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lundi 31 mars 2014

à lire sur le Monde.fr , mardi 1 er avril 2014

                                  
MARDI 1 AVRIL 2014 
 
 Manuel Valls et Jean-Marc Ayrault, le 25 août, à La Rochelle. 
Manuel Valls, le pari risqué de François Hollande
 
Longtemps perçu comme l'homme le plus à droite du Parti socialiste, Manuel Valls s'est récemment rapproché de deux figures de la gauche du PS, Arnaud Montebourg et Benoît Hamon.
 
 
 
 François Hollande lors de son allocution télévisée du 31 mars. 
Hollande tourne la page Ayrault mais garde son cap
 
Bousculé par la défaite aux municipales, le chef de l'Etat maintient le cap : il veut mettre en œuvre le pacte de responsabilité au plus vite.
 
 
 
 Après avoir entretenu le silence et le mystère jusqu'à la débâcle du PS aux élections municipales, François Hollande a finalement choisi le ministre de l'intérieur pour succéder à Jean-Marc Ayrault. 
La folle journée qui a conduit Manuel Valls à Matignon
 
Au lendemain de la déroute du PS aux élections municipales, François Hollande a finalement choisi le ministre de l'intérieur pour succéder à Jean-Marc Ayrault en tant que premier ministre.
 
 
 
 Alors que les ex-ministres du logement et du développement ont annoncé qu'il ne participeraient par la future équipe de Manuel Valls, les écologistes semblaient partagés lundi sur l'avenir de leur alliance gouvernementale. 
EELV veut une « clarification » avant de se prononcer sur un soutien au gouvernement
 
Après le retrait annoncé de Cécile Duflot et Pascal Canfin d'un futur gouvernement, le parti écologiste se dit insatisfait des « orientations présentées ».
 
 
 
 François Hollande a demandé à Manuel Valls de former un nouveau gouvernement. 
Pourquoi Hollande a-t-il choisi Valls ?
 
Pourquoi Hollande a-t-il choisi un premier ministre qui incarne la droite du Parti socialiste au risque de s'aliéner une partie de sa majorité ? Le point de vue de Gérard Courtois, éditorialiste au « Monde ».
 
 
 
 Au lendemain de la nomination de Manuel Valls à Matignon, la presse estime que le nouveau premier ministre risque de se « rocardiser », à moins qu'il ne fasse de l'ombre au président. 
Remaniement : pour les éditorialistes, Hollande a tranché en « chef »
 
Au lendemain de la nomination de Manuel Valls à Matignon, la presse estime que le nouveau premier ministre risque de se « rocardiser », à moins qu'il ne fasse de l'ombre au président.
 
 
 
 
 
En images
François Hollande a demandé à Manuel Valls de former un nouveau gouvernement.
 
Pourquoi Hollande a-t-il choisi Valls ?
Pourquoi Hollande a-t-il choisi un premier ministre qui incarne la droite du Parti socialiste au risque de s'aliéner une partie de sa majorité ? Le point de vue de Gérard Courtois, éditorialiste au « Monde ».
 
Baisse des impôts, pacte de solidarité : les annonces de Hollande
 
Nomination de Valls : « On prend l'homme le plus à droite pour répondre au peuple de gauche »
 
Remaniement : « Une blague ! », selon Guaino
 
Bruno Le Roux : « Le président a tiré les leçons du scrutin »
 
 
 
 
 
 Et aussi 
 
 La journaliste Katie Couric et la directrice générale de Yahoo! Marissa Mayer à Las Vegas, le 7 janvier. 
Malgré l’échec DailyMotion, Yahoo! rêve toujours de concurrencer YouTube
 
Selon le « Wall Street Journal », la société négocierait le rachat de News Distribution Network, une plate-forme qui diffuse des clips sur les sites Internet de grands médias.
 
