la France insoumise, à déployer, y compris avec d’autres. »
« Le fait d’avoir un curseur à gauche de transformation sociale, de radicalité, ça ne doit pas incarner du sectarisme. »
« On ne peut pas avoir d’un côté avoir une gauche radicale qui serait sectaire et de l’autre, l’idée que le rassemblement se fait forcément sur un consensus mou. »
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