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jeudi 31 janvier 2013

Un site à découvrir: Tv Vercors

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Jean-Luc Mélenchon était l'invité de "Preuves par 3" sur Public Sénat,


Jean-Luc Mélenchon était l'invité de "Preuves par 3" sur Public Sénat,

  http://www.jean-luc-melenchon.fr

jan 1329
Dans l'émission "Preuves par 3" présentée par Michel Grossiord

Invité de Public Sénat

Ce billet a été lu 5 364 fois.
Mardi 29 janvier 2013, Jean-Luc Mélenchon était l'invité de "Preuves par 3" sur Public Sénat, en partenariat avec Dailymotion et l'AFP. Il était interrogé par Michel Grossiord, Katell Prigent (AFP) et Perrine Tarneaud. Il a notamment demandé le remplacement du PDG de Renault, Carlos Ghosn. 

Mélenchon : la ligne anti-Hollande peut-elle durer ?

Le Point

Par 

Le Point.fr - Publié le  - Modifié le 

Et si les communistes lâchaient le patron du Front de gauche en 2014 ? Irrités par sa stratégie d'autonomisation, certains au PS misent sur ce scénario...

Jean-Luc Mélenchon, patron du Front de gauche, attaque ouvertement François Hollande depuis son élection à la présidence de la République.
Jean-Luc Mélenchon, patron du Front de gauche, attaque ouvertement 
François Hollande depuis son élection à la présidence de la République
. © AFP

Face aux attaques répétées de Jean-Luc Mélenchon contre le gouvernement, le Parti socialiste avait jusqu'ici choisi l'indifférence, pointant, à la manière d'un Jérôme Cahuzac, sa solitude. Mais le lancement par le Front de gauche d'une "campagne contre l'austérité", qui désigne ouvertement les équipes dirigeantes en place comme responsables, a décidé la rue de Solférino à muscler sa riposte. Première salve, la lettre grinçante adressée vendredi dernier à Mélenchon par Jean-Christophe Cambadélis, ancien adversaire d'Harlem Désir dans la course à la direction du PS, n'en était qu'un avant-goût. En exigeant des communistes, alliés au président du Parti de gauche, qu'ils clarifient leur positionnement avant de conclure toute alliance avec eux en vue des élections municipales de 2014, le PS sort l'artillerie lourde.
Aux commandes, Luc Carvounas, chargé des relations extérieures du parti et proche de Manuel Valls, ne mâche pas ses mots à l'égard de celui qu'il a désigné dans les colonnes du Journal du dimanchecomme "le pyromane de la gauche française". "On a un Jean-Luc Mélenchon qui a décidé désormais d'être un opposant en imaginant qu'il est une alternative à gauche", constate-t-il avec regret. "Ça n'existe pas, réfute-t-il, il ne peut pas y avoir plusieurs gauches."

"Un peu trop de fébrilité"...

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Réforme du marché du travail : la couleuvre que l'aile gauche du PS ne veut pas avaler


Le Point.fr - Publié le  - Modifié le 

Des députés PS jugent l'accord sur la sécurisation de l'emploi trop favorable au patronat. Au risque de fragiliser la ligne Hollande-Ayrault.


Sommés de voter sans sourciller les réformes examinées en urgence au cours des six premiers mois du quinquennat, les députés socialistes pourraient se rebeller dans les semaines à venir. Au coeur du problème, l'accord sur la sécurisation de l'emploi qui sera présenté en conseil des ministres le 6 mars et examiné à partir du 2 avril à l'Assemblée nationale puis dans la foulée au Sénat. Un accord qu'ont refusé de signer la CGT et FO. Mais un accord auquel le gouvernement, dans sa volonté de prouver l'efficacité de sa méthode social-démocrate, tient beaucoup.
Comment donner de la marge de manoeuvre aux parlementaires sans casser la dynamique de dialogue avec les partenaires sociaux initiée par le tandem Hollande-Ayrault ? C'est l'équation que tentera de résoudre Jean-Marc Germain, ancien directeur de cabinet de Martine Aubry et futur rapporteur du texte, dans les semaines à venir. "On marche sur des oeufs, tout est une question de doigté", admet le député des Hauts-de-Seine qui pilote la transposition de l'accord en texte juridique. Il faudra être "dans la loyauté avec les signataires" mais aussi rester "à l'écoute des non-signataires", explique-t-il. Comment concilier les deux ? En entreprenant "un travail de bénédictin dans la précision et dans la vérification de tous les risques, de toutes les insuffisances", préconise-t-il.

"On sera extrêmement strict"...

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MALI. La défaite du Parti de la Mort

                                                        Le Nouvel Observateur


MALI. La défaite du Parti de la Mort

Créé le 31-01-2013 à 18h35 - Mis à jour à 20h39

Les islamistes armés ont fait, au nom d’un Allah qui n’appartient qu’à eux, ce qu’ils savaient faire : propager un puritanisme archaïque, envelopper le monde de tristesse, de violence et d’obscurité...

Le 28 janvier 2013, les forces franco-maliennes sont entrées à Tombouctou. Ci-dessus, la liesse d'enfants, ce même jour, à quelques kilomètres de la cité mythique prise aux islamistes armés. (AFP PHOTO / ERIC FEFERBERG)
Le 28 janvier 2013, les forces franco-maliennes sont entrées à Tombouctou. Ci-dessus, 
la liesse d'enfants, ce même jour, à quelques kilomètres de la cité mythique prise aux 
islamistes armés. (AFP PHOTO / ERIC FEFERBERG)




Un an d’occupation islamiste du Nord-Mali. L’expérience amène à faire une nouvelle fois un constat, déjà évident et clair : les islamistes armés, les salafistes radicaux, où qu’ils soient dans le monde, sont d’une grande stupidité et d’une incroyable brutalité.
Leur brutalité, on la connaissait. Cette fois, la panoplie est complète. Pour mémoire, flagellations, amputations, mutilations, couple non marié lapidé, jeune homosexuel ou vieux marabout égorgé. Ils prônent une morale stricte, mais se dépêchent de voler tout ce qui leur tombe sous la main. À Gao et Tombouctou, ils ont commencé par le pillage des banques - forcément impies ! - et le vol des établissements de microcrédit qui aide le peuple, les petits, ceux qui essaient de survivre.
Comme tout bon intégriste, le djihadiste a horreur du tabac et de l’alcool, mais se bourre le nez de cocaïne avant chaque combat et fait piquer ses hommes, enfants-soldats compris, avec des injections d’amphétamines. La drogue, oui...mais pas l’alcool. On croirait du Coluche.
Au passage, comme on a déclaré la "guerre sainte", le djihadiste, qui est malgré tout un homme, s’arroge le droit de prendre femme, en violant si nécessaire, en s’arrangeant avec le code religieux. On se souvient du fameux "mariage de jouissance" en Algérie où les forcenés sunnites du GIA avaient adapté une vieille coutume... chiite, pour légaliser le viol des femmes qu’ils enlevaient.
Brutalité, donc... 
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La fonction publique bat le pavé pour ne pas être "oubliée"

                                                          Le Nouvel Observateur


La fonction publique bat le pavé pour ne pas être "oubliée"

Créé le 31-01-2013 à 19h18 - Mis à jour à 20h11

REPORTAGE - Ils n'étaient que quelques milliers à défiler à Paris, ce jeudi, pour défendre la fonction publique. Et 150.000 dans toute la France.

