J’ai appris qu’après la COP 15, fut vécu par beaucoup le « syndrome de Copenhague », une dépression climatique. Moi, post-cop-30 de Belém, en remontée lente des flots amazoniens, je ne déprime pas : c’est plutôt une sorte de mélancolie éco-anxieuse…. Car sur ces eaux polluées, toutes les horreurs et les beautés du monde s’expriment. « Sodade, sodade »… |
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