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vendredi 31 août 2012

Invité du Grand Journal sur Canal

Invité du Grand Journal sur Canal

 je viens de visionner cette émission . Toujours aussi aussi bon dans les débats ce Jean-Luc Mélenchon.
Même Apathie s'est aplati devant l'argumentation de Mélenchon!

Invité de la matinale de France Info

Invité de la matinale de France Info

L'intervention de Jean-Luc Mélenchon sur France Info.

Au secours , le MEDEF revient !

Au secours , le MEDEF revient !

Une analyse que je partage.

Ayrault veut « un nouveau modèle de négociation sociale »

Jeudi 30 Août 2012 | POI | Commentaires Fermés Ayrault veut « un nouveau modèle de négociation sociale » S’adressant hier à l’Université d’été du MEDEF, placée sous le mot d’ordre « Intégrer », le Premier ministre Jean-Marc Ayrault, qui aspire à « l’éclosion d’un nouveau modèle de négociation sociale », a appelé les « partenaires sociaux » à « accélérer le rythme des négociations » sur la sécurisation de l’emploi. Laurence Parisot, Présidente du MEDEF s’est félicitée de la présence du Premier ministre mais a déploré qu’il n’ait pas mis la « flexibilité », son remède pour que les entreprises défendent l’emploi, au programme de la négociation attendue. Selon l’édition de ce matin du quotidien Le Figaro, elle a cependant ajouté pour « dédouaner » le Premier ministre qu’« on a toujours tort de se faire peur avec des mots et celui de souplesse me convient aussi ». Le numéro deux de la CFDT, Laurent Berger, estime que « les choses vont plutôt dans le bon sens » et que « tous les éléments sont réunis pour que chacun puisse se faire entendre par la voie du dialogue social ». Bernard Thibault, secrétaire général de la CGT, juge, lui, qu’en raison d’ « une forte détérioration de la situation », le gouvernement devra « trancher » entre les revendications des patrons et celles des travailleurs : « Il est hors de question pour nous de considérer que les salariés devraient accepter une plus grande flexibilité ». Jean-Claude Mailly, Secrétaire général de Force Ouvrière, qui a déjà demandé au gouvernement de changer sa politique économique, se déclare « d’accord avec ce que dit Bernard Thibault

jeudi 30 août 2012

Les choses s’accélèrent l'édito d'INFORMATIONS OUVRIERES

Mardi 28 Août 2012 | POI | Commentaires Fermés Les choses s’accélèrent L’EDITO d’INFORMATIONS OUVRIERES par Daniel Gluckstein, Secrétaire national du POI. Pas un jour ne passe sans que le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, n’appelle les élus et responsables du PS à la plus stricte discipline concernant la ratification du traité TSCG. Crainte que quelques voix ne fassent défaut lors du scrutin ? Sans doute. Mais pas uniquement. L’annonce du calendrier de la ratification s’inscrit dans un plan d’ensemble qui décline le contenu du TSCG en un large éventail de contre-réformes et d’attaques anti-ouvrières dont le gouvernement exige que s’y associent les organisations syndicales (lire page 4). La rentrée scolaire se dessine sous le double signe de l’austérité et de la dérèglementation. La barre des 3 millions de chômeurs est franchie. Le journal capitaliste Les Echos ne cache pas son inquiétude : « Bien placé pour se souvenir de la victoire du “non” au référendum de 2005, François Hollande sait qu’un texte européen peut aisément se transformer en paratonnerre des inquiétudes ou des colères des Français. Au moment où le chômage bat de nouveaux records et où l’atonie de la croissance contraindra le gouvernement à une rigueur plus forte encore qu’annoncé, le risque d’une montée de l’hostilité à l’Europe n’est pas nul. » C’est précisément parce que ce TSCG concentre la volonté d’imposer la continuité des plans anti-ouvriers et antidémocratiques de l’Union européenne que le POI mène une campagne inlassable pour l’unité contre sa ratification et travaille patiemment, à tous les niveaux, à tisser les fils, parfois ténus, de l’unité entre militants, organisations et associations, élus pour avancer sur la voie d’une mobilisation unie qui la mette en échec. Au lendemain de l’appel par le Front de gauche à une manifestation nationale pour un référendum sur le TSCG, le POI a réitéré sa proposition de rencontre. A quoi les responsables du PCF et du PG viennent de répondre positivement. Le POI, qui mène campagne pour l’organisation d’une manifestation nationale dans l’unité contre la ratification du TSCG, ne méconnaît pas la différence entre manifester pour exiger un référendum et manifester contre la ratification. Pour notre part, nous estimons que la situation exige un appel clair à mobiliser en masse dans la rue les travailleurs, les jeunes dans l’unité des partis se réclamant de la classe ouvrière pour faire céder le gouvernement sur le TSCG. A l’heure où nous écrivons, un tel appel n’a pas été lancé. Cependant, le POI — il en a fait la preuve depuis six mois — n’écarte aucune possibilité permettant d’avancer sur la voie de l’unité. Dans les rencontres qui ne manqueront pas de se multiplier à tous les niveaux, dans les prochains jours, nous exposerons clairement notre position, sans en faire un préalable : à savoir que toute la situation exige que la mobilisation se concentre sur le refus de la ratification ; et que, s’agissant du référendum, encore faut-il, pour qu’il puisse avoir lieu, que le gouvernement soit contraint préalablement de renoncer à son intention de faire ratifier le TSCG début octobre. Pour les adhérents du POI, l’ordre du jour est tout tracé : multiplier dans les prochains jours les réunions de comités pour l’unité, prendre tous les contacts possibles pour assurer la mobilisation la plus large pour une manifestation nationale contre la ratification du TSCG. Et ainsi jeter les bases d’une force politique dressée contre « une rigueur plus forte encore qu’annoncé », qu’il s’agisse de mettre en échec le TSCG ou d’aider à réaliser l’unité contre toutes les mesures d’austérité et contre-réformes qui en découlent.

arrêt immédiat de la répression à Marikana !