 
 
 La ministre déléguée chargée de la francophonie, Yamina Benguigui, à l'Elysée, à Paris, en mai 2012. 
Hidalgo demande à Yamina Benguigui de démissionner du Conseil de Paris
 
La ministre déléguée chargée de la francophonie est soupçonnée d'avoir menti sur sa déclaration de patrimoine en dissimulant des actions pour une valeur de 430 000 euros.
 
 
 
 Le parquet avait tenté d'engager des poursuites pour atteinte à la pudeur contre la jeune femme et son fiancé, déclenchant un vaste scandale en Tunisie. 
Tunisie : les policiers accusés de viol condamnés à 7 ans de prison
 
Deux agents ont été reconnus coupables d'avoir violé une jeune femme en 2012, pendant qu'un troisième extorquait de l'argent à son fiancé.
 
 
  
 | LE JOURNAL DATÉ DU 1 AVRIL
 
 
« 47 Ronin » : un film fourre-tout de samouraïs
 
Adaptant l'une des plus célèbres légendes japonaises, le réalisateur de publicité Carl Erik Rinsch fait des débuts trébuchants dans le cinéma de fiction.
 Lire le journal
 
 Un rapport du Sénat sur les méthodes d'interrogatoire, encore confidentiel mais dont le « Washington Post » révèle une partie du contenu, est accablant pour l'agence de renseignement. 
Tortures : la CIA a caché ses méthodes à l'Amérique
 
Un rapport du Sénat sur les méthodes d'interrogatoire, encore confidentiel mais dont le « Washington Post » révèle une partie du contenu, est accablant pour l'agence de renseignement.
 
 
 
 Les adhésions se sont accélérées pour atteindre un total de plus de six millions de nouvelles inscriptions la semaine dernière, selon la Maison Blanche. 
Aux Etats-Unis, le gong a sonné pour les inscriptions à l'« Obamacare »
 
La réforme de la santé, rendant l'assurance-maladie obligatoire, a fait l'objet d'interminables batailles entre républicains et démocrates, que ces derniers pourraient payer aux prochaines élections.
 
 
 
 Les campagnes de chasse se poursuivent au Japon, malgré la pression des associations écologistes, pour des raisons nationalistes. 
Chasse à la baleine : « une décision historique, avec des répercussions mondiales »
 
Patrick Ramage, du Fonds international pour la protection des animaux, estime que la décision de la Cour de justice internationale pourrait entraîner l'arrêt de la chasse dans d'autres océans que l'Antarctique.
 
 

Les dernières publications du WSWS , mardi 1er avril 2014

                        

1er avril 2014

L'OTAN accentue la pression militaire sur la Russie

Par Stefan Steinberg et Peter Schwarz, 1 avril 2014
L'OTAN a poursuivi son renforcement militaire à la frontière russe, les négociations entre les représentants des États-Unis et de la Russie se terminant sans un accord.

Le Parti de l’Egalité socialiste en Grande-Bretagne se joint au Parti de l’Egalité sociale en Allemagne pour mener la campagne des élections européennes

Par nos correspondants, 1 avril 2014
L’objectif du SEP et du PSG dans ces élections est d’unir les travailleurs dans une lutte pour les Etats socialistes unis d’Europe, contre l’Union européenne capitaliste et ses gouvernements nationaux.

à lire sur l'Humanité.fr , mardi 1 er avril 2014

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Mardi 1 er avril 2014


L’éléphant au milieu de la cour....

http://la-sociale.viabloga.com


La Sociale

Analyses et débats pour le renouveau d'une pensée de l'émancipation

L’éléphant au milieu de la cour

Communiqué de l'association pour une Constituante

Par la-sociale • Actualités • Lundi 31/03/2014 •
Le scénario est bien réglé depuis trente ans. Chaque élection intermédiaire entre deux présidentielles inflige un désaveu au parti du Président. Mais les institutions permettent de maintenir à flot le pouvoir d’un Président intouchable.

