Protocole Raoult : enfin un peu
de bon sens !
Cher(e) ami(e) de la Santé,
Je suis sidéré par la désinformation généralisée sur le protocole du Pr Raoult à Marseille.
Depuis quelques semaines, les autorités et les médias veulent nous faire croire que l’hydroxychloroquine serait un médicament
« très dangereux » !
« très dangereux » !
C’est de la pure propagande mensongère !
Et je suis bien placé pour vous le dire, moi qui dénonce depuis des années les graves dangers de nombreux médicaments chimiques (statines, anti-acides, anti-inflammatoires, anti-dépresseurs, etc.) !
Alors pour faire toute la lumière sur cette histoire, je voudrais donner la parole au Dr Eric Ménat.
Dans l’interview ci-dessous, il vous explique TOUT, avec des mots simples.
Cela fait du bien, un peu de clarté et de bon sens sur ce sujet du protocole Raoult !
Bonne lecture ! Xavier Bazin
INTERVIEW DU DR ERIC MÉNAT :
INTERVIEW DU DR ERIC MÉNAT :
- Docteur Ménat, pour quelles raisons pensez-vous que l'hydoxychloroquine devrait être autorisée à la prescription en ville pour les patients malades du COVID-19 ?
Dr Eric Ménat : L’hydroxychloroquine (ou Plaquenil, distribué par le laboratoire français Sanofi) est utilisé par les médecins depuis plus de 20 ans.
C’est un dérivé de la chloroquine (ou Nivaquine) qui existe depuis 1949, elle-même dérivée de la quinine isolée en 1820 par les chimistes français Joseph Pelletier et Joseph Caventou.
Tout cela pour dire que les médecins français sont formés de longue date sur ces molécules et ont une excellente expérience de son utilisation.
Leur retirer la liberté de prescrire l’hydroxychloroquine est donc à la fois insultant quant à leurs compétences professionnelles, mais également un non-sens pour plusieurs raisons que je vais vous résumer.
C’est une insulte, car cela laisse entendre que malgré nos 10 ans d’études et notre expérience professionnelle nous ne serions pas capables de déterminer quel patient peut avoir besoin de ce médicament et qui ne doit pas l’utiliser pour des raisons de contre-indication.
On nous dit qu’il faut un bilan médical avant de le prescrire. Je suis d’accord !
Et dans le même temps je constate que ce médicament était en vente libre, c’est-à-dire sans prescription médicale jusqu’en janvier 2020. Avez-vous entendu parler d’un scandale sanitaire avec des centaines de morts à cause de cela ? Non !
En 2009, une réévaluation du médicament par la HAS (Haute Autorité de Santé) montrait que les médecins avaient fait 108 000 prescriptions de Plaquenil avec une posologie moyenne de 2 cpm par jour et une durée moyenne de 76 jours et que 64% de ces prescriptions émanaient de médecins généralistes.
Et la Haute Autorité de Santé, dans sa conclusion, malgré ces très nombreuses prescriptions, n’a jamais évoqué la dangerosité du médicament, mais au contraire a confirmé que « Le service médical rendu par cette spécialité reste important ». Et il est resté en vente libre !
Dire aujourd’hui que c’est un médicament dangereux et que les médecins libéraux sont incapables de le prescrire sans faire prendre de risque à leurs patients est donc un non-sens et une atteinte à l’honneur pour ces médecins.
Attention, je ne dis pas qu’il faut donner de l’hydroxychloroquine à tous les malades susceptibles d’être infectés par le COVID. Ce que je conteste c’est le décret interdisant au médecin traitant de pouvoir l’utiliser quand il le juge utile, en son âme et conscience et en fonction de ses connaissances médicales et des avancées de la science.
Je sais bien qu’on va me dire immédiatement que rien n’est prouvé quant à son efficacité sur le COVID. Je ne le conteste pas, mais à ce jour, face à une maladie mortelle comme le COVID, le protocole du Pr Raoult incluant l’hydroxychloroquine parait être la meilleure option thérapeutique.
Et puisque nous sommes en guerre comme l’a affirmé notre président de la République, nous devons avoir une attitude de médecin de guerre : soigner ! Soigner au mieux de nos connaissances et de nos possibilités pour sauver des vies. Le temps des études n’est pas le temps de la guerre. Nous n’avons pas le temps d’attendre des résultats d’études scientifiques qui, d’ailleurs, tardent à venir.
On va me dire que le traitement pourrait être pire que le mal. Je vous renvoie donc à mes propos précédents : à ce jour, notre très large expérience de l’hydroxychloroquine ne nous laisse pas penser que le traitement soit aussi risqué que certains veulent le faire croire.
Mais surtout, j’en viens maintenant aux aspects pervers de ce décret, nous interdire de prescrire l’hydroxychloroquine est un non-sens absolu.
D’abord, les grands experts qui ont soufflé ce décret à nos dirigeants laissent entendre que nous ne serions pas capables de déterminer quels patients présentent des contre-indications, mais également que nous ne serions pas capables de les suivre médicalement, comme il se doit.
Ce médicament était en vente libre depuis plus de 20 ans et aucune des personnes qui ont pris cette molécule pour partir dans des zones impaludées n’a bénéficié d’un quelconque suivi médical. Et pourtant, personne n’a entendu parler d’une hécatombe chez les voyageurs dans les pays tropicaux.
Mais surtout, les médecins traitants savent parfaitement qu’après toute prescription, ils doivent surveiller son efficacité et ses effets secondaires. Nous faisons cela tous les jours.
Prescrire un antihypertenseur, un diurétique, des anticoagulants et bien d’autres produits bien plus à risque que l’hydroxychloroquine nécessite une surveillance attentive, parfois plusieurs fois par semaine pour certains anticoagulants par exemple. Nous le savons et nous nous acquittons de cette tache depuis toujours.
Alors pourquoi nous interdire la prescription d’hydroxychloroquine bien moins dangereuse et bien plus facile à suivre que beaucoup d’autres médicaments ?
Pourquoi sommes-nous capables de suivre nos patients sous diurétique ou sous anticoagulants qui peuvent les tuer et pas sous hydroxychloroquine qui n’a pas tué grand monde depuis sa mise sur le marché comme l’a confirmé la HAS en 2009 ?
Mais les effets pervers de ce décret vont plus loin.
Les malades qui ne peuvent pas avoir de prescription du médicament se tournent vers le marché noir et certains en prennent alors qu’ils n’en ont pas besoin ou, pire, qu’ils présentent une contre-indication. Car puisque le médecin ne peut pas prescrire, l’utilisation du médicament se fait sans aucun contrôle.
Pire encore, puisque l’hydroxychloroquine n’est pas disponible, certains médecins, mais aussi beaucoup de malades par eux-mêmes, se rabattent sur d’autres thérapeutiques bien moins évaluées que le protocole du Pr Raoult.
On assiste donc pour ces malades à une véritable perte de chance et à un risque potentiellement plus élevé d’effets secondaires.
D’ailleurs l’ordre des médecins vient de taper du poing sur la table en critiquant les « essais cliniques sauvages et les « protocoles illégaux ». Mais l’Ordre n’est-il pas responsable de cette situation en n’ayant pas défendu l’honneur des médecins face à ce décret aussi inefficace qu’absurde ?
Pourquoi l’ordre des médecins a-t-il fait aussi peu confiance à ceux qu’il a pour mission de défendre ?
C’est pourquoi j’ai lancé une pétition pour réclamer l’abrogation de ce décret concernant l’interdiction de prescription de l’hydroxychloroquine.
Rendre la liberté de choix et de traitement aux médecins traitants est indispensable. Le médecin traitant est en première ligne pour dépister et soigner. C’est lui qui connait le mieux son patient et qui sait déterminer quel sera le meilleur traitement pour l’aider.
Surtout que le protocole du Pr Raoult est efficace uniquement s’il est donné tôt aux malades les plus à risque de faire un COVID grave.
Évidemment, pas question de donner de l’hydroxychloroquine à tous les patients qui auraient le moindre symptôme de rhume. Mais est-ce que vous pensez que les médecins ne le savent pas et ne sont pas capables de faire la part des choses ?
Je voudrais ajouter un élément essentiel pour bien comprendre la situation.
Certains ont critiqué l’utilisation de l’hydroxychloroquine en pérorant qu’il n’y a pas de preuve de son efficacité et que sa balance bénéfice-risque n’est pas évaluée.
Et de fait, on voit éclore ci ou là des études sur ce médicament donné seul à différents moments de la maladie et chez n’importe quel type de population. Qu’ils soient positifs ou négatifs, ces études ne veulent rien dire et ne tranchent pas le débat.
Il est possible, voire probable, que l’hydroxychloroquine seule ne soit pas suffisante pour soigner les patients. Mais ce n’est pas le débat !
Le protocole du Pr Raoult est cohérent avec ce que l’on sait de la maladie et ce n’est pas par hasard ou par lubie qu’il a dès le début proposé une bithérapie associant l’hydroxychloroquine à l’azithromycine.
Et tant qu’une étude n’évaluera pas ce protocole avec la bonne association et aux bonnes doses, nous ne pourrons rien affirmer sur l’hydroxychloroquine.
Pourquoi à ce jour, des centaines d’études ont été lancées et quasiment aucune n’utilise ce protocole ? Est-ce parce qu’on veut tout faire pour prouver que le Pr Raoult a tort en utilisant des moyens détournés et des artifices scientifiques ?
Pourquoi la France, qui possède le médicament nécessaire (Sanofi est le fleuron de l’industrie pharmaceutique française même si les usines de production sont installées dans d’autres pays) et un des infectiologues les plus reconnus au monde (n’en déplaise à ses détracteurs parisiens), n’a toujours pas lancé une étude centrée sur le protocole du Pr Raoult en le respectant à la lettre ?
Conflits d’intérêts ? Conflits d’ego ? Volonté de nuire ?
Je ne sais pas, mais ce que je sais, c’est que les victimes ce sont les Français et à ce jour plus de 21000 en sont morts avec en particulier une hécatombe dramatique dans nos EHPAD où ces vieux patients ne reçoivent aucun traitement s’ils commencent à être malades. Pourquoi avoir retiré à nos confrères, médecins généralistes et responsables de ces établissements pour personnes fragiles le droit de pouvoir tenter un traitement avant que près de 50% n’en meurent !
- Pensez-vous que la situation de crise que nous traversons justifie une prescription hors AMM et en l'absence à ce jour de consensus scientifique ?
Dr Eric Ménat : Nous sommes en guerre et la situation dramatique le justifie à mon sens. Mais encore une fois, pas chez n’importe qui et probablement pas chez tous les malades du COVID.
Mais qui est le mieux placé pour savoir quel est le bon candidat pour recevoir ce traitement si ce n’est le médecin traitant qui accompagne son patient depuis des années et connait tout de ses antécédents et de ses risques ?
Si ce décret d’interdiction n’avait pas été pris, il y aurait peut-être eu quelques abus. Mais les médecins sont des gens responsables et je suis absolument persuadé que la très grande majorité aurait su faire preuve de la prudence et de la sagacité nécessaires à cette situation.
On peut même penser qu’en faisant ainsi on aurait pu réduire l’arrivée de cas grave à l’hôpital et ne pas mettre nos consœurs et confrères de réanimation dans une telle situation de surcharge et de tension. Ils n’en auraient été que plus efficaces encore pour prendre en charge les malades les plus graves.
Je veux rappeler que des prescriptions hors AMM la plupart des médecins en font, régulièrement, que ce soit en ville ou à l’hôpital. Je me souviens d’une discussion avec un chef de service d’un grand hôpital parisien qui me disait : actuellement dans mon service, 95% des soins que nous appliquons ne font pas consensus dans la communauté scientifique !
On pourrait aussi se rappeler que la plupart des grandes découvertes sont le fait de médecins, de chercheurs, de scientifiques qui ont su sortir des sentiers battus. Croyez-vous que Pasteur quand il a fait ses premiers essais contre la rage ou Jenner contre la variole avaient des AMM ou un consensus scientifique ?
- Quel protocole médical envisageriez-vous pour soigner les malades du Covid-19 ?
Dr Eric Ménat : Pour moi, sans parler ici du protocole de prévention naturelle que je conseille à mes patients, la base médicale la plus fiable est sans aucun doute le protocole du Pr Raoult.
Il ne faut surement pas prescrire de l’hydroxychloroquine seule. Ce serait absurde face aux connaissances actuelles.
Idéalement, comme le fait l’IHU de Marseille, il faudrait tester les malades présentant des symptômes. Ainsi on ne traiterait que des patients dont l’infection a été prouvée.
Malheureusement nous ne disposons pas d’assez de tests. Notre Directeur Général de la Santé, le Pr Salomon était fier de nous annoncer récemment que nous avions fait 500 000 tests depuis le début de l’épidémie en France alors qu’on sait que l’Allemagne en réalise 500 000 par SEMAINE ! Sans commentaires !
On peut donc éventuellement se baser sur des symptômes très évocateurs sur lesquels je ne reviens pas ici, mais il ne parait pas raisonnable de donner ce protocole sans un faisceau d’arguments cliniques sérieux.
Ensuite, il est nécessaire d’évaluer le risque du patient à faire une forme grave en prenant en compte ses différents facteurs de risque et évidemment de rechercher des contre-indications à l’utilisation de l’hydroxychloroquine, mais aussi de l’Azithromycine.
Si toutes les conditions sont réunies et validées par le médecin traitant (car évidemment personne ne doit prendre ce protocole sans contrôle médical) et que le patient fait partie d’un groupe à risque alors on pourra prescrire au plus vite :
- Plaquenil 200 : 1 comprimé 3 fois par jour pendant 10 jours
- Azithromycine 250 : 2 comprimés le 1er jour et 1 comprimé les 5 jours suivants.
Pour ma part je pense utile d’y associer du Zinc. En effet, cet oligoélément bénéficie de très nombreuses études qui montrent son effet antiviral, y compris contre les coronavirus. On pourrait donc dès les premiers symptômes évocateurs et sans attendre les tests prendre 45 à 60 mg de zinc par jour pendant 1 semaine.
D’après les travaux de différents médecins dont certains ont publié leurs résultats aux USA, le zinc serait un parfait complément du protocole du Pr Raoult. Prendre du zinc à cette posologie pendant 1 semaine ne présente strictement aucun risque. Chez certains patients cela peut déclencher quelques nausées.
Évidemment, ce traitement complémentaire nécessite d’être évalué, mais nous avons déjà des études très probantes.
- À votre avis, pourquoi cette interdiction de prescrire l’hydroxychloroquine ?
Dr Eric Ménat : Question délicate. J’ai déjà évoqué des pistes. Je vais essayer de compléter ma réponse, mais cela reste un sentiment personnel et je n’étais pas présent dans les salons ministériels pour connaitre les tenants et les aboutissants de cette décision et de ceux qui ont fait pression pour qu’il soit pris.
Certains ont probablement eu peur que les médecins généralistes prescrivent sans réserve ce médicament. C’est leur faire vraiment offense que de penser ça.
