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lundi 1 septembre 2014

Les dernières publications du Grand Soir, lundi 1 er septembre 2014



Les leçons à tirer des événements de Ferguson dans le Missouri (Black Agenda Report)

Danny Haiphong
Le samedi 9 aout, à Ferguson, une banlieue à la périphérie de St Louis, Missouri, deux Noirs, Mike Brown, 18 ans, et Dorian Johnson, 22 ans, marchaient apparemment sur la chaussée quand une voiture de police s'est arrêtée pour leur dire d'aller sur le trottoir. Les comptes-rendus de ce qui s'est passé juste après sont contradictoires. Ainsi, la police prétend que Brown avait voulu s'emparer de l'arme du policier, mais même si c'était vrai, il l'avait aussitôt reprise en main pour lui tirer dessus une première fois. Mais un acte de rébellion présumé lui donnait-il le droit de tirer cinq autres balles, dont une dans le dos et deux dans la tête, dans le but évident de le tuer ? Les témoignages, toutefois, concordent sur la suite. Quand Darren Wilson, un policier blanc, a tiré sur Brown une première fois, les deux jeunes gens sont partis en courant, mais, à peine quelques mètres plus loin, le policier, qui était sorti du véhicule, tirait une balle dans le dos de Brown. Ce (...) Lire la suite »

Gaza - Pour l’honneur des victimes : éviter les erreurs des reconstructions précédentes. (Al Shabaka)

Omar Shaban
Le conseiller politique de al-Shabaka décrit ici l’ampleur des destructions et explique pourquoi la reconstruction sera cette fois beaucoup plus difficile. Il pointe les erreurs commises lors des précédents appels aux donateurs et efforts de reconstruction. Selon lui, ces erreurs peuvent – et doivent – être évitées.
Si choquantes que soient les horreurs de la guerre déclenchée par Israël contre le bande de Gaza le 7 juillet dernier, l’étendue des dommages pourrait se révéler encore plus révoltante. Une conférence de donateurs pour Gaza est prévue en septembre en Norvège, mais si les donateurs et l’Autorité Palestinienne basée à Ramallah adoptent la même approche pour reconstruire qu’ils ont suivie après les deux dernières guerre, les souffrances de Gaza vont persister. Pourquoi cette guerre-ci est tellement pire La bande de Gaza, un des lieux les plus densément peuplés au monde, a été soumise à trois guerres en l’espace de sept ans. Toutefois la troisième se révèle bien pire que les deux précédentes : la brutale offensive de 22 jours en 2008-2009 et l’attaque de 8 jours en 2012 ont été effroyables – et je parle d’expérience personnelle en tant que personne qui a réussi à y survivre. Au 10 août de cette guerre-ci, les attaques israéliennes par air, mer et terre avaient tué 1.914 et blessé 9.861 Palestiniens selon le (...) Lire la suite »

Les terroristes qui nous combattent en ce moment ? Nous venons juste de finir de les entraîner. (The Washington Post)

Souad Mekhennet
Intéressant cet article qui attire l'attention sur les liens entre les organisations "djihadistes" qui font beaucoup parler d'elles en ce moment, notamment en Irak, et les appareils politico-militaires des principales puissances occidentales, c'est-à-dire les Etats Unis, la Grande Bretagne et bien sûr la France (la France UMP comme la France PS faut-il préciser). L'auteur de l'article, une universitaire, pense que les accointances entre le gouvernement des Etats Unis et les organisations comme le Front al Nosra sont des erreurs qui viennent répéter d'autres erreurs du même type commises en Libye et en Afghanistan. Je ne sais pas vous, mais je ne crois pas qu'on se trouve présentement devant des "erreurs" stratégiques parce que je vois mal des officiers du Pentagone répéter en un laps de temps très court des erreurs dont les militaires américains sur le terrain ont eu à payer le prix pour des gains stratégiques finalement minimes (la dislocation de l'URSS ne s'est effectivement pas jouée en (...) Lire la suite »

Israël-Palestine : après le cessez-le-feu, quoi ?

