En 1973, parce qu’elle avait cherché à prévenir son frère de l’arrivée des gendarmes, Malika Yezid, 8 ans, s’est retrouvée enfermée dans sa chambre avec l’un d’entre eux. Elle en est ressortie dans le coma, puis est morte à l’hôpital. Nièce de Malika, dans « Malika, généalogie d’une crime policier », je fais le récit de ce drame. Comme tant d’autres, ce crime policier a eu des répercussions sur plusieurs générations. Nous publions la postface signée par Rachida Brahim, sociologue et psychanalyste. |
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