D’autres ont considéré que tant que nous n’aurions pas de preuve absolue et consensuelle il ne fallait pas l’utiliser. Pour moi ce sont des criminels de guerre qui ont laissé les soldats que nous sommes, nous les médecins, sans armes et la population sans défense. Ils n’ont rien compris à la gravité de la situation.
Il en est, probablement, qui par excès d’égo, n’ont pas voulu donner crédit aux propositions du Pr Raoult, ce spécialiste provincial qui pourtant un des plus grands centres européens d’infectiologie. On se doute qu’il doit faire des jaloux, surtout avec son franc-parler !
Il est possible que des intérêts économiques aient été en jeu. Mettre en avant le protocole du Pr Raoult, laisser la possibilité de prescrire le Plaquenil en ville c’était prendre le risque de faire de l’ombre aux autres options thérapeutiques.
Or, si vous regardez bien, tous les autres candidats médicaments ne sont pas utilisables en ville, car réservés à l’usage hospitalier.
Pourquoi ? Parce qu’ils sont très chers et surtout présentent beaucoup d’effets secondaires, ce qu’on oublie souvent de rappeler quand on parle des risques de l’hydroxychloroquine.
On peut donc imaginer que des lobbys ont agi également pour mettre tous les médicaments candidats sur le même pied d’égalité et les réserver tous exclusivement aux hôpitaux.
Sauf que si c’est un bon calcul financier, c’est un très mauvais calcul scientifique et humain. En effet, que ce soit le Plaquenil, les antibiotiques ou tous les antiviraux actuellement testés dans des protocoles d’études, s’ils peuvent être efficaces c’est uniquement quand ils sont prescrits tôt.
Les promoteurs des antiviraux dont l’efficacité n’est actuellement pas du tout prouvée se sont tiré une balle dans le pied, car s’ils peuvent être utiles, ce n’est surement pas quand le malade arrive à l’hôpital. Là on sait que le virus n’est plus la cible et les antiviraux seront inutiles. Il aurait fallu les prescrire, comme le Plaquenil, bien plus tôt. Mais à 400 € la boite d’antiviral (quand le Plaquenil coûte 4€), il n’était pas possible de les laisser à la disposition de tous les médecins généralistes !
Un dernier argument aurait pu expliquer le décret : le risque de pénurie du médicament.
Or, dès le début de l’épidémie en France nous disposions d’un stock de 300 000 boites d’après les déclarations du Sanofi. Le protocole expliqué précédemment nécessite exactement 1 boite de Plaquenil par patient.
On avait donc, dès février, de quoi soigner 300 000 patients. Je rappelle qu’à ce jour nous avons officiellement 150 000 cas en France. Même si ce chiffre est largement sous-évalué par l’absence de tests, on voit bien qu’on aurait pu soigner la plupart des malades à risque.
Surtout qu’il y a 10 jours, Sanofi, après avoir augmenté ses cadences de production a annoncé qu’ils disposaient de 100 millions de boites pour couvrir les éventuelles commandes de toute l’Europe !
Il n’y avait donc aucun risque de pénurie de médicaments !
Le choix a été de retirer aux médecins traitants le droit de soigner leurs patients, de leur retirer la liberté de choix thérapeutique qui est pourtant inscrite dans la loi.
L’avenir, la recherche, les juristes nous diront dans quelques mois ou quelques années qui avait raison et qui avait tort.
Dans tous les cas, n’en doutez pas, nous sortirons de cette épidémie. Nous vaincrons ce virus. Mais dans combien de temps et après combien de morts ? Quel sera le prix de cette victoire, quel sera le prix humain des décisions prises sur les conseils de nos experts ?
Le peuple jugera et son jugement sera sans appel, car c’est lui qui souffre aujourd’hui et il faudra lui rendre des comptes. (FIN DE L’INTERVIEW)
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BONUS VIDÉO ! Le Dr Ménat a aussi donné une longue interview vidéo au journal Nexus, à regarder ici si ce sujet vous passionne !
Bonne santé,
Xavier Bazin
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