Ce journal s’ouvre sur la parole donnée à des militants et des organisations du mouvement ouvrier de Russie, d’Ukraine et de Biélorussie. Car la situation en Russie ne se réduit pas à un affrontement entre un chef mafieux et son maître. Certes minoritaires, des courants politiques y agissent, qui se situent du point de vue de la classe ouvrière qui combat pour défendre ses droits.
Poutine le dit à sa façon dans son communiqué du 24 juin lorsqu’il évoque 1917 pour mettre en garde : la guerre civile peut déboucher sur une révolution ouvrière.
Biden le comprend qui, informé quinze jours à l’avance des préparatifs de Prigojine, décide de ne rien dire pour ne pas mettre en cause la « stabilité », selon les termes de ses porte-parole. Macron aussi, qui se défend de toute ingérence dans les événements.
[Lire la suite...]
Lire la suite
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire