France - Soir - Dissolution, législatives - Analyses corrosives...Dimanche 14 juillet 2024

 

Les chroniques d'analyse politique que vous ne trouverez nulle part ailleurs

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#Dissolution #Législatives #Macron  France-Soir vous propose des analyses incisives de la politique actuelle. à travers les derniers éditos de Xavier Azalbert.   Nous en profitons pour vous rappeler que le ministère de la Culture a retiré son agrément de service de presse en ligne à France-Soir, serait-ce un moyen de faire taire la presse critique ?   Il est d'autant plus important de nous soutenir et de continuer à faire des dons à France-Soir, nous avons besoin de vous pour continuer à vous informer !   Bonne lecture !

« BOUM  ! »  Eh oui ! la « grenade dégoupillée » qu'Emmanuel Macron s'est vanté de nous avoir jetée dans les jambes avec la dissolution, n'était pas une grenade explosive. C'était simplement une grenade lacrymogène. Un écran de fumée. Le voile (1) qu'il a posé sur le visage de Marianne avec l'Assemblée nationale nouvellement composée (2). Lire l'article

­ Le Rassemblement National veut-il véritablement le pouvoir  ? ­ « Boum ! » proposait une analyse de l’impact de la dissolution, cette grenade dégoupillée lancée par Emmanuel Macron afin que les français se « démerdent » avec.  Un énième enfumage qui lui donnait davantage l’apparence d’une grenade lacrymogène.  Le jeu en valait la chandelle. Eh oui, en faisant monter artificiellement le RN au-delà de leur historique plafond de verre, il était d’autant plus facile de gérer les attentes des divers groupes. Lire la suite ­ ­ Le Conseil constitutionnel saisi d’une requête en empêchement du président. Emmanuel Macron doit-il être « empêché »  ? ­ Entre déclarations intempestives (« j’ai très envie d’emmerder les non-vaccinés »), omniprésence (je fais le travail à leur place) et actes inconsidérés, telle une dissolution de l’Assemblée nationale (décidée à la surprise générale, hormis un petit groupe d’initiés) « grenade dégoupillée » qu'il nous a « balancée » dans les jambes, la santé du chef de l’Etat inquiète. Lire la suite   ­

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­ Merci qui ? ­ Macron.... Ah si !  Grâce à lui, nous avons deux jours de répit. 48 heures pendant lesquelles nous n'avons pas à devoir supporter le bourrage de crâne qui nous est imposé au quotidien, habituellement, par les politiciens. Lire la suite ­ ­ Au surlendemain des élections, tirons des plans sur la comète ­ Au surlendemain des résultats du premier tour des élections législatives : essayons-nous au jeu des pronostics. Oui. Qu'importe qu'à cette occasion on « comète » immanquablement des erreurs. Lire la suite ­

­ Je suis malade ! (première partie) ­ Ce n'est pas moi qui parle, ni Serge Lama qui chante cette chanson sortie en 1973, (sur une musique d' Alice Dona). Et, ce n’est pas non plus le Malade Imaginaire de Molière. C'est Emmanuel Macron, semble-t-il, qui ferait cet aveu, dressant ce constat, donnant ici raison aux nombreux observateurs en France et à l’étranger qui s’interrogent sur sa santé mentale. Lire la suite ­ ­ Macron a-t-il rendu malades ses concitoyens avec la maltraitance institutionnelle de la population  ? ­ Cet édito aurait pu s’appeler « Je suis malade, complétement malade ». La réflexion et des conversations m’ont conduit à m’interroger sur la question en titre : « Macron a-t-il rendu malades aussi ses concitoyens, en mettant en place une maltraitance institutionnelle de la population ? Lire la suite   ­

­ Hara-Kiri ou Tora-Tora-Tora  ? ­ « Impossible n'est pas français  ! » - Cet adage est issu d'une tirade attribuée à Napoléon 1ᵉʳ. Il est utilisé, en politique et autres, pour dire qu'en France rien n'est impossible. Et bien Gérard Majax de la politique hexagonale revendiqué qu'il est, et Empereur du « Et en même temps » consacré par ces sept années à l’Élysée où il a fait à peu près tout et son contraire, Emmanuel Macron vient une nouvelle fois de confirmer qu' « en macronie, rien n'est impossible ! » Lire la suite ­ ­ Hara-Kiri ou Tora-Tora-Tora  ? épisode 2 ­ Compte tenu de trois éléments que j'ai développés dans la première partie de cet édito, on peut objectivement penser, qu'Emmanuel Macron a prévu quatre scénarios consécutivement à la dissolution de l'Assemblée nationale. Quatre scénarios différents, mais qui ont tous la même finalité : lui permettre de mener sa mission à terme. Lire la suite   ­

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