Les municipales ont amplifié le scénario habituel : par la montée de l’abstention, par le vote Front national. Pour le reste, c’est l’alternance habituelle entre PS et UMP. Mais la légitimité des institutions est atteinte.
Comment ne pas voir l’éléphant au milieu de la cour ? Tous les commentaires politiques et médiatiques évitent la question fondamentale : celles des institutions à bout de souffle et du jeu politique sclérosé. Jusqu’à quand va-t-on refuser de voir la profonde crise de régime dans laquelle la France est plongée ? Jusqu’à quand va-t-on bafouer la souveraineté populaire ? La démocratie doit-elle se dissoudre encore plus dans les diktats des marchés financiers et la « gouvernance » européenne ? Exaspérés, les électeurs font avec les moyens du bord : abstention, vote blanc, rejet des uns puis des autres, fuite en avant, etc. Mais le système résiste. On évoque le remaniement du gouvernement, on parle d’alternance. Mais c’est d’alternative dont la vie politique a besoin. Et c’est bien ce que nos institutions et notre jeu politique empêchent. Le pays s’achemine lentement vers l’acceptation de formes autoritaires du pouvoir et les partis principaux ne savent que se poser en recours contre la politique de leur alterego.
Rétablir la démocratie par l’élection d’une Assemblée constituante au suffrage universel est la voie du salut public.

Association pour une Constituante  13 rue du Pré Saint Gervais 75019 Paris
www.pouruneconstituante.fr
Articles publiés dans les 7 derniers jours :

L'Imposteur Hollande et ses complices.....

http://la-sociale.viabloga.com

La Sociale

Analyses et débats pour le renouveau d'une pensée de l'émancipation

L'Imposteur Hollande et ses complices

L'orientation politique du gouvernement Hollande et les élections municipales...

Par Jacques Cotta • Actualités • Lundi 31/03/2014 
La déroute électorale annoncée au soir du premier tour des élections municipales prend l’allure d’une véritable bérézina. Rejet d’une politique, rejet des socialistes au pouvoir, rejet des hommes, rejet des institutions de la cinquième république. Tout y est et curieusement politiques, journalistes, ou encore éditorialistes qui s’obnubilent sur un éventuel remaniement  sont nombreux à ne rien voir…

De la déroute à la bérézina

Même si dans le cadre de nos institutions il est habituel de voir aux élections intermédiaires le parti au pouvoir reculer, le parti socialiste aidé en cela par le gouvernement et le président François Hollande se sont ce coup-ci surpassés. La déroute annoncée au soir du premier tour prend l’allure d’une véritable bérézina. Quelques éléments permettent de cerner l’ampleur de cette débâcle.
 
  • D’abord le taux historique des abstentions pour ce type d’élections. Il dépasse nationalement les 36%. Mais la moyenne est trompeuse. Dans nombre de quartiers populaires, ce chiffre atteint les 40, 45 voire 50 ou même 60% d’abstentions. Le « clivage » gauche-droite entretenu les jours de vote a fait long feu… L’abstention massive exprime un rejet des politiques suivies.
  • Les pertes du parti socialiste sont tout autant historiques. Ce qu’il avait acquis durant plus de dix ans s’est évaporé en l’espace d’un scrutin.
a/155 villes de plus de 9000 habitants passent à « droite » dont 68 de plus de 30 000 habitants.
 
b/Parmi les pertes, certaines sont particulièrement symboliques. Angers que le PS dirigeait depuis 1977, Aulnay-Sous-Bois, ville symbole de la crise depuis la fermeture de PSA Peugeot-Citroën, où le socialiste sortant est écrasé par l’UMP et par l’abstention qui atteint 43,43%, Belfort, le fief de Jean Pierre Chevènement détenu depuis 37 ans, Charleville-Mézières, bastion historique de la gauche au cœur des Ardennes, La Roche-sur-Yon en Vendée, détenue par le parti socialiste depuis 1977, Limoges socialiste depuis 1990, Nevers depuis 1971, ou encore Quimper dans le Finistère où le perdant est le conseiller proche de François Hollande, Bernard Poignant, qui était en place depuis 3 mandats… Et Reims, Toulouse, Pau, Saint-Etienne, Valence… etc.…

