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mardi 27 juin 2023

Médiapart - Guet-Apens : nos projections-débats avec l'équipe du film..le 27.06.2023

 

La lettre nouveautés de Mediapart
Angers, Besançon, Pantin, Marseille, Le Mans... Notre documentaire sur les guet-apens homophobes est diffusé dans plusieurs lieux et cinémas en France, en présence de l'équipe du film.
Voici le programme
 
Alors que le mois des fiertés s'achève, nous vous proposons de revenir sur notre film enquête sur les crimes homophobes, toujours d'actualité en France. Ils sont humiliés, frappés, parfois tués, dans le plus grand silence. Chaque semaine, un homosexuel est attiré dans un piège. Ces guets-apens, symptômes d’une homophobie viscérale, n’ont pas disparu.

Mediapart vous propose un documentaire exceptionnel sur ce phénomène, quarante ans après la dépénalisation de l’homosexualité dans notre pays.
1 mois pour 4,99€, puis 12€/mois
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Nos articles sur les discriminations LGBTQI+
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Concert dans une église annulé, lectures par des drag-queens empêchées, élus locaux menacés, voire poussés à la démission. De plus en plus, l’extrême droite ne se contente plus de dénoncer, elle passe à l’action musclée.
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Jamais autant de lois visant les personnes trans n’avaient été votées aux États-Unis. Après l’avortement et le mariage des couples de même sexe, la transidentité est la nouvelle cible des républicains.
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Il y a dix ans, le mariage des couples de même sexe était voté dans la douleur. Une victoire ? La visibilité LGBTQI+ est de plus en plus grande. Mais depuis cinq ans, les violences homophobes ont doublé. Et la transphobie est au cœur des guerres culturelles menées par les conservateurs dans le monde entier. Discussion en accès libre avec Tal Madesta, Rozenn Le Carboulec et Yanis Khamès.

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« C’est pas le moment ». Ce refrain seriné depuis vingt-cinq ans par les politiques au pouvoir, les personnes LGBTQI+ en ont soupé. C’était pas le moment pour le Pacs. Pas le moment pour le mariage. Évidemment pas pour la PMA. Encore moins pour la parentalité trans. Et ce n’est toujours pas le moment, désolé les enfants, pour être genré·es autrement.

En déclarant que la journée contre l’homophobie dans le foot (qui voit des escouades de joueurs préférer le vestiaire au brassard arc-en-ciel) tombait au pire moment de la saison et devrait être repoussée, plusieurs entraîneurs se sont vautrés le week-end dernier dans cette dialectique homophobe.

Sa violence tient non seulement aux humiliations et discriminations infligées en son nom, ces dernières années, à celles et ceux qui revendiquaient juste l’égalité.
 
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