Les manifestants étaient entre 12 et 15.000 à Paris, selon les syndicats. (Audrey Salor / Le Nouvel Observateur)
Les manifestants étaient entre 12 et 15.000 à Paris, selon les syndicats. 
(Audrey Salor / Le Nouvel Observateur)

"Ensemble, défendons le service public pour tous", peut-on lire sur le tract. "On avait commandé le soleil mais il n'est pas venu" déplore, sourire aux lèvres, la quarantenaire qui les distribue aux manifestants aux abords du cortège. Une pluie fine mais persistante s'est invitée, ce jeudi 31 janvier, à la manifestation parisienne des fonctionnaires appelée par la CGT, la FSU et Solidaires. 12 à 15.000 personnes se sont jointes au défilé parti de Port Royal pour rejoindre les abords du ministère de la Fonction publique, selon les organisateurs. Ils étaient 150.000 en France. 
A l'instar de Blandine, 30 ans, beaucoup d'enseignants ont répondu présents. La jeune femme blonde, carré long, enseigne les mathématiques depuis six ans dans un collège de Drancy, en Seine-Saint-Denis. "Je suis venue défendre le service public, les salaires des fonctionnaires, et dénoncer la journée de carence prélevée sur nos revenus" (en cas d'arrêt maladie, NDLR). Obtenir son abrogation figure au rang des revendications principales des syndicats. De manière plus vaste, ce sont les conditions de travail des professeurs qui inquiètent Blandine. "Les effectifs par classes augmentent, il est devenu compliqué de transmettre", regrette-t-elle. En mai, elle a voté pour François Hollande. Sans "constater de changement depuis"....
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Le Grand Retournement (Gérard Mordillat)


                                         

                                         http://lespoir.jimdo.com


Le Grand Retournement (Gérard Mordillat)

A l’origine il y a un homme, Frédéric Lordon, qui avait parfaitement analysé les dysfonctionnements du capitalisme financier dans son ouvrage « Jusqu’à quand ? ». Quelques années plus tard, il entreprit la rédaction « D'un retournement l'autre — Comédie sérieuse sur la crise financière — En quatre actes, et en alexandrins ». A sa sortie, cet ouvrage constituait un OVNI aussi bien dans le monde littéraire que politique. Avec ce mélange des genres, Frédéric Lordon souhaitait interroger le public en profitant du caractère tragi-comique de la crise financière. Des troupes de théâtre entreprirent de jouer cette pièce, avant que Gérard Mordillat ne tente le pari de son adaptation au cinéma.
La sortie du film est en lui-même un exploit. Le budget minimaliste (450 000 euros contre 60 millions d’euros pour le dernier Astérix) ne permet guère d’extravagances. Qu’importe, il est fidèle à lui-même. La symbolique est forte. Le décor épuré. Une usine désaffectée. Comme un air de désindustrialisation. Voilà pour l’économie réelle. Passons au monde virtuel.

L’action débute avec les soucis d’un banquier qui doit faire face à une forte perte financière. Lordon s’en donne à cœur joie dans sa caricature de l’opacité et de la complexité des produits financiers qui échappent à la maîtrise même des banquiers. Le cynisme et l’appât du gain du monde de la finance est mis en avant. Les dommages causés à l’économie réelle importent peu à partir du moment où une forte rentabilité des placements est atteinte. La logique financière devient folle. Il s’agit d’accroître son profit à n’importe quel prix....

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Fuite de gaz à Rouen : "La thèse officielle est irrecevable"


                                    Le Nouvel Observateur


Fuite de gaz à Rouen : "La thèse officielle est irrecevable"

Créé le 31-01-2013 à 15h12 - Mis à jour à 18h51

La réaction chimique qui a provoqué les émanations de fumées est impossible sans un solvant, dont les autorités ne parlent pas. Trop inquiétant ? Interview du toxicologue André Picot.