Derrière les élections municipales se profile une onde de choc terrible pour le parti socialiste. Les communautés urbaines de Lille, Lyon, Bordeaux, Nantes, Marseille par exemple, que les socialistes géraient, risquent bien d’être perdues. Les conséquences pour le parti de la rue de Solferino vont être redoutables et les députés ou sénateurs qui m’indiquaient craindre le pire –lors de confidences anonymes ou revendiquées qu’ils me faisaient dans le cadre de mon dernier livre « L’Imposteur[1] » que je rédigeais quelques mois avant les élections- ne se trompaient pas. Les positions municipales permettaient au parti socialiste d’entretenir une armada d’affidés dans les exécutifs locaux. Avec une hémorragie d’élus et de fonctionnaires que ces élus faisaient vivre, c’est le parti socialiste lui-même qui va un peu plus s’étioler…


A la gauche de la gauche, c’est pas mieux

Le constat est là aussi sans appel. Ce que le parti socialiste a perdu n’a pas bénéficié à la gauche de la gauche qui depuis les présidentielles de 2012 a l’ambition de se présenter comme le recours.

Là encore quelques résultats symboliques sont sans appel :

a/Bobigny dominé depuis un siècle par le parti communiste -depuis sa création en 1920 - est terrassée par un candidat UDI et par 49% d’abstention.

b/Saint-Ouen, un des bastions historiques du parti communiste, tombe dans l’escarcelle d’un divers-droite avec une participation qui n’atteint que 55,26%.

c/Villejuif, gérée depuis 1925 par le parti communiste, qui tombe dans les mains de l'UMP.

....

Mais il y a pire que les résultats arithmétiques. Dans les faits que reste-t-il en effet du Front de Gauche principalement constitué par le parti de gauche et le parti communiste ? Le parti communiste pour sauver quelques fauteuils a privilégié des accords à géométrie variable, parfois dés le premier tour, avec le parti socialiste. Il s’est ainsi retrouvé sur des listes communes pour les élections locales avec ceux qu’il est censé combattre au niveau national. Vive l’austérité et le pacte de compétitivité d’un côté, à bas de l’autre…. Comprenne qui pourra… Il s’est ainsi défini non comme un parti, mais comme une espèce de fédération ou ses composantes sont plus  déterminées par leurs intérêts que par une orientation commune. En quoi dés lors peut-on encore parler d’un parti ? Situation explosive au sein du PCF –que l’appareil et les intérêts particuliers peuvent certes momentanément contenir- mais surtout au sein du front de gauche. A Paris par exemple, les tensions avec le parti de Jean Luc Mélenchon ont été à l’extrême. Dés lors le Front de gauche risque d’avoir bien du mal à se redonner une légitimité que l’absence de cohérence de sa principale composante lui a ôtée.

L’Imposteur et ses complices

La scène vaut toutes les démonstrations. Nous sommes sur le plateau de France 2 le soir dimanche au soir. Pour la énième fois de la soirée, David Pujadas pose la même question. Quel que soit l’invité, elle semble l’obséder.
-Alors, va-t-il y avoir remaniement ? Quand ? …
Chaque fois la même réponse des émissaires socialistes sur les plateaux de télévision…
-C’est au président de savoir et de décider…
Et soudain c’est à Marine Le Pen que le présentateur s’adresse, après avoir recensé la dizaine de villes –Nîmes, Fréjus, Beaucaire, Béziers, Hayange, Cogolin…- emportées par le Front National. Il questionne encore…
-Un remaniement, vous en pensez quoi ?
 La leader du Front national saisit la perche.
-La leçon du soir, ce n’est pas remaniement ou pas, mais quelle politique demain. Vous allez arrêter le « pacte de responsabilité » j’espère… dit-elle à l’adresse de Pierre Moscovici.
-Il nous faut aller plus vite et plus fort, répond celui-ci sans sourciller.
-Mais le remaniement ? demande à nouveau Pujadas.
-A quoi sert un remaniement ? C’est la politique suivie qui compte ! conclut Marine Le Pen.
La scène serait grotesque si elle ne révélait le caractère tragique de la situation. Alors que les ministres socialistes se succèdent pour annoncer qu’il leur faudra aller « plus vite et plus fort », donc pour qui sait comprendre poursuivre en l’amplifiant la politique qui a été désavouée et rejetée par les français, c’est la leader d’extrême droite qui ramène le débat là où il doit être.

Tout cela révèle les complicités dont jouit François Hollande, l’Imposteur qui a été élu pour une rupture avec Nicolas Sarkozy et qui une fois au pouvoir fait la même politique, en pire parfois. Les médias, journalistes en vue en tête, sont les acteurs d’un grand « jeu » qui se borne à savoir si dans le cadre de la même politique, c’est Pierre, Paul ou Jacques qui occupera le poste de commandes. Mais nul ne s’aventure sur le contenu de cette politique qui réalise le consensus PS – UMP et malgré les apparences FN aussi, et que rejettent les français. Cela transgresserait les règles du jeu au point d’en perturber le déroulement. Cela remettrait en cause le système, et c’est précisément cela que nul ne veut. Alors pas un mot sur la politique suivie et surtout sur le désintérêt que représente un remaniement pour une politique qui globalement demeurerait identique.

Ce n’est qu’un début

Comme le « jeu » doit se poursuivre, quitte à conduire à la catastrophe, le parti socialiste, François Hollande et les ministres ont déjà asséné que la politique qui sera suivie sera globalement la même. Ils se retranchent derrière les institutions anti-démocratiques de la 5ème république pour se croire tout permis, et intouchables.

Hollande, l’Imposteur encore et toujours. Elu pour mettre un coup d’arrêt au Sarkozysme, « moi président » s’est empressé de reprendre la TVA sociale, de s’inscrire dans les « réformes » des retraites, de multiplier les cadeaux aux chefs d’entreprises, payés par les contribuables, de mettre en place l’ANI qui instaure la flexibilité du travail et interdit tout recourt sérieux, de démanteler un peu plus l’organisation territoriale avec le nouvel acte de décentralisation, d’entamer le caractère national de l’éducation, de s’inscrire dans le projet « d’Europe des régions », d’instaurer la MAP en lieu et place de la RGPP, de liquider toujours les postes de fonctionnaires et d’entamer notre bien commun, les services publics, au nom d’économies exigées par le Medef et les marchés financiers, …. La liste n’est pas close. C’est celle qui a conduit à la débâcle des municipales et qui annonce une amplification aux prochaines européennes.

François Hollande « l’Imposteur » se trompe-t-il ? Comme me l’ont confié certains de ses proches[2], il suivrait un plan de marche établi par ses conseillers avec en ligne de mire les présidentielles de 2017. Cela en trois étapes. D’abord la réduction dans son propre camp de ses adversaires potentiels. La mise à mal du PS tomberait à pic. Ensuite la réduction de la droite parlementaire au profit du FN. Il compte sur les affrontements au sein de l’UMP et sur la « droite la plus bête du monde » pour l’y aider. Enfin un duel Hollande Le Pen dont il se verrait victorieux, comme Jacques Chirac avant lui. Mais c’est là oublier que si l’histoire se répète parfois, c’est souvent en tragédie ou en farce…

La question posée aujourd’hui est bien celle de la politique suivie. Du consensus des formations politiques qui toutes se retrouvent au parlement de Strasbourg ou à Bruxelles pour cautionner les directives qui jouent contre les peuples au profit du capital financier. Ces questions sont incontournables et devraient être abordées dans les combats à venir, dont celui qui se mènera pour le boycott militant des prochaines élections européennes, farce tragique destinée à faire cautionner l’Union Européenne par les peuples qui la subissent au quotidien.


Jacques Cotta
Le 31 mars 2014

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