eudi 30 Août 2012 | POI | Commentaires Fermés Afrique du sud: arrêt immédiat de la répression à Marikana ! Quinze jours après le massacre de mineurs grévistes le 16 août par la police sud africaine que se passe-t-il à Marikana ? La grève se poursuit et les 260 grévistes arrêtés après la fusillade, sans compter les 78 blessés, sont toujours en état d’arrestation et menacés de lourdes condamnations. Informations Ouvrières du 30 août consacre une large place à la situation en Afrique du sud. Le journal cite le communiqué du 17 août du parti communiste d’Afrique du Sud (SAPC) appelant à l’arrestation des dirigeants du syndicat des mineurs AMCWU. Le SACP est membre, depuis 1994, de la « coalition tripartite » au pouvoir, aux côtés du Congrès national africain (ANC) et la Confédération des syndicats d’Afrique du Sud (Cosatu). Comment est-il possible, interroge Informations ouvrières, qu’un gouvernement constitué d’organisations issues de la lutte contre l’apartheid fasse tirer sur des ouvriers noirs ? Ne faut-il pas en chercher la raison dans le refus obstiné de rompre avec le régime capitaliste ? le gouvernement tripartite a, dès 1994, abandonné toute prétention à nationaliser les terres et le sous-sol au profit de la majorité noire. Il a poursuivi, au détriment de cette majorité, le remboursement d’une dette contractée… par le régime de l’apartheid. Ne sont-ce pas là les raisons profondes de la tragédie de Marikana ? Informations ouvrières donne de nouveau la parole à Lybon Mabasa, militant historique de la lutte contre le régime de l’apartheid et actuel président du Socialist Party of Azania (Sopa), parti associé aux activités de l’Entente internationale des travailleurs et des peuples, Il indique, depuis Marikana : « Aux appels ouverts à la répression, émanant de dirigeants des partis gouvernementaux et de la Cosatu, a succédé une gigantesque opération de « consensus national », amenant le président de la République, Jacob Zuma, à décréter une « semaine de deuil national » et à se déplacer, le jeudi 23 août, à Marikana. Ce changement de tonalité (tandis que la répression se poursuit) ne s’explique que par la sympathie de l’immense majorité des travailleurs du pays envers les mineurs, et parce que les appels venus « d’en haut », à condamner les grévistes ne passent pas » Depuis, le vice-président Kgalema Motlanthe, a été amené à déclarer que les manifestants étaient dans leur droit quand ils exprimaient leurs griefs. l’Entente internationale des travailleurs et des peuples a lancé un appel d’urgence le 23 août, pour exiger du gouvernement sud-africain l’arrêt de la répression. Informations ouvrières du 30 août fait état des réactions du mouvement ouvrier international qui commencent à affluer : de la CUT du Brésil, de l’UGTG de Guadeloupe, de nombreuses organisations noires des USA, de France (FNECP-FO, FSU, CGT). A Paris, une délégation se rendra dans les jours qui viennent à l’ambassade sud-africaine. Plus que jamais, il est de la responsabilité du mouvement ouvrier de faire front contre la répression qui frappe les travailleurs de Marikana. Envoyez toutes les prises de position à Entente internationale des travailleurs 87, rue du Faubourg-Saint-Denis, 75010 Paris, France eit.ilc@fr.oleane.com qui transmettra aux organisations sud-africaines. Pour la France, les coordonnées de l’ambassade d’Afrique du sud sont les suivantes:

mercredi 29 août 2012

La CGT se lance dans la bataille contre la ratification du TSCG

Mercredi 29 Août 2012 | POI | Commentaires Fermés La CGT se lance dans la bataille contre la ratification du traité européen (TSCG) À la mi-journée, dans un entretien à l’AFP, Bernard Thibault, secrétaire général de la CGT, a annoncé une campagne de pétition contre la ratification du traité budgétaire européen (TSCG), tout en jugeant alarmante la situation économique et sociale de la France. La CGT va lancer, a-t-il dit, « une campagne d’information et de mobilisation pour relayer la position de la Confédération européenne des syndicats (CES), rejetant le traité européen, qui est susceptible d’être soumis à ratification dans les semaines à venir ». Il ajouté que sa confédération allait « militer pour une non-ratification par la France de ce traité, quelle que soit la procédure utilisée ». Elle va ainsi « élaborer un matériel grand public, dont un texte à faire pétitionner dans les entreprises, qui va permettre aux salariés de s’exprimer pour une non-ratification de ce traité ». Par ailleurs, Bernard Thibault a jugé que, « depuis la conférence sociale » de juillet, « il y a une forte détérioration de la situation ». Il a ajouté que, « cela confirme notre regret qu’à la conférence sociale il n’y ait pas eu d’autres annonces de la part du gouvernement pour faire face à l’urgence en matière d’emploi, notamment sur les restructurations ». Sur ces questions, « compte tenu de l’urgence de la situation », Bernard Thibaut a annoncé « une première initiative le 9 octobre pour « la défense de l’industrie et de l’emploi », à l’occasion d’une « semaine de mobilisation décidée par la Fédération européenne de l’industrie ».

En marche contre le traité européen

En marche contre le traité européen

à lire sur le blog de Jean-Luc Mélenchon

Discours de clôture des Estivales citoyennes du Front de Gauche

Discours de clôture des Estivales citoyennes du Front de Gauche

mardi 28 août 2012

Pour une grande manifestation nationale contre la ratification du TSCG, sans préalable de date,

Mardi 28 Août 2012 | POI | Commentaires Fermés “Pour une grande manifestation nationale contre la ratification du TSCG, sans préalable de date, le 29 ou le 30 septembre” Dernière minute ! La lettre du POI, du M’PEP, de la Gauche communiste du PCF et du PRCF aux organisations se prononçant contre le TSCG. AU FRONT DE GAUCHE, AU PCF, AU PG, AU NPA, A ATTAC Paris, le 28 août 2012 Chers camarades, Nos organisations POI, M’PEP, Gauche communiste du PCF, PRCF, ont fait connaître il y a huit jours un communiqué commun dans lequel nous affirmions la nécessité de développer la plus large mobilisation unie pour une manifestation nationale contre la ratification du traité TSCG. Nous avons pris connaissance de la proposition du Front de Gauche d’organiser une manifestation nationale pour un référendum. Nous avons également pris connaissance de la lettre d’Attac affirmant la nécessité « d’une campagne éclair contre la ratification du traité budgétaire en faisant converger les mouvements associatifs, syndicaux et politiques ». Réunis ce 28 août 2012, nous estimons que rien ne doit s’opposer à ce que, dans les plus brefs délais, l’ensemble des organisations puissent se réunir pour que soient prises les dispositions pour l’organisation d’une grande manifestation nationale contre la ratification du TSCG, sans préalable de date (le 29 ou le 30 septembre). (…)

Les choses s’accélèrent

Mardi 28 Août 2012 | POI | Commentaires Fermés Les choses s’accélèrent L’EDITO d’INFORMATIONS OUVRIERES par Daniel Gluckstein, Secrétaire national du POI. Pas un jour ne passe sans que le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, n’appelle les élus et responsables du PS à la plus stricte discipline concernant la ratification du traité TSCG. Crainte que quelques voix ne fassent défaut lors du scrutin ? Sans doute. Mais pas uniquement. L’annonce du calendrier de la ratification s’inscrit dans un plan d’ensemble qui décline le contenu du TSCG en un large éventail de contre-réformes et d’attaques anti-ouvrières dont le gouvernement exige que s’y associent les organisations syndicales (lire page 4). La rentrée scolaire se dessine sous le double signe de l’austérité et de la dérèglementation. La barre des 3 millions de chômeurs est franchie. Le journal capitaliste Les Echos ne cache pas son inquiétude : « Bien placé pour se souvenir de la victoire du “non” au référendum de 2005, François Hollande sait qu’un texte européen peut aisément se transformer en paratonnerre des inquiétudes ou des colères des Français. Au moment où le chômage bat de nouveaux records et où l’atonie de la croissance contraindra le gouvernement à une rigueur plus forte encore qu’annoncé, le risque d’une montée de l’hostilité à l’Europe n’est pas nul. » C’est précisément parce que ce TSCG concentre la volonté d’imposer la continuité des plans anti-ouvriers et antidémocratiques de l’Union européenne que le POI mène une campagne inlassable pour l’unité contre sa ratification et travaille patiemment, à tous les niveaux, à tisser les fils, parfois ténus, de l’unité entre militants, organisations et associations, élus pour avancer sur la voie d’une mobilisation unie qui la mette en échec. Au lendemain de l’appel par le Front de gauche à une manifestation nationale pour un référendum sur le TSCG, le POI a réitéré sa proposition de rencontre. A quoi les responsables du PCF et du PG viennent de répondre positivement. Le POI, qui mène campagne pour l’organisation d’une manifestation nationale dans l’unité contre la ratification du TSCG, ne méconnaît pas la différence entre manifester pour exiger un référendum et manifester contre la ratification. Pour notre part, nous estimons que la situation exige un appel clair à mobiliser en masse dans la rue les travailleurs, les jeunes dans l’unité des partis se réclamant de la classe ouvrière pour faire céder le gouvernement sur le TSCG. A l’heure où nous écrivons, un tel appel n’a pas été lancé. Cependant, le POI — il en a fait la preuve depuis six mois — n’écarte aucune possibilité permettant d’avancer sur la voie de l’unité. Dans les rencontres qui ne manqueront pas de se multiplier à tous les niveaux, dans les prochains jours, nous exposerons clairement notre position, sans en faire un préalable : à savoir que toute la situation exige que la mobilisation se concentre sur le refus de la ratification ; et que, s’agissant du référendum, encore faut-il, pour qu’il puisse avoir lieu, que le gouvernement soit contraint préalablement de renoncer à son intention de faire ratifier le TSCG début octobre. Pour les adhérents du POI, l’ordre du jour est tout tracé : multiplier dans les prochains jours les réunions de comités pour l’unité, prendre tous les contacts possibles pour assurer la mobilisation la plus large pour une manifestation nationale contre la ratification du TSCG. Et ainsi jeter les bases d’une force politique dressée contre « une rigueur plus forte encore qu’annoncé », qu’il s’agisse de mettre en échec le TSCG ou d’aider à réaliser l’unité contre toutes les mesures d’austérité et contre-réformes qui en découlent. Faites le savoir Facebook7 Twitter Email Print Tags:N2 Catégories: EDITORIAUX INFORMATIONS OUVRIERES