L'odeur du gaz a été ressentie jusqu'au sud de l'Angleterre. (CHARLY TRIBALLEAU/AFP)
L'odeur du gaz a été ressentie jusqu'au sud de l'Angleterre. (CHARLY TRIBALLEAU/AFP)
Depuis le début, le toxicologue André Picot s'interroge sur l'affaire des émanations de fumées de l'usine de lubrifiantsLubrizol, survenue à Rouen le mardi 22 janvier. En effet, la réaction chimique qui a provoqué les émanations de fumées est impossible sans un solvant, dont les autorités ne font jamais mention. La vérité est-elle trop inquiétante ? Interview.  
Pour vous, toxicochimiste quelque chose ne colle décidément pas dans les déclarations officielles qui ont suivi l’accident survenu à l'usine Lubrizol de Rouen…
- Oui, il y a un vrai souci. On nous explique que la synthèse du Dithiophosphate de zinc (PS2O2H.xZn) s'est emballée de manière incontrôlée dans l’usine rouennaise et a généré un gaz mal odorant sans toxicité importante : le Méthanethiol. Or, si l’on s’en tient aux bases classiques de la chimie, ce type de réaction est proprement impossible. On ne peut pas passer d’un phosphate minéral complexe à un composé organosoufré, contenant une liaison carbone soufre, par l’opération du Saint-Esprit.
Cette réaction nécessite-telle un solvant ? Et si oui, lequel ? Sinon, c’est une génération spontanée. Or aucun communiqué officiel ne mentionne la présence de ce solvant et, a fortiori, ne nous en précise la nature chimique et la concentration. Je ne comprends pas ce silence de la direction de l’usine relayée par le préfet et les administrations compétentes. Quand bien même il s’agirait de préserver un secret industriel. 
Qu’est-ce que ça change en terme de risque ?...
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Réforme bancaire : l’aveu qui tue !

Marianne


Réforme bancaire : l’aveu qui tue !

Jeudi 31 Janvier 2013 à 14:32 | 



Auditionnés mercredi 30 janvier par la commission des finances de l’Assemblée nationale, les patrons des plus grands établissements bancaires continuent d'exercer une pression sans précédent sur le gouvernement pour que la réforme bancaire soit la plus indolore possible.


La défense, Ile de France - SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA
La défense, Ile de France - SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA

Décidément, les banquiers français - comme leurs homologues anglo-saxons - n’ont pas froid aux yeux ! Depuis des mois, ils exercent une pression sans précédent sur le gouvernement pour que la réforme bancaire sur la séparation entre leurs activités de banque de dépôt et de banque d’investissement soit la plus indolore possible. 

Un lobbying d’enfer qui, même si le gouvernement s’en défend, a conduit Bercy à vider littéralement de sa substance le contenu de son projet de loi - comme Marianne l’a d’ailleurs raconté depuis plusieurs semaines. 

Auditionnés mercredi 30 janvier par la commission des finances de l’Assemblée nationale, les patrons des plus grands établissements bancaires (Société Générale, BNP-Paribas, Crédit Agricole…) ont d’ailleurs joué un sketch qui prêterait volontiers à rire s’il n’était pas aussi indécent. ...
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Mali : Kidal prise, l’instabilité demeure

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MONDE -  le 31 Janvier 2013
Mali

Mali : Kidal prise, l’instabilité demeure


Bamako (Mali), envoyé spécial. Après que l’armée française est entrée dans Kidal, reste la question de la stabilisation du pays. Le président par intérim assure vouloir organiser des élections avant le 31 juillet.
C’est sans doute pour limiter les affrontements que les militaires français ont pénétré hier sans l’armée malienne dans la ville de Kidal, dernière grande agglomération du Nord à tomber, après Gao et Tombouctou. Censée être appuyée par des soldats du contingent envoyé par le Tchad, pays qui ne fait pas partie de la Cedeao, la France a, semble-t-il, voulu apaiser les craintes de représailles dans ce bastion des soulèvements touaregs.
«Tout est désormais sous contrôle»
Les islamistes avaient déjà été « chassés » de Kidal, selon un communiqué diffusé par le Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA), mais celui-ci avait indiqué « refuser » l’entrée de troupes maliennes ou de militaires des pays de la Cedeao. Des craintes certainement fondées, en tout cas concernant l’armée régulière malienne, tant celle-ci a été traumatisée par ses défaites successives au début de l’année 2012 et les massacres atroces attribués à Ansar Dine, avec la complicité du MNLA, à l’image de l’exécution barbare d’une centaine de soldats survenue à Aguelhok au mois de mars dernier.
Les prises de Gao et de Tombouctou ont également été accompagnées de scènes de pillage, visant essentiellement les maisons et les commerces censés appartenir aux « Arabes », et de lynchage contre des habitants accusés d’avoir collaboré avec les islamistes d’Ansar Dine et du Mujao. « Tout est désormais sous contrôle, les forces spéciales ont été déployées dans la ville et il n’y a plus de pillage », tentait de rassurer hier Mamadou Mangara, gouverneur de Tombouctou, sur la route de l’aéroport de Bamako. Les élus réfugiés dans la capitale regagnent progressivement les villes du Nord, des déplacements organisés par l’armée française.
L’après-guerre ne peut pas se régler sans élections...
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  • À voir
Entretien en vidéo avec André Bourgeot, anthropologue et chercheur au CNRS spécialiste de la zone saharo-sahélienne

150 000 à crier : "Fonctionnaires maltraités, service public en danger"

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SOCIAL-ECO -  le 31 Janvier 2013

150 000 à crier : "Fonctionnaires maltraités, service public en danger"


Ils étaient des dizaines de milliers de fonctionnaires, partout en France, à défiler ce jeudi à l’appel de la CGT, la FSU et Solidaires, pour dénoncer leurs conditions de travail. La mobilisation avait reçu le soutien du Front de gauche.
"Plus de 150.000 personnes" sont descendues dans la rue sur l'ensemble du territoire "pour dire leurs légitimes exigences et leur fort mécontentement", ont affirmé les trois syndicats à l’origine de l'appel à la grève, la CGT, première force chez les 5,2 millions d'agents, la FSU et Solidaires.
Ils étaient entre 12 et 15.000 personnes à Paris, selon les syndicats, et ont manifesté depuis la place de Port-Royal vers les abords du ministère de la Fonction publique. En province, les syndicats ont compté près de 9.000 manifestants à Marseille, 3.000 à Lyon, au moins autant à Toulouse, 2.500 à Bordeaux, et plus de 1000 à Toulon, à Lille ou encore à Nice.
Dans les cortèges mêlant agents de l'éducation, des douanes ou encore des hôpitaux, on pouvait lire: "Fonctionnaires maltraités, service public en danger", "Cocorico, bientôt le coq ne chantera plus à force d'être plumé", "Fonction publique en colère", "Hollande, rends-nous la monnaie". Les syndicats réclament une augmentation du point d'indice, l'abrogation de la journée de carence (non indemnisée) en cas d'arrêt maladie ainsi que des créations de postes. Les syndicats espèrent peser sur une réunion consacrée aux carrières et rémunérations prévue le 7 février avec la ministre de la Fonction publique, Marylise Lebranchu.
Réactions...
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Le "Non" des Islandais est légal

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MONDE -  le 30 Janvier 2013
Islande

Le "Non" des Islandais est légal


Une cour de justice européenne a donné raison à l’Islande, qui n’aura pas à rembourser les dettes de la banque Icesave. Par référendum, en 2010, les citoyens avaient refusé d’être rançonnés.
Après la voix du peuple, celle des juges. À deux reprises, les citoyens islandais avaient refusé par référendum de rembourser sur deniers publics les dettes de la banque en ligne Icesave, en faillite. La Cour de justice de l’Association de libre-échange européenne (Efta) vient de leur donner raison. Ce n’est pas à l’Islande de rembourser les 300 000 clients néerlandais et britanniques d’Icesave, filiale, alors, de la deuxième banque du pays, Landsbanki, elle aussi en faillite. Le gouvernement islandais s’est réjoui de cette décision qui « met fin à une importante étape dans une longue saga ».
Après la faillite d’Icesave en 2008, le Royaume-Uni et les Pays-Bas ont remboursé leurs citoyens épargnants. Et se sont ensuite tournés vers l’Islande pour obtenir le paiement. Ce que le gouvernement conservateur d’alors, chassé par la suite par la révolution des casseroles, a accepté....
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