José FORT
Cinquante jours d’une guerre déclenchée par le gouvernement israélien sous un prétexte fallacieux. Cinquante jours au cours desquels la cinquième armée du monde a noyé sous le fer et le feu les 1.800.000 habitants des 380 km2 de la bande de Gaza. Cinquante jours et 2200 morts palestiniens parmi lesquels près de 500 enfants, des milliers de blessés, des destructions massives. L’accord de cessez-le-feu intervenu hier soir permet, enfin, aux femmes et aux hommes de Gaza de souffler, d’espérer vivre. Simplement vivre et ne pas être, au petit matin, fauchés par un missile. Il permet aussi aux familles d’Israël ayant un enfant à l’armée d’espérer le voir revenir vivant, 80 soldats israéliens ayant péri dans ce qui restera dans l’histoire contemporaine comme un massacre à grande échelle. Netanyahu et sa bande d’ultras devront répondre devant la justice internationale pour crimes de guerre et contre l’humanité. Leur sale guerre avait un seul objectif : casser l’union enfin réalisée entre les différentes composantes (...) Lire la suite »

Quand Emmanuel Macron prend une averse

Bernard GENSANE
Dans les grandes banques d’affaires, comme celles des Rothschild, presque tout est rédigé en sabir anglo-américain, donc on pense en sabir anglo-américain.
Malgré de longues études dans un lycée de jésuites bien français, le surdoué Macron n'a pas échappé à la règle. Invité dans une réunion de patrons (où l'on reconnaît Madame de Menthon, née Sophie-Marie-Clarisse-Anne-Bernadette Turpin), et même en tant que Secrétaire Général adjoint à la Présidence de la République, il ne peut s'empêcher de produire ce charabia de colonisé dans sa tête : "Nous sommes une société mature mais averse au risque où l'entreprenariat est insuffisamment considéré et où règne l'anarcho-syndicalisme." Je passe rapidement sur la référence à l'anarcho-syndicalisme qui témoigne soit d'une singulière bêtise politique, soit plutôt (car l'homme n'est pas bête) du désir de plaire à ses bons maîtres. D'autant qu'il vient de concéder que "les normes sociales et autres" (notez le mépris de "et autres" et l'utilisation de "normes" à la place de "lois"), "les Français y sont attachés et on ne peut pas spontanément tout faire basculer." En d'autres termes, il faudra un peu de vaseline pour imposer la (...) Lire la suite »
Tandis qu’à La Rochelle, les Solfériniens se déguisent en socialistes modernes...

Etats d’âme d’un Frontiste-frondeur de gauche

Jean ORTIZ
Le révolutionnaire a-t-il droit au désespoir ? Au découragement passager : oui. Mais il doit vite se ressaisir...
Le Front de gauche n’a pas décollé, mais tout le monde continue à « faire comme si », sans trop d’illusion, mais en feignant d’en avoir.
Nous sommes des centaines de milliers à y avoir cru, à y croire encore. Beaucoup, démoralisés, restent sur le bas côté du chemin. Quel gâchis ! Quelle autre alternative pourtant que de rassembler le peuple pour en finir à terme avec le capitalisme prédateur ? Comment soulever la chape de plomb du bipartisme, empêcher qu’elle ne devienne définitive ? Le bipartisme est plus qu’un mécanisme institutionnel. C’est l’un des outils qui permet aux classes dominantes d’exercer leur domination. Voilà pourquoi ils se sont tous déchaînés, les uns de droite, les autres de gauche-alibi transgénique, contre le Front de gauche. Il ne faut surtout pas qu’émerge en France une force qui mette en cause les fondements d’un système verrouillé par eux. Existe-t-il un « plan B » alternatif au Front de gauche ? Je ne le crois pas. Alors, nous sommes donc en quelque sorte, ensemble, condamnés (positivement) à faire vivre, enraciner, élargir, réorienter s’il le faut, un Front de gauche qui soit une multiplication populaire et non un (...) Lire la suite »
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Israël perd huit milliards de dollars et des partis arabes rejoignent le boycott

Middle East Monitor
Mustafa Barghouti, le secrétaire général du mouvement Initiative nationale palestinienne, a estimé qu'Israël a subi des pertes de l'ordre de huit milliards de dollars en raison de la campagne de boycott contre les colonies illégales, ce qui équivaut à 20 pour cent de leur PIB. En ce qui concerne les derniers efforts palestiniens visant à intensifier le boycott des colonies, Barghouti a révélé qu'un accord a été conclu avec 13 partis démocratiques arabes pour former des comités de boycott dans le monde arabe. Dans une déclaration à Quds Net News Agency jeudi il a dit : « l'Union européenne n'a pas émis de décision de boycott d'Israël, mais ce qui se passe est un boycott de toute relation ou d'accord avec les colonies de Cisjordanie et de Jérusalem-Est. » En outre : « Cette initiative s'étend dans le monde entier et pas seulement dans les pays européens, de nombreuses zones dans le monde sont également prêts à boycotter les colonies. » L'accord avec les partis arabes de participer à la campagne de boycott (...) Lire la suite »

Cisjordanie : le « calme » qui couve une tempête

Kharroubi HABIB
La population palestinienne en Cisjordanie n'a pas le sort qui est celui des Ghazaouis vivant depuis plus de cinquante jours sous les bombardements terrifiants et atrocement barbares de l'aviation sioniste. Il n'en demeure pas moins que depuis le départ de l'agression israélienne les Cisjordaniens subissent une occupation qui se donne libre cours dans la persécution et la répression. Dans leur territoire, l'Etat sioniste a massivement renforcé son dispositif sécuritaire répressif et transgresse sans ménagement la parcelle d'autorité reconnue à l'Autorité palestinienne par les accords israélo-palestiniens. Il en résulte que la moindre agitation qui se manifeste en Cisjordanie exprimant la solidarité de ses habitants avec leurs frères martyrs de Ghaza en est impitoyablement réprimée par la soldatesque et la police israélienne qui tirent froidement sur la population pour des motifs infondés. Depuis le début de l'agression contre Ghaza, la Cisjordanie est ainsi le théâtre d'un déchaînement répressif (...) Lire la suite »
Série : Les 70 ans de Bretton Woods, de la Banque mondiale et du FMI (partie 7)

Leadership des États-Unis sur la Banque mondiale

Eric TOUSSAINT
L’idée selon laquelle la Banque mondiale serait devenue une énorme bureaucratie progressivement affranchie de l’influence des États ne correspond pas à la réalité. Cette conception erronée est notamment exprimée par l’environnementaliste nord-américain Bruce Rich dans son livre pénétrant sur la Banque mondiale |1|. En réalité, l’institution est fermement sous contrôle du gouvernement des États-Unis. Celui-ci négocie avec les gouvernements d’autres grandes puissances capitalistes la politique à suivre, sous son leadership, au sein de la Banque mondiale. Régulièrement, il ne prend pas la peine de réaliser les efforts nécessaires pour arriver à un consensus avec ses principaux partenaires (depuis la fin des années 1950, il s’agit du Japon, de l’Allemagne, de la Grande-Bretagne et de la France) et il impose ses vues directement à la Banque. En certaines occasions, le gouvernement des États-Unis est entré dans une relation tendue avec le président de la Banque et/ou avec sa direction au sens large. Il faut (...) Lire la suite »

Les alliés des États-Unis financent et soutiennent le groupe djihadiste de l’EIIL/ISIS !

Solidarité internationale
Quand est évoquée la question du financement, des soutiens des djihadistes de l’EIIL/ISIS (État islamique d’Irak et du Levant), la réponse semble « complexe », « obscure », rétive aux explications « simples ». Or, même s’il subsiste des zones d’ombre, des noms reviennent systématiquement : ceux des alliés des USA à savoir Arabie Saoudite, Turquie, Koweït.
Cela fait des mois que l’ex-premier ministre irakien Nouri al-Maliki accuse directement l’Arabie Saoudite et le Qatar du financement des fondamentalistes islamistes de l’EIIL. Des dénonciations qui ont rencontré les démentis des autorités saoudiennes, le mépris des puissances occidentales. Il faut pourtant prêter une oreille au « faucon » John McCain, en février 2014, à la Conférence de sécurité de Munich : « nous remercions Dieu pour les Saoudiens, le prince Bandar et nos amis qataris ». En mai 2013, John McCain s’était rendu en Syrie pour rencontrer ces « combattants de la liberté », posant sur une photo où on retrouvait, outre le général Idris de l’Armée syrienne libre, des guerriers des factions islamistes d’ « Al Nosra » tandis que l’EIIL revendique depuis cette photo comme preuve de sa légitimité, plusieurs de ces combattants présents ayant depuis rejoint le groupe. La politique états-unienne n’a pas été uniforme depuis le début de la guerre civile en Syrie, des dissensions se sont fait jour sur les (...) Lire la suite »

Qui a gagné la guerre à Gaza ? (Middle East Eye)

Samah Sabawi
Le peuple palestinien qui a montré une patience, une endurance et un sens du sacrifice exceptionnels dans sa lutte pour la liberté a gagné la guerre à Gaza.
Partout on discute interminablement pour savoir qui a gagné la guerre de Gaza. Les termes du cessez-le feu montrent qu'aucun des deux camps n'a obtenu ce qu'il voulait. Quels ont donc été les gains et les pertes, et qui est le vainqueur, pour autant qu'il y en ait un ? Le Hamas a atteint ses objectifs de dissuasion ; il a fait preuve d'une capacité de résistance et d'une force incroyables en dépit de son armement primitif. Il a réussi à forcer Israël à alléger le blocus en laissant passer les marchandises, l'aide humanitaire, et le matériel de reconstruction, en rétrécissant la zone de sécurité pour permettre aux fermiers palestiniens d'accéder à leurs terres, et en étendant la zone de pèche à 9.6 km des côtes. L'Egypte semble avoir accepté d'ouvrir le poste-frontière de Rafah à condition que le président de l'Autorité Palestinienne, Mahmoud Abbas, le gère. Mais le principal gain du Hamas à tous égards, est l'augmentation du soutien et de l'admiration des Palestiniens, quelle que soit leur appartenance, (...) Lire la suite »

Les Etats-Unis sont furieux d’apprendre qui est derrière les "mystérieuses" frappes en Libye. (Zero Hedge)

Tyler DURDEN
Ces dernière semaines, nous avons été confrontés à un nouveau mystère : une entité 'inconnue' s’est livrée à des frappes dans une Libye qui vit une crise politique d’une telle ampleur que les titres comme ceux-ci sont devenus la normes : • DES MILICIENS ONT MIS LE FEU A LA MAISON DU MP LIBYEN THENI : AL ARABIYA • LES VOISINS DE LA LIBYE SE METTENT D’ACCORD POUR NE PAS INTERVENIR DANS LES AFFAIRES LIBYENNES ET APPELLENT AU DIALOGUE NATIONAL Les frappes ont surpris tous les médias, y compris Reuters qui, pendant le week-end, rapportait que « Des avions de guerre non identifiés ont attaqué, samedi, les positions d’une faction armée dans Tripoli, la capitale de la Libye, selon des habitants et des médias locaux. La chaîne locale al-Nabaa a rapporté que les avions avaient attaqué quatre positions de la milice Opération Dawn, un regroupement des forces de tendance islamiste de Misrata qui essaie de déloger les brigades de Zintan, qui se trouvent, elles aussi, dans l’ouest de la Libye. » Cette information a (...)Lire la suite »

On nous entraine vers la guerre

Serge CHARBONNEAU
Aujourd'hui notre belliqueux et militariste gouvernement Harper parle de l'impérialisme russe [1] ! Il existe combien de bases militaires russes hors de leurs frontières ? Très peu en comparaison à cette réelle armada américaine répartie sur toute la planète. En 2009, Chalmers Johnson, professeur américain de l'Université de Californie et ancien consultant de la CIA (1967-1973) [2] comptait 865 bases militaires US présentent dans 46 Pays [3] avec 190 000 soldats US et près de 100 000 civils liés à l'entretien de ces bases. Si on veut parler de danger impérialiste, il faut rester dans la réalité. Qui donc a envahi l'Irak et l'Afghanistan ? Qui donc a bombardé pendant huit mois la Libye pour parvenir à assassiner son président et une bonne partie de sa famille ainsi que la plupart de ses partisans ? Qui donc a renversé Laurent Gbagbo en Côte d'Ivoire ? Qui donc a recruté, entrainé, financé et armé [4] ces fous du « allah wakbar » afin de parvenir à tuer le président Syrien ? Notre gouvernement Harper (...)Lire la suite »
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Meshaal parle de la résistance, des négociations et de la politique régionale. (Middle East Monitor)

Ahmad Al-Masri
L’ennemi sioniste a fait deux erreurs. La première, c’est d’avoir conduit les négociations, menées sous le patronage de l’Egypte, dans une impasse et d’avoir fait avorter toutes les occasions de parvenir à un accord politique et par conséquent il portera la responsabilité de cet échec. La seconde erreur est d’avoir violé le cessez-le-feu plusieurs heures avant qu’il ne prenne fin et d’avoir menti, une fois de plus, à la communauté international et à l’administration américaine.
La veille du meeting entre l’Emir du Qatar, Tamim bin Hamad Al-Thani, et le président de l’Autorité Palestinienne, Mahmoud Abbas, à Doha, Khaled Meshaal a donné cet interview exclusif à l’agence de presse Anadolu. Le chef du Hamas, le Mouvement de Résistance Islamique, a dit que la résistance ne retournerait pas à la table des négociations avec Israël sans avoir « l’assurance qu’Israël serait contraint de satisfaire les demandes palestiniennes, notamment la levée du blocus de Gaza. » Pendant l’interview, Meshaal a redit que la résistance ne renoncerait pas à ses exigences : "Nous ne reviendrons pas sur les demandes palestiniennes, dont la première est la levée du siège de Gaza." Il a aussi insisté sur la volonté du mouvement de se battre "jusqu’au bout pour défendre la vie et la terre des Palestiniens," avant d’ajouter que "le peuple palestinien se battait depuis 100 ans et qu’il pouvait encore se battre un mois, un an et même des années." Meshaal a nié que le Hamas avait violé le cessez-le-feu comme le (...) Lire la suite »

Les « Etats faillis »

Manlio DINUCCI
Tandis que depuis la Libye en flammes des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants, poussés par le désespoir, tentent chaque jour la traversée de la Méditerranée, et beaucoup y perdent la vie, le président Napolitano avertit « Attention aux foyers qui nous entourent », à commencer par « l’instabilité persistante et la fragilité de la situation en Libye ». Il oublie, et avec lui la quasi totalité des gouvernants et politiques, que c’est justement l’Italie qui a joué un rôle déterminant pour allumer en 2011 le « foyer » de cette guerre dont l’hécatombe de migrants est une des conséquences. Sur la rive sud de la Méditerranée, face à l’Italie, se trouvait un Etat qui – d’après même la Banque mondiale en 2010 – avait « de hauts niveaux de croissance économique », avec une augmentation annuelle du pil de 7,5%, et enregistrait « des indicateurs de développement humain élevés » parmi lesquels l’accès universel à l’instruction primaire et secondaire et, pour 46%, à celle de niveau universitaire. Malgré les disparités, le (...) Lire la suite »

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