Ce dimanche dessine le paysage de la droite et la pente des événements politiques en France. C’est la stabilité et offensive à l’extrême-droite. L’historiette charmante de la troisième génération des Le Pen est une contribution remarquable à la dédiabolisation de la marque Le Pen. Par contre la marmite reste en pleine ébullition dans la droite officielle. Le score de l’opposant à Nicolas Sarkozy permet aux commentateurs de faire comme si le résultat était un match nul. Erreur. Nicolas Sarkozy a gagné. Il va piloter la machine et son savoir-faire est intact. La preuve : il a gagné ! Et cela contre tous les médias et contre une large part de l’appareil des notables de l’UMP. Sarkozy aura l’initiative, le battu et ses soutiens sont cantonnés au rôle de tireurs dans le dos pour de long mois. D’une façon ou d’une autre la droite et le centre sont condamnés ou à se regrouper autour de Nicolas Sarkozy ou à partir divisés vers l’élection présidentielle. Ils se diviseront, bien sûr. La ligne de pente est donc prise. Tout est en place pour le grand remplacement de la droite par l’extrême droite qui a déjà imposé tous ses thèmes de ce côté de l’espace politique. Elle dispose d’une équipe unie et cohérente, une stabilité reposant sur trois générations de chefs, et une volonté d’union des droites majoritaire à la base.
De notre côté, notre responsabilité est plus grande que jamais. Il faut rassembler les forces de la résistance à la pente dramatique prises par l’histoire dans toute l’Europe. C’est évidemment impossible autour du PS dont la politique au gouvernement est la première cause de la catastrophe qui s’avance. Je veux donc prendre ma part avec énergie au travail pour l’union de l’opposition de gauche au gouvernement. Celle-ci doit s’obliger à fédérer le peuple à partir de ses aspirations au bien vivre et au bon gouvernement en mettant fin à la monarchie présidentielle. JLM
De notre côté, notre responsabilité est plus grande que jamais. Il faut rassembler les forces de la résistance à la pente dramatique prises par l’histoire dans toute l’Europe. C’est évidemment impossible autour du PS dont la politique au gouvernement est la première cause de la catastrophe qui s’avance. Je veux donc prendre ma part avec énergie au travail pour l’union de l’opposition de gauche au gouvernement. Celle-ci doit s’obliger à fédérer le peuple à partir de ses aspirations au bien vivre et au bon gouvernement en mettant fin à la monarchie présidentielle. JLM
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