Rythmes scolaires: le rejet de la réforme qui monte de toutes parts.

C’est le titre du dossier publié dans Informations Ouvrières du 24 octobre.

Il rassemble des informations qui ne manqueront pas d’intéresser tous ceux qui, enseignants, parents d’élèves, élus locaux et citoyens attachés au caractère national de l’école combattent contre la territorialisation de l’école, pour l’abrogation du décret Peillon .

On lira

que l’Union des maires de l’Oise réunie en congrès le samedi 19 octobre, vient de voter, à la quasi-unanimité des membres présents — plus de 400 élus — une motion demandant le report et proposant « une remise à plat de la réforme » !
que 75% des enseignants étaient en grève le 17 octobre à Ris-Orangis dans l’Essonne à l’appel de leurs sections syndicales SNUDI-FO, SNUipp-FSU et CGT Educ’action pour demander la suspension de l’application de la réforme
que les parents se mobilisent dans plusieurs communes de la Somme pour mettre fin à l’application de la réforme
que des conseils municipaux prennent position : l’un à Jarny en Meurthe et Moselle pour suspendre toute mesure préparant l’application de la réforme pour 2014”; l’autre à Châteauneuf-du-Faou (Finistère) demandant à l’Etat « de surseoir à l’application de la loi”

Dernière minute: on apprend de source syndicale que lors d’une réunion des fédérations de l’éducation nationale avec les fédérations CGT et FO des personnels territoraiux, un accord s’est dégagé pour un appel intersyndical à lagrève nationale le jeudi 14 novembre (personnels du premier degré et personnels territoriaux) pour obtenir la suspension immédiate de la mise en oeuvre de la réforme et l’abrogation du décret qui la régit.

Catégories: ENSEIGNEMENT, Territorialisation

Le journal de BORIS VICTOR

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mercredi 23 octobre 2013