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vendredi 10 mai 2024
La Santé avec Santé non censurée - Plus de morts après que pendant le COVID - vendredi 10 mai 2024
La Santé
Chère lectrice, cher lecteur,
À quel point les pandémies sont-elles tueuses ?
Je me suis posé cette question l’autre jour lorsque j’ai lu les dernières statistiques du gouvernement sur la mortalité.
En effet, selon un récent rapport de l’INSEE[1], plus de Français sont décédés APRÈS la pandémie du COVID que pendant.
Le gouvernement, sur son site officiel, ne peut dès lors que se plier devant les chiffres[2] :
«Les décès sont plus nombreux en 2022 qu’au cœur de l’épidémie de Covid19, marquée par un écart aux projections de +7,8 % en 2020 (48 400 morts supplémentaires) et +6,9 % en 2021 (+ 42 700 morts). On attendait en 2022, 8 000 décès de plus qu’en 2019, or on a un excédent de 53 800 décès, + 8,7 %. »
Ou encore :
“En 2022, 673 637 décès, toutes causes confondues, sont enregistrés en France à la date du 27 janvier 2023, soit 9,8 % de plus qu’en 2019 (+ 60 181 décès).”[3]
Ces chiffres sont des faits. Il n’y a aucun complot là-derrière.
Tout est là, devant nos yeux.
Et c’est à nous maintenant de tirer les conclusions, car le gouvernement, lui, n’ose pas commenter ces statistiques. Cela remettrait douloureusement en question les campagnes de vaccination…
À la place, ils préfèrent inventer des explications abracadabrantesques.
La canicule, plus mortelle que le COVID ?
Oui vous m’avez bien lu.
L’explication avancée par l’INSEE est que les “températures élevées” de 2022 auraient participé à cette hausse inattendue de mortalité…[4]
Ceci, et la grippe saisonnière[5] !
En ce qui concerne cette histoire de canicule, j’ai l’impression qu’on nous prend vraiment - passez-moi l’expression - pour des pigeons.
Cela fait 50 ans que le réchauffement climatique est en marche, et que les températures sont “élevées”. Pourquoi l’année 2022 serait soudain si exceptionnelle ? Et pourquoi le gouvernement n’a-t-il pas fait de campagnes de prévention massive contre la canicule si elle tue plus que le COVID ?
Bref, je n’y crois pas.
Pour ce qui est de la grippe saisonnière, je suis déjà plus réceptif.
En effet, le virus de la grippe (non-COVID) est dangereux. C’est bien connu. Surtout parmi les populations âgées.
Mais cela revient à dire que l’immunité de la population aurait été plus faible en 2022 suite aux événements de 2019…
Vous voyez où je veux en venir ?
Le plus grand expert en cancer du Japon l’admet : le vaccin COVID est “de l’hystérie”
Pour éviter que l’on me traite de complotiste, je vais encore une fois m’appuyer sur la science.
Et en l'occurrence, sur celle des médecins – pas celle des technocrates du gouvernement.
Et notamment du plus important oncologue qui pratique actuellement au Japon, le professeur Masanori Fukushima.
Il est professeur émérite à l'université de Kyoto, directeur du centre de recherche translationnelle pour l'innovation médicale et de la fondation pour la recherche biomédicale et l'innovation, président de la fondation de l'institut Learning Health Society, ancien directeur de l'unité d'oncologie ambulatoire de l'hôpital universitaire de Kyoto. Il est l'auteur de plus de 290 publications scientifiques.
Bref, il est LA référence absolue dans son domaine.
Alors, quand dans une récente interview[6], il compare les vaccins à ARN messager à “de la religion, de l’hystérie, voire un culte”, j’ai envie de le croire.
Depuis 2019, il est chargé d’étudier au Japon la répercussion des doses de vaccins Pfizer sur la mortalité.
Il connaît les chiffres : les doses massives du vaccin expérimental contre le COVID sont statistiquement corrélées à une hausse de décès prématurés.
Il raconte notamment le cas d’un jeune homme de 28 ans qu’il connaissait. Ce jeune homme était en bonne santé avant sa troisième dose de Pfizer. Puis, en l’espace de 5 jours, ce jeune homme est soudain décédé.
Après autopsie, les médecins légistes ont découvert que son cœur était devenu si fragile qu’il s’était désintégré !
Et ce n’est pas tout. Le Pr. Fukushima remarque aussi l’apparition inquiétante de turbo-cancers.
Un lien inquiétant entre les vaccins et les cancers…
« Certains types de cancer, en relation avec la vaccination, semblent connaître une surmortalité ».
Il cite en particulier des cancers tels que « le cancer du sein, le cancer de l'ovaire, le cancer de la thyroïde », ainsi que « le cancer de l'œsophage et du poumon » et, notamment, « le cancer de la prostate chez l'homme », comme étant particulièrement touchés.
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Suite de la lettre ci-dessous
Cette augmentation de la mortalité après la vaccination parmi ces types de cancer spécifiques « ne peut pas être simplement expliquée par des perturbations telles que l'impossibilité de procéder à des dépistages précoces en raison de la pandémie ou la perte d'opportunités de traitement ». Celasuggère un lien direct et inquiétant entre ces cas de « turbo-cancer » et la thérapie génique par l'ARNm.
Les turbo-cancers sont des cancers qui se développent si vite, que quand les médecins les remarquent, ils sont déjà au Stade IV. Ils sont dit “hyperprogressifs”[7].
Ne serait-ce pas là aussi une explication pour la surmortalité de 2022 ?
Et puisque j’y suis, j’aimerais encore partager avec vous le témoignage déchirant d’un médecin en Malaisie, qui demande pardon à toute sa communauté pour avoir vacciné des patients durant le COVID.
Un médecin l’admet : le vaccin était une erreur
Syafiq Nordin est docteur en Malaisie, et jouit d’une grande communauté sur Facebook avec plus de 13 000 followers.
Le 17 avril, il publie un post avec comme titre : JE VOUS DEMANDE PARDON
Je vous mets la traduction en français de son post ci-dessous. Je pense qu’il se passe de commentaire.
JE VOUS DEMANDE PARDON
À la lumière des récentes nouvelles concernant Pfizer, un manquement de l'industrie, dont je fais partie, a été révélé au grand jour.
Je suis attristé car, avant de rencontrer le Dr Razin Jaafar, j'ai commis de nombreuses erreurs dans les conseils médicaux que j'ai donnés, en particulier en ce qui concerne le COVID-19.
Cependant, je lui suis très reconnaissant car je suis maintenant plus ouvert et plus éclairé sur les sciences de la santé qui, honnêtement, sont plus naturelles et plus adaptées à mon âme de médecin et de musulman.
Il est indéniable que les périodes précédentes de COVID ont été difficiles pour les professionnels de la santé qui s'efforçaient de fournir les meilleurs services de santé, et encore plus difficiles pour le reste des citoyens confrontés à l'enfermement.
À l'époque, l'administration du vaccin était considérée comme le meilleur moyen, et le programme de vaccination de masse a été lancé très rapidement.
J'ai également participé, en ma qualité de médecin, à la diffusion de conseils médicaux et à l'obtention du « consentement » pour que le vaccin puisse être administré.
En tant que médecin, j'ai également reçu trois vaccins Pfizer.
Il m'a été impossible d'identifier les personnes à qui j'ai donné des conseils médicaux sur cette question.
Je voudrais donc m'excuser mille fois pour les erreurs que j'ai commises les années précédentes, en particulier auprès de ceux qui sont venus me voir pendant la saison de vaccination massive COVID.
Honnêtement, je ne suis pas en mesure d'apporter une aide financière en cas de complications.
Cependant, je ferai de mon mieux pour fournir des conseils médicaux plus holistiques, en accord avec les sciences réparatrices apportées par le Dr Razin.
Je vous présente mes excuses, citoyens malaisiens !
Dr Syafiq Nordin Médecine réparatrice
*** Ces excuses sont quelque peu similaires à celles de Pfizer, faciles à écrire, mais pour moi, elles sont en fait plus difficiles à supporter.
La canicule a bon dos…
Prenez soin de vous,
Thibaut Masco de Santé Non Censurée
P.S. : Et vous, croyez-vous aux explications données par le gouvernement sur la mortalité en 2022 ? Dites-le moi ICI.
[7] Montagna, D.R., Duarte, A., Chiarella, P. et al. Inhibition of hyperprogressive cancer disease induced by immune-checkpoint blockade upon co-treatment with meta-tyrosine and p38 pathway inhibitor. BMC Cancer 22, 845 (2022)
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