Non à l'austérité permamente ! Mon à la ratification du TSCG

Non à l'austérité permamente ! Mon à la ratification du TSCG ! Les Alternatifs, la Gauche Anticapitaliste, le Mouvement Politique d’Education Populaire, le Nouveau Parti Anticapitaliste et le Parti Ouvrier Indépendant de Loire Atlantique ont rendu publique, ce mardi matin à Nantes, une déclaration commune dans laquelle ils appellent à la mobilisation contre la ratification par la France du traité européen du 6 mars 2012 sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l’union économique (TSCG). Vous pourrez lire ci-dessous le texte de cet appel. Par ailleurs les responsables des cinq organisations ont confirmé leur volonté d'élargissement de cette mobilisation à toutes ceux et celles, partis et oraganisations, qui sont déterminés à refuser l'austérité permanente qu'imposerait la ratification du TSCG. Le texte intégral de l’appel commun Le Conseil constitutionnel a autorisé la ratification du Traité de Bruxelles (TSCG) sans modification de la Constitution. Le ministre de l'Economie Pierre Moscovici et le ministre délégué au Budget Jérôme Cahuzac ont indiqué : « Le texte du projet de loi autorisant la ratification du traité européen du 6 mars 2012 sera présenté fin août » au Conseil des ministres. Tout indique donc que le Parlement pourrait être saisi dès le mois de septembre. Il y a urgence. Comme l’a dit Barbara Romagnan, députée PS du Doubs, « nous pensons que le TSCG est un verrou qui nous empêche de mener notre politique, de faire ce pour quoi nous avons été élus. » La ratification ne serait rien d'autre que cela : contraindre les députés à mettre en œuvre la politique de réduction des dépenses publiques (80 milliards sur trois ans) et du déficit (85 milliards par an) imposée par la Troïka (FMI, BCE et UE), cela quels que soient les besoins de la population, quels que soient les engagements de ces députés vis-à-vis de leurs électeurs. L’adoption de ce traité s’accompagnerait de l’inscription de la « règle d’or » (voulue par Sarkozy et Merkel et refusée en son temps par le candidat Hollande) dans la législation française. Cette règle d’or limiterait les déficits publics à 0,5% du PIB (contre 3% prévu dans le traité de Maastricht) et s’imposerait non seulement à l’Etat, mais aussi aux collectivités locales et à la Sécurité sociale. La ratification du TSCG en France, ouvrirait donc la voie à un renforcement des mesures d’austérité dans tous les domaines, salaires, Sécurité sociale, retraites, droits collectifs, emplois…mesures auxquelles les syndicats seraient sommés de s’associer au nom du respect des traités inscrit dans la loi ! La ratification du pacte budgétaire, c'est la négation de la démocratie, c’est la condamnation à l’austérité perpétuelle. Pour les organisations signataires de cet appel, les points de vue différents des uns et des autres sur la nature de l'Union européenne, ses traités successifs, son avenir, ne peuvent constituer un obstacle à la défense de la démocratie et à la souveraineté du peuple. Ces organisations considèrent que l’unité la plus large doit se forger autour d’une exigence claire et nette « Non à la ratification ». Elles s’engagent à mobiliser largement contre ce traité en s’adressant en ce sens à l’ensemble des organisations se réclamant de la défense des droits ouvriers et de la démocratie. Elles appellent les parlementaires du département à voter contre la ratification du pacte budgétaire européen, à l’Assemblée Nationale et au Sénat.
Je m'associe aux signataires de cet appel Appel à faire cesser l’agression contre la Syrie et à refuser la participation de la France à celle-ci Comité Valmy lundi 27 août 2012, par Comité Valmy Appel à faire cesser l’agression contre la Syrie et à refuser la participation de la France à celle-ci À TOUS LES FRANÇAIS Nous sommes aujourd’hui l’objet d’une longue et importante campagne médiatique qui nous abreuve de mensonges à propos de la Syrie. Cet acharnement des médias de la pensée unique a pour but de nous faire accepter la participation de la France à une agression criminelle contre un pays souverain, qui fut longtemps un pays ami et que nous avons aussi, autrefois occupé sous mandat de la SdN. Cette agression que subissent déjà l’Etat-nation et le peuple syrien, viole les lois internationales, les traités signés par notre pays, notre constitution et nos lois.
Ainsi : Comment qualifierait-on, en France, l’appui que donneraient l’Allemagne, la Suisse ou l’Espagne par exemple, par la mise à la disposition de bases, d’armements, d’argent, de munitions, de matériel de communication, de service de propagande sans nuance, à des groupes armés et fanatisés, ces groupes attaquant notre gendarmerie, notre police, détruisant à l’explosif les trains, les aéroports, les lignes électriques, assassinant fonctionnaires, journalistes, élus, choisis sur critères ethniques ou religieux ? Que diraient les Etats-Unis si le Canada ou le Mexique se livraient contre eux à des attaques semblables ? Qui est tué en Syrie ? La moitié des morts estimées entre 17 et 20.000 par les occidentaux appartiennent aux forces gouvernementales, dites de « répression ». Le seul correspondant accepté par nos journalistes et les médias en France, leur source unique concernant la situation en Syrie est une officine partisane (une seule personne en réalité) pilotée par les services secrets britanniques, l’autoproclamé « Observatoire Syrien des Droits de l’Homme ». Comment qualifiait-on chez nous pendant l’Occupation la radio et les journaux inféodés à l’ennemi du peuple et de la nation ? « Radio Paris est allemand ». Même si, et beaucoup d’entre nous ont conscience que ce n’est pas le cas, Bachar Al Assad était bien le dictateur affirmé par les médias du système, les Syriens qui refusent l’agression de leur pays souverain par des hordes étrangères seraient-ils pour autant des suppôts de cette prétendue dictature ? La France et l’Angleterre sont entrées en guerre pour défendre la Pologne de Pilsudski, qui coopérait juste avant avec Hitler ; les millions de personnes qui ont dénoncé les guerres US contre l’Irak soutenaient le peuple irakien agressé et pas nécessairement Saddam Hussein. Comment ose-t-on parler de « la communauté internationale », comme si elle était unie ou majoritaire, alors que les réunions organisées par l’OTAN et les émirats et rassemblant de pseudo « amis de la Syrie », concernent moins de population que la dernière réunion de Téhéran, le jeudi 9 août 2012, où plus de la moitié de la population mondiale était représentée ? Cette majorité des peuples, n’en déplaise aux pseudos « humanitaires » ou aux « bobos de gauche ou de droite », dénonce l’alliance agressive de l’OTAN, des euro occidentalistes, du Japon avec des émirs et les salafistes et djihadistes du Proche-Orient. Les peuples prennent conscience du risque grandissant de guerre mondiale qui ne pourrait être que nucléaire. Ils n’acceptent plus les guerres d’agression déclenchées sous des prétextes aussi divers que mensongers comme en Irak, Afghanistan (il n’y eut aucun ultimatum ni déclaration de guerre), Yougoslavie, Côte d’Ivoire, Libye, et qui aujourd’hui avec la Syrie servirait de détonateur à une conflagration généralisée. Si la France officielle installée dans une logique de guerre et qui déjà soutient de différentes manières l’agression extérieure, notamment en fournissant des armements et des spécialistes aux extrémistes salafistes aux origines diverses, franchissait le pas de la guerre ouverte que certains réclament dans ses rangs, alors nous nous trouverions du mauvais coté, celui des fauteurs de guerre que nous imposent les politiques, les journalistes et les « élites » autoproclamées qui monopolisent le pouvoir au détriment de la souveraineté populaire. Nous, organisations et citoyens d’horizons divers, de sensibilités différentes, estimons avoir le devoir d’alerter sur le péril imminent qui menace non seulement l’honneur et les valeurs de la France, les principes de notre République, mais également, au-delà, notre sécurité, notre vie et celle de nos enfants. Au nom de la paix et du respect de ces valeurs, nous demandons que cesse cette agression contre la Syrie, afin de briser l’engrenage d’une nouvelle guerre mondiale, que seuls les peuples peuvent empêcher. 