Tous en grève le 18 mars !
il va falloir s’organiser pour réussir
, par
jeudi 27 février 2014
Mieux vaut tard que jamais. CGT FSU et FO ont décidé d’une journée de grèves et de manifestations le 18 mars contre les cadeaux fiscaux et sociaux accordés au patronat et contre la casse de la sécurité sociale.
Cette journée d’action, si elle est popularisée et organisée, (ce qui n’est pas gagné) sera plus efficace que les municipales pour commencer à inverser le rapport des forces en faveur du monde du travail.
Eh oui, encore faut-il que TOUS les salariés, retraités et privés d’emplois aient connaissance de cette journée.
Il faut donc distribuer les tracts dans les entreprises ou les syndicats sont implantés, mais surtout à la porte de celles, innombrables, ou il n’y a aucun syndicat, ou seulement la CFDT.
Il faut aussi expliquer, argumenter, citer les chiffres détournés de la caisse de l’Etat ou de la Sécurité Sociale qui vont directement dans les caisses des propriétaires de moyens de production et d’échanges.
La classe ouvrière française souffre de son inorganisation dans une écrasante majorité d’entreprises. Beaucoup semblent s’en accommoder. Pas moi. Nous ne gagnerons pas sans une augmentation substantielle du taux de syndicalisation en France.
Le 18 mars, comme beaucoup de mes collègues postiers à Niort, je serai en grève. J’accomplirai ce jour là, et seulement ce jour là, mon devoir de classe, mon devoir de citoyen/salarié !
Michel Drapet, ancien secrétaire général de l’UD CGT des Deux Sèvres
Cette journée d’action, si elle est popularisée et organisée, (ce qui n’est pas gagné) sera plus efficace que les municipales pour commencer à inverser le rapport des forces en faveur du monde du travail.
Eh oui, encore faut-il que TOUS les salariés, retraités et privés d’emplois aient connaissance de cette journée.
Il faut donc distribuer les tracts dans les entreprises ou les syndicats sont implantés, mais surtout à la porte de celles, innombrables, ou il n’y a aucun syndicat, ou seulement la CFDT.
Il faut aussi expliquer, argumenter, citer les chiffres détournés de la caisse de l’Etat ou de la Sécurité Sociale qui vont directement dans les caisses des propriétaires de moyens de production et d’échanges.
La classe ouvrière française souffre de son inorganisation dans une écrasante majorité d’entreprises. Beaucoup semblent s’en accommoder. Pas moi. Nous ne gagnerons pas sans une augmentation substantielle du taux de syndicalisation en France.
Le 18 mars, comme beaucoup de mes collègues postiers à Niort, je serai en grève. J’accomplirai ce jour là, et seulement ce jour là, mon devoir de classe, mon devoir de citoyen/salarié !
Michel Drapet, ancien secrétaire général de l’UD CGT des Deux Sèvres
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