15 août 2012 Cet appel ouvert à la signature des citoyens qui souhaitent contribuer à cette initiative, est initié par le Bureau national du Comité Valmy ainsi que par des personalités et des militants d’organisations et de sensibilités diverses. La liste des premiers signataires sera publiée ultérieurement. Note Importante : Le forum du site est l’objet d’une attaque permanente et invasive de spams. Le forum est en conséquence souvent fermé et inaccessible afin de limiter les dégats. Merci d’utiliser l’adresse courriel ci-dessous pour vos messages. Contact et signatures : Claude Beaulieu info@comite-valmy.org Premières signatures : (liste provisoire) Organisations : Comité Valmy Pôle de Renaissance Communiste en France Résistance et Renouveau Gaulliste Rassemblement des citoyens pour la République L’appel Franco-Arabe Réseau Voltaire Comité Pour une Nouvelle Résistance Clubs Penser la France Association Nord Sud Patrimoine Commun Comaguer Le Cercle des Volontaires Individuelles • Michel Debray, vice-amiral en 2ème section, ancien président de l’Institut Charles de Gaulle • Claude Gaucherand Contre Amiral (2S) • Jean-Claude Ramos - Comité Valmy – Ancien Député (ps) de la nation. • Léon Landini (PRCF) Président de l’Amicale des Anciens FTP-MOI des bataillons Carmagnole et Liberté,Officier de la Légion d’honneur, Médaille de la Résistance, • Alain Corvez - Conseiller en stratégie internationale – Résistance et Renouveau Gaulliste • Michel Peyret - communiste, ancien député. • Claude et François Roddier – Comité Valmy – Astro-Physiciens, retraités • Geneviève Blache – Comité Valmy et animatrice du collectif Résistance et Renouveau Gaulliste • Georges Gastaud - Secrétaire national du Pôle de Renaissance Communiste en France • Pierre Lévy Rédacteur en Chef de Bastille République Nations • Thierry Meyssan Militant anti-impérialiste – Président du Réseau Voltaire • Serge Marchand – Militant anti-impérialiste – Réseau Voltaire • Yves Vargas – Philososophe – Appel Franco-Arabe • Jacques Maillard – Comité Valmy - Physicien • Isabelle Voltaire – Comité Valmy – Militante laïque • Claude Beaulieu – Président du Comité Valmy • François Bunner – Président du Rassemblement des citoyens pour la République • Jean-Luc Pujo – Président des Clubs Penser la France • Jacques Tourtaux - Militant anticolonialiste • François Perrot, militant laique • J-C Théodore – Gaulliste – Comité Valmy • Lucien Pons, président de l’association "Comité pour une Nouvelle Résistance-CNR". • Jack Simonnet – Comité Valmy – Alpes Maritimes • Danielle Lapierre – Militante associative • ROBERT Jean-Pierre Retraité – France – Administrateur du site : http://www.palestine-solidarite.org/ • Bruno Drweski - Appel Franco-Arabe • Thierry Delbos – Gaulliste – Comité Valmy • Jean Lévy, Communiste – Comité Valmy • Franck de Bouvines – Gaulliste – Comité Valmy • Bernard Chalumeau. Secrétaire général de l’Alliance pour la souveraineté de la France .• Jean Pierre Hemmen - Vice-président du PRCF • Fabrice Asse – Blog citoyen engagé • Gilles Gomel • René Isnard Porte-parole départemental ( Alpes Maritimes ) du M’PEP (Mouvement Politique d’Education Populaire ) • Patrick Carroué – Comité Valmy • Ginette Hess Skandrani, rédactrice de : La Voix de la Libye.com et co-rédactrice de : La Voix de la Syrie.com • Valentin Martin - Comité Valmy • Macoveanu Petre -Retraité • Frédérik Brandi – Comité Valmy • Alain Coulon – Paris • André Chenet - Poète - 06480, La Colle s/ Loup • Vincent Vauclin - Coordinateur National de la Dissidence • Jonathan Moadab, journaliste - Cercle des Volontaires • Arlette saad • Xavier Guérin – Chercheur - White plains, NY 10601, EUA • Aline Bakhache - Talence (33400) en Gironde • Gérard Jeannesson enseignant à la retraite - 55200 Commercy • Melina Nilles, Poëtesse et Ecrivaine (2eme prix concours pour la Journée mondiale d’AL QODS) • Bernadette Georgel - 67100 STRASBOURG • Francois CHEVERRY ex-candidat aux élections législatives sous les couleurs de Solidarite et Progres de Jacques Cheminade • Mme Delamarre Mireillemilitanteanticolonialiste/antiimpérialiste responsable site www.planetenonviolence.org • Francesco Condemi clap36.net • Jean-Pierre Dubois, syndicaliste CGT, rédacteur du blog Le Petit Blanquiste. • Nathalie Callede Golden BC Canada Resistante contre la Francafrique. • Michel Bizouard - Professeur honoraire à l’Université de Bourgogne • Dominique DEFOY, Cherbourg, France • Nora Baddouh, salariée engagée, anti impérialiste. • Mme Brigitte Gauthier – Angers • Leila Gasmi - Présidente de l’AFTH (Ferme Thérapeutique) • Etienne Dubuisson, Ecrivain • Letscher Alexandre mulhouse sans emploi • Jean-claude Delaunay, communiste, professeur d’économie, retraité • Firas MOHAMED, Français d’origine syrienne • Christophe Taulemesse (militant pacifiste Nièvre, France) • Mario Beltramin, militant PCF, Ardéche, 07600 • C Bouteau – enseignant – CGT - 17400 st jean d’angély • Caroline Jonglez de Ligne, Châteauneuf les Martigues • Diana Sultan - 34130 Mauguio • Luis Fernando BASURTO CARRILLO -Enseignant, syndicaliste. Péruvien • Hayet KERROUCHI - 38 ans - Dugny - 93 • M. Claude MALLET artiste peintre • A.ROUVEURE Présidente Associations Internationales pour la Protection et la Défense des Libertés Individuelles et Collectives Membre de l’Association Française pour les NATIONS-UNIES President de l association La Marche des Valeurs • Adnan AZZAM - Franco-syrien - Chevalier dans l ordre national du mérite • Genuit jean-pierre. vétérinaire retraité. • DUDRAGNE André ( 43600 Sainte-Sigolène (France) • KAHLACHE Aïcha - 43130 Retournac (France) • Christian DESCANTES - Strasbourg • M. Hamdani Amar Enseignant dans le 92. • CYBELE DUBOIS-FOURNIER, retraitée. • Annick Mallet - Graphiste retraitée • Pierre Roche Sociologue - Marseille • Liliane Sévenier, retraitée de l’Education nationale • Graziella RABAH – Citoyenne du monde • Laurence Billard, Paris • Section du Tarn du PRCF • Jo Hernandez -Militant du PRCF 81 et responsable du Blog ( http://prcf81.canalblog.com) • Gérard Luçon - Ancien Directeur au Ministère de la Justice - Officier de l’Ordre National "Steaua Romaniei" –Ecrivain - Thimory 45260 MOULIN Gildas - Animateur association agriculteur - 01000 Bourg en Bresse • BIHAY Alexandra, enseignante • France DUBOIS-THIRION - AMP - Nice • Violette Legrand – Élue - Secrétaire section Pcf Soissons - 02200 Belleu • Jean GOULANCOURT Ingénieur • PATTE Jean-François ARRAS Je signe la pétition • Annie Lacroix-Riz, historienne, PRCF. • Annie Pontal - 07200 SAINT-PRIVAT - enseignante retraitée militante altermondialiste • Philippe TANCELIN. poète-philosophe • Benjamin KAISER -Militant à l’Union Populaire Républicaine • Jean-Claude POTTIER - 13002 Marseille - Enseignant • Pablo Chapes • Verdon herve marseille sympatisant egalité et reconciliation • Emilien Gauthier, artisan/commerçant • Ghislaine Dané Conseillère municipale Ps à Chartres • Christophe MEZERETTE -Elu municipal - Militant MRC - Saint-Denis • Gilles Péris, Le Bourg, 69610 Montromant, France. • Marat el Mokrani – Comité Valmy • Marie Claude Piris – Comité Valmy • Bertrand TACCHELLA, artiste peintre, militant associatif • Behnam Keryo - 46800 Valprionde • Anna Persichini, militante syndicale, St laurent du var. • Jacques Lacaze, médecin, militant syndicaliste, • Michèle Bélot-Lacaze, enseignante syndicaliste • Maria Poumier, universitaire (Paris VIII), Paris. • Patrick Turion artiste peintre • Guillaume Ferrandez, Paris. • Peggy Cantave Fuyet - Malakoff 92240 • Mickael Lebrun - Bruxelles • Chehbi Mohamed Citoyen Français et militant Antiimpérialiste • France Ivey-Reymond, simple citoyenne française • France Ivey-Reymond, simple citoyenne françaiseAndrés Bryant, Professeur au Lycée d’Abbeville, membre du Parti Communiste Français et syndicaliste (FSU) • Marie Pujol - Retraitée • Yvonne Galiay/Colmar -Conseillère Municipale Sortante - UMP Colmar Vice-présidente de la communauté d’agglomération Colmar Sortante • Philippe TANCELIN poète philosophe • Guillaume POISSON citoyen français signe votre appel pour la paix. • Jonathan Guelle - 14550 blainville sur orne • Meriem LARIBI, journaliste. • Laure LAHAYE, conseillère de quartier Bercy • Eric Albert Union Populaire Républicaine • Pirette Patrick, 46 (LOT) • Mestas Denis – Indre et Loire 37 • Y. Kavass - Retraitée éducation nationale • Christiane Lacaze élue PCF, Parentis en Born (40) • SANDERRE Nora - Région Parisienne • Frédéric Frosio, adhérent à l’Union Populaire Républicaine. • Anne Rathouis - Le Clauzel - 24620 Marquay • Jacqueline Mésière ( Annecy) • Jean-Christophe Olivier - Grenoble • Christelle Dufour – Citoyenne- 47 • Scellier Pascale, Pommereux , écologiste de gauche. • Michèle DRAYE - 064700 CANNES • Cercle Voltaire • Leila Zekraoui - Ingénieur à l’Institut de Recherche pour le Développement • Le Moel Philippe - gauche socialiste - Evry (91) • Monsieur Jean LOGEAN membre du collectif des morts de la rue 75005 Paris • VINCENT David militant prcf Sarthe • BOISSET Patricia militante PRCF Sarthe- • DEJONGHE Kimberley militante JRCF Sarthe • MORINEAU Laurine militante JRCF Sarthe • CHERU Yohan militant JRCF Sarthe • Mader Roland - PRCF • Germain Coudert • Beatrice Palermo • Frederic Salmon – Paris • Emmanuel Desserre • Geneviève Cabaret • Moreau Armand • Struve Sarah • Marie-alix Capieu • Flora LEBON • Jonathan Guelle 14550 blainville sur orne • Philippe Semichon Vénissieux • Jean-Pierre Poulin • Brahim El Mouaatamid • Alexandre LECLERC • Olivier PICCIN - 91400 ORSAY • Valentin Llorens, militant communiste et apprenti agricole. • Com-Dollo Geraldine, France • Lahoussay Lucien • Hiairrassary Jacques - Le Houga - 32460 • KHAMLA Yannick (25ans) Saint Maurice l’ exil - 38 • LAROSE Didier • Dominique GEAY • Bernard Rabret • Serge Bardoux - paysan hors normes • Laurent Brun • Guillaume Thorel • Régnier Philippe • Telma BLAMIRES • Aloui Mohamed • Christine Mellier • Nadine Gassie • widad srour • Thierry Bonus • Mohamed Khaldi ; citoyen a la retraite. • Corinne DESMETTRE • Djamal Benmerad • Michel Sylvestre • Béatrice DEJOUR • Claude Leclercq • Annick Vigouroux • Elisabeth Koreicho • David Jeannenot • Simon fournier • Martin Castagne • François Perdriau • Antoine Layous • Max Andréoli • Frédéric Reverte • Michel Lambert • Moreau Armand • M-N. Lombard • Emma Marcia Neves • Alim Zouaimia Mise en ligne : 19 août 2012
Merci à JC Tardieu animateur du site :<< la voix de l'opposition de gauche>> ,de donner toutes ces informations que je relaye dans ce blog. Article de presse. Un article de lexpress.fr du 25 août 2012 Tunisie: le patron de la chaîne des Guignols locaux va en prison. (26.08) L'émission satirique de Guignols tunisiens diffusée sur Ettounissiya TV a été arrêtée brusquement la semaine dernière. "Je vais en prison dignement", a déclaré Sami Fehri. Le patron de la chaîne qui diffusait l'émission satirique de Guignols tunisiens, Ettounissiya TV a indiqué samedi être sur le point d'être placé en détention, accusant le pouvoir de chercher à faire taire une chaîne critique du pouvoir. L'émission avait été arrêtée brusquement la semaine dernière. "Je vais en prison dignement", a déclaré Sami Fehri à l'antenne de la radio Express FM, au lendemain de la décision d'un tribunal de Tunis ordonnant son placement en détention. "Tout cela m'arrive à cause de quatre Guignols", a-t-il ajouté en référence à l'émission de marionnettes satiriques. Pression des autorités Selon l'agence de presse officielle TAP, il est accusé de "d'usage illicite des ressources de l'Etablissement de la télévision tunisienne" à l'époque du régime du président déchu Zine el-Abidine Ben Ali. Dans la semaine, Sami Fehri avait déclaré avoir décidé d'arrêter la diffusion des Guignols à la suite de pressions des autorités. Il n'avait alors pas souhaité être cité afin de protéger sa chaîne, mais le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) avait relayé l'information. Samedi, Sami Fehri a précisé à Express FM avoir subi les pressions de Lotfi Zitoune, un influent conseiller du chef du gouvernement, Hamadi Jebali, issu du parti islamiste au pouvoir, Ennahda. "Lotfi Zitoune m'a contacté et m'a dit qu'il y avait un grand mécontentement et que ce que la chaîne diffusait était inacceptable", a-t-il déclaré. Emission satirique L'émission de marionnettes, lancée en mars dans une version hebdomadaire avant de devenir quotidienne il y a moins d'un mois, a été brusquement arrêtée la semaine dernière, alors qu'elle traitait de manière satirique la vie politique, raillant particulièrement les dirigeants du pays et d'Ennahda. Sami Fehri a fondé Ettounissiya TV en mars 2011, quelques mois après la révolution tunisienne. Il était auparavant associé au sein d'une société de production, Cactus, à la famille de l'épouse du chef de l'Etat déchu, les Trabelsi. Cette affaire intervient alors que le climat entre les médias et le gouvernement est délétère. De nombreux organes de presse et des représentants de la société civile accusent les islamistes de chercher à contrôler les médias jugés trop critiques à l'égard de la politique du gouvernement. Vendredi, le Syndicat national des journalistes tunisiens a annoncé une grève générale du secteur en signe de protestation, dont la date doit être fixée dans deux semaines. Article de presse. Un article du Monde du 27août 2012 Il faut renforcer la mobilité des travailleurs européens. (28.08) Par László Andor, commissaire européen chargé de l'emploi, des affaires sociales et de l'inclusion. Il est facile d'oublier combien une liberté est importante une fois qu'on s'y est habitué. Cependant, la liberté de circulation des travailleurs est un principe fondamental de l'intégration européenne. La décision du gouvernement français de faciliter l'accès des travailleurs bulgares et roumains à certaines professions constitue un pas dans la bonne direction. La décision prise récemment par l'Irlande d'ouvrir son marché du travail était déjà une réponse positive à l'appel lancé par la Commission européenne à lever ces restrictions, et j'espère que d'autres Etats membres feront de même. La liberté de circulation des travailleurs est l'un des fondements de l'Union européenne. Faire en sorte qu'il soit facile pour les citoyens de l'UE de changer de pays pour raison professionnelle renforce le potentiel économique des pays membres. Les études sur la mobilité au sein de l'UE consécutive à l'élargissement indiquent avec constance que les travailleurs d'autres pays de l'UE ont eu un impact positif. Ils ont contribué à donner un coup de fouet aux économies des pays d'accueil ainsi qu'à la diversification des compétences, et ils ont travaillé dans des secteurs et métiers où des postes vacants demandaient à être occupés. En outre, leur mobilité est bénéfique pour leurs pays d'origine en contribuant à leur croissance grâce aux émoluments ou aux compétences acquis à l'étranger. A l'heure actuelle, la France accueille environ 87 000 citoyens bulgares et roumains, dont plus des trois quarts sont en âge de travailler. L'ouverture totale du marché du travail serait très utile pour les secteurs qui connaissent une pénurie de compétences, tels que le bâtiment, le transport, le tourisme, l'agriculture, l'hôtellerie et la restauration. Si nous avons l'intention de nous diriger vers un véritable marché du travail européen, nous devons lever les obstacles à la mobilité professionnelle. Les énormes fossés qui séparent pays et régions en termes de taux de chômage, d'un côté, et de taux de postes vacants, de l'autre, indiquent que nous n'exploitons pas suffisamment le potentiel que représente la mobilité. Au vu de la crise de l'emploi, caractérisée par une combinaison de niveaux de chômage qui demeurent élevés dans beaucoup de domaines, et d'offres d'emploi non pourvues dans des régions ou secteurs en forte croissance, sans parler des défis démographiques auxquels l'UE va être confrontée, nous ne pouvons pas nous permettre de restreindre la libre circulation. Par conséquent, nous devons continuer à démanteler tout obstacle légal et pratique qui subsiste. J'ai présenté des mesures dans ce sens dans le cadre du "paquet emploi", en avril. Garantir la portabilité des retraites en fait partie, tout comme les obstacles ayant trait aux compétences auxquels la Commission s'attaque par le truchement de programmes d'apprentissage et de formation tels qu'Erasmus. D'un autre côté, du point de vue du développement économique des pays d'Europe centrale et orientale, il est crucial également de créer les conditions pour que les jeunes restent au pays, afin que tout le monde contribue à l'économie, et d'encourager ceux qui sont partis à revenir. Cela ne veut pas dire qu'il faut mettre un frein à l'épanouissement ou à la mobilité des personnes, mais plutôt qu'il faut encourager la mise en place de réformes institutionnelles et administratives qui aboutissent à ce que suffisamment de moyens soient investis dans les infrastructures et dans le capital humain. Afin d'améliorer la compatibilité entre emplois proposés et demandeurs d'emploi par-delà les frontières, nous prévoyons de moderniser dès cet automne le portail Eures pour les demandeurs d'emploi, en le rendant plus interactif. En outre, des programmes ciblés de mobilité professionnelle vont être lancés qui pourront se focaliser sur des groupes cibles, secteurs, métiers et pays particuliers en fonction des besoins du marché. Un exemple est votre premier emploi Eures qui a été lancé par la Commission pour aider les jeunes qui cherchent un emploi à travers toute l'Europe. Partout en Europe nous cherchons le moyen de sortir de la crise. J'estime que cela ne sera possible qu'à travers une approche européenne de l'emploi, qui nous permette de voir plus loin que nos frontières nationales. Lever les restrictions sur la circulation des travailleurs représente un pas dans la bonne direction. Commentaire d'un internaute. - "L'avenir que cet eurocrate féodal promet aux peuples européens, c'est celui d'une précarisation et d'une nomadisation généralisées, au service exclusif des intérêts du grand capital et de la haute finance : une forme contemporaine et rénovée de servitude. Les images dramatiques des destructions de camps de roms préfigurent le sort que les eurocrates et les financiers nous réservent." Article de presse. Un article de Liesi du 23 août 2012 Quand les escrocs en col blanc gouvernent impitoyablement, sans foi ni loi. (27.08) Pourquoi des personnages comme Timothy Geithner, le secrétaire au Trésor US, poursuivent-ils leur mission de représentant des Etats-Unis alors qu’ils devraient être entre quatre murs ? Plus on creuse sur les scandales liés à la manipulation du Libor, plus on s’aperçoit qu’il s’agit de l’un des grands crimes du siècle. Quand il s’exprime pour commenter les silences complices de Timothy Geithner sur les manipulations du Libor, l’ancien gou­verneur de l’Etat de New York, Eliot Spitzer, n’hésite pas à comparer son crime à celui des pires pédophiles lourdement condamnés pour crime. « Le rôle de Geithner a été dévoilé lors de la déposition de l’ancien directeur de la Barclays, Robert Diamond, devant une commission d’enquête du Parlement britannique. En effet, il a révélé que Barclays avait été en contact avec la Réserve fédérale de New York à l’époque où Geithner la dirigeait, au sujet du Libor. La Fed de New York, censée garder Wall Street dans le collimateur, joue un rôle de régulation tout spécial. A la suite des propos de Diamond, une série de courriels ren­dus publics a confirmé que les autorités de la Fed, y compris Geithner, n’ont rien fait pour arrêter les menées des banques qui fixaient le Libor, dont ils étaient au courant. Pire, ils ont accordé à ces mêmes banques des milliers de milliards de dollars de fonds et de crédits. Barclays à elle seule a obtenu 868 milliards de dollars de prêts, au loyer de 0 % ! Geithner a personnellement envoyé un email aux autorités britanniques le 1er juin 2008, leur suggérant de renforcer la gouvernance et d’établir une procédure crédible de déclaration des taux, et d’éliminer l’incitation à faire de fausses déclarations. Il savait donc bel et bien que la procédure comportait de sérieux défauts. Pourquoi n’a-t-il pas intenté de poursuites contre ceux qui trichaient ? » (Source Strategic Alert) Chose incroyable, malgré ces magouilles honteuses, la marionnette préférée de Wall Street qui a su rouler dans la farine des millions d’électeurs, un certain Barack Obama, à qui Wall Street devrait ériger une statue pour le remercier d’avoir ridiculisé le peuple américain durant cinq longues années, a récompensé Geithner en faisant de lui LE secrétaire au Trésor du pays ! Pour l’heure, des enquêtes se multiplient contre les banques qui furent renflouées après avoir spolié leurs clients. Des actions sont même intentées par des gouvernements locaux et d’Etat, ainsi que les fonds publics de retraite, et d’autres qui ont été victimes de la manipulation des taux. Ces entités ont perdu des milliards de dollars, du fait que le guichet in­vestissement des banques universelles leur ont vendu des swaps sur taux d’intérêt et d’autres formes d’assurance contre le risque, alors que le guichet banque des mêmes institutions truquaient les taux, obligeant leurs clients à payer beaucoup plus. Des responsables de Baltimore font valoir que la ville a dû payer la différence à cause de la manipulation des taux sur des centaines de millions de dollars empruntés par la ville. Et de Californie, la ville d’Oakland a renvoyé Goldman Sachs en raison de l’assurance frauduleuse qu’elle lui a vendue. 75 % des grandes villes américaines ont des contrats de swaps liés au Libor. En 2010, des municipalités ont versé 4 milliards de dollars de sanctions pour avoir annulé de tels contrats. Entre-temps, pour verser les honoraires aux escrocs, les gou­vernements sont obligés de couper les budgets de santé, d’édu­cation et de sécurité, de fermer des postes de police, des services de pompiers, des hôpitaux etc., pour équilibrer le budget. Non seulement le secrétaire d’Etat au Trésor n’est pas en prison, mais il ose jouer au conseiller des Etats européens, que ses amis banquiers ont torpillé par des manipulations incessantes sur les taux. Il faut bien comprendre Timothy Geithner : comme il semble pouvoir transgresser sans limite les lois des hommes, pourquoi s’arrêter en si bon chemin. D’autres pensaient jouir de certains passe-droits, même à la tête d’institutions supranationales. Mais il arrive (parfois) un moment où certaines factions oligarchiques décident de s’offrir une victime qui, du jour au lendemain, se retrouve nue comme un ver. De cela, Timothy Geithner devrait réfléchir à deux fois. Article de presse. Un article de Liesi du 21 août 2012 Le scandale de l’Euribor – Complicités entre banquiers et gouvernements sur l’art de ruiner les citoyens. (27.08) Le cadavre de l’Euribor trouve toute sa place à côté de celui du Libor. L’Euribor est l’acronyme du European Interbank Offered Rate, établi lors de la création de l’euro en 1999, qui détermine sur une base quotidienne le coût des dépôts interbancaires à court terme dans l’Eurozone. Si 43 banques de la zone euro constituent le cœur de la commission d’Euribor, d’autres ban­ques étrangères à la zone, comme Barclays ou JP Morgan, en font partie aussi. Barclays a déjà avoué aux autorités américaines avoir égale­ment faussé ses déclarations concernant l’Euribor. Et les autres ? Est-il pensable que l’Euribor soit resté « propre », alors que tout le monde savait que son concurrent, le Libor, était truqué ? A noter que l’Euribor est appliqué à un volume de 220 000 milliards d’euros de contrats dérivés. La manipulation du taux interbancaire a des conséquences non seulement pour les millions de personnes ayant contracté un prêt hypothécaire et obligées de payer des intérêts plus élevés, mais aussi pour des centaines de municipalités en Eu­rope ayant acheté des swaps sur taux d’intérêt, notamment en France, en Italie et en Allemagne. En Italie, plus de 400 administrations municipales et régionales ont une exposition de 66 milliards, et le gouvernement italien détient quelque 100 milliards de swaps sur taux d’intérêt. En France, le ministère de l’Economie estimait, en novembre 2008, que sur les 135 milliards d’euros de dettes des collec­tivités territoriales françaises, 15 à 20% d’entre elles étaient constituées de produits structurés, dont les taux fluctuaient selon des formules complexes en fonction de certaines devises comme le Franc suisse, mais aussi du Libor et de l’Euribor. Le plus grand vendeur de tels swaps en Europe n’est autre que la banque franco-belge Dexia, qui a été renflouée à hau­teur de 162 milliards d’euros par les contribuables. Par ailleurs, Dexia est intiment liée à Barclays, qui a fait fonction d’agent pour la vente des actifs de la franco-belge. (Source: EIR) Article de presse. Un article de 20minutes.fr du 27 août 2012 Unilever se prépare à un «retour de la pauvreté» en Europe. (28.08) Le responsable pour l'Europe du géant anglo-néerlandais de l'agroalimentaire et des cosmétiques Unilever affirme dans un entretien paru lundi voir «la pauvreté revenir» sur le continent, et veut adapter en conséquence sa stratégie. «La pauvreté revient en Europe», a déclaré Jan Zijderveld au quotidien allemand Financial Times Deutschland, ajoutant: «Si un Espagnol ne dépense plus en moyenne que 17 euros quand il fait les courses, je ne vais pas lui proposer un paquet de lessive qui coûte la moitié de son budget». Jan Zijderveld dit vouloir s'inspirer désormais en Europe des méthodes utilisées par Unilever dans les pays asiatiques en développement, en vendant des produits meilleur marché car en plus petit conditionnement. «Celui qui s'en sort ici y arrivera partout» «En Indonésie nous vendons des échantillons individuels de shampoing pour 2 à 3 centimes pièce et pourtant nous gagnons de l'argent», dit le responsable en Europe d'un groupe chapeautant des marques telles que Dove (savon), Magnum (crème glacée), Knorr (épicerie) ou Cajoline (adoucissant). Le Financial Times Deutschland rapporte qu'Unilever a par exemple commencé à vendre en Espagne de petits paquets de lessive ne permettant de faire que cinq machines. «Les marchés en Europe sont un peu les Jeux olympiques de la distribution: le plus difficile! Celui qui s'en sort ici y arrivera partout», a déclaré Jan Zijderveld. Commentaire d'un internaute - "Il se trompe de discours ce mec, il aurai du dire UNILEVER participe à l'appauvrissement du monde en fermant des unités de production comme FRALIB à GEMENOS, pour s'installer ailleurs ou il peut sous-payer les salariés pour faire plus de fric. Où est Montebourg ? Que l'Europe devienne un continent de pays en voie de développement, il s'en fout complètement." Commentaire. En Inde, tout est également vendu à l'unité ou en sachet représentant une dose, le thé ou le shampoing ou encore les médicaments par exemple. Ce qui est en train de se produire en Espagne, Italie, Portugal, Grèce, etc. la paupérisation généralisée en Europe, je l'avais évoquée en 2005...
Lundi 27 Août 2012 | POI | Commentaires Fermés Le POI répond positivement à Jean-Luc Mélenchon Lettre aux FRONT DE GAUCHE PARTI COMMUNISTE FRANÇAIS PARTI DE GAUCHE Lundi 27 août 2012 Chers camarades, Nous avons pris connaissance de la proposition formulée par Jean-Luc Mélenchon lors du meeting de clôture de l’université d’été du Front de Gauche : organiser « une grande manifestation nationale pour réclamer un référendum sur la question du TSCG ». Cliquez pour télécharger et imprimer Quel que soit le point de vue que l’on ait sur la question du référendum, nous serons d’accord sur cette évidence : pour qu’il y ait un référendum, il ne faut pas que le traité soit ratifié par le Parlement début octobre. Nous avons proposé la date du samedi 29 septembre pour une manifestation nationale. Vous avancez aujourd’hui la date du 30 septembre. Bien entendu ce n’est pas une question de date. Devant la gravité des attaques contenues dans ce traité, rien ne doit s’opposer à la réalisation de l’unité. C’est pourquoi il est nécessaire que nous puissions nous rencontrer, sous la forme qu’il vous convient, pour étudier ensemble la meilleure manière de faire converger toutes les initiatives pour la réalisation de la grande manifestation nationale contre le TSCG que nous voulons tous. Le secrétariat du POI

lundi 27 août 2012

Lundi 27 Août 2012 | POI | Commentaires Fermés Mélenchon favorable à une manifestation pour un référendum sur le traité européen (TSCG) Lors d’un meeting hier à Saint-Martin d’Hères (Isère) Jean-Luc Mélenchon s’est adressé à ceux qui veulent un appel « à une manifestation nationale à Paris venant de tout le pays » pour réclamer un référendum sur la ratification du traité européen (TSCG). Le co-président du Parti de Gauche (PG, absent à la réunion à laquelle le POI avait invité tous les opposants au TSCG mardi dernier) s’est tourné, en tant que dirigeant du Front de Gauche (PCF, PG, Gauche unitaire, …), vers tous ceux qui, « personnes, organisations, associations, syndicats », sont favorables à une telle manifestation. Il a mis en avant la nécessité d’ « une sorte de comité national pour le référendum ». Sans avancer de date, il a déclaré que ce serait une manière de « montrer la force qui dit “ non ” ». Il a brocardé le Premier ministre, qui a déclaré que le vote des Français pour François Hollande a fait « bouger les lignes », évoquant le volet croissance adjoint au traité budgétaire. « Quelles lignes, quelles pages, quels mots, quelles virgules, la couleur du papier ? », a-t-il lancé, pour répondre : « Rien ! ». À la tribune du meeting, Pierre Laurent, secrétaire national du PCF, avait dit peu avant que le traité européen, qui sera soumis au Parlement début octobre, « est à la ligne près celui signé par Nicolas Sarkozy et Angela Merkel ». Son parti a lancé, il y a un mois, une pétition qui « demande au président de la République de convoquer la tenue d’un référendum sur l’approbation ou non de ce traité (TSCG) ». Communiqué commun POI, M’PEP, Gauche communiste du PCF et PRCF NON À LA RATIFICATION DU TSCG ! Réunis le 21 août, à la suite de la proposition de rencontre adressée par le POI à tous les partis et organisations du mouvement ouvrier et démocratique, nous, POI, M’PEP, Gauche communiste du PCF, PRCF constatons qu’il y a urgence. Le président de la République, François Hollande, a annoncé son intention de faire ratifier dans les plus brefs délais le TSCG de Sarkozy-Merkel. Le Parlement pourrait être saisi avant la fin du mois de septembre. Il faut empêcher la ratification de ce traité, car ce serait un pas supplémentaire dans le démantèlement de la démocratie, dans la remise en cause de la souveraineté du peuple et des droits sociaux. Il y a urgence. Dans tout le pays, des initiatives sont prises, des comités se forment, des appels sont lancés pour bloquer la ratification. Au plan national, des organisations politiques, syndicales, associatives, des élus, des responsables politiques prennent position. Il est urgent que, sans préjuger du point de vue des uns et des autres sur l’Union européenne, ses traités successifs, toutes ces initiatives puissent converger dans l’unité sur un mot d’ordre : non à la ratification ! C’est pourquoi nous soumettons la proposition d’une manifestation nationale contre la ratification avant le vote au Parlement. Cette proposition n’est contradictoire à aucune autre. Nous soumettons cette proposition à tous ceux qui, sous des formes diverses, organisent des assemblées, des réunions publiques, des initiatives dans toutes les villes et tous les départements du pays. Nous la soumettons à toutes les organisations et tous les partis du mouvement ouvrier et démocratique, à tous les responsables qui se sont prononcés les uns pour un référendum, les autres pour d’autres initiatives, mais tous contre la ratification du pacte budgétaire. Nous proposons qu’une nouvelle rencontre ait lieu après l’annonce du calendrier gouvernemental (qui devrait intervenir le 22 ou le 29 août). Nous proposons de mettre à la disposition de tous une lettre argumentée en direction des parlementaires pour qu’ils refusent de ratifier le TSCG. Paris, le 21 août 2012 Cliquez pour télécharger et imprimer Faites le savoir

dimanche 26 août 2012

Une initiative que je soutiens NON À LA RATIFICATION DU TSCG ! Réunis le 21 août, à la suite de la proposition de rencontre adressée par le POI à tous les partis et organisations du mouvement ouvrier et démocratique, nous, POI, M’PEP, Gauche communiste du PCF, PRCF constatons qu’il y a urgence. Le président de la République, François Hollande, a annoncé son intention de faire ratifier dans les plus brefs délais le TSCG de Sarkozy-Merkel. Le Parlement pourrait être saisi avant la fin du mois de septembre. Il faut empêcher la ratification de ce traité, car ce serait un pas supplémentaire dans le démantèlement de la démocratie, dans la remise en cause de la souveraineté du peuple et des droits sociaux. Il y a urgence. Dans tout le pays, des initiatives sont prises, des comités se forment, des appels sont lancés pour bloquer la ratification. Au plan national, des organisations politiques, syndicales, associatives, des élus, des responsables politiques prennent position. Il est urgent que, sans préjuger du point de vue des uns et des autres sur l’Union européenne, ses traités successifs, toutes ces initiatives puissent converger dans l’unité sur un mot d’ordre : non à la ratification ! C’est pourquoi nous soumettons la proposition d’une manifestation nationale contre la ratification avant le vote au Parlement. Cette proposition n’est contradictoire à aucune autre. Nous soumettons cette proposition à tous ceux qui, sous des formes diverses, organisent des assemblées, des réunions publiques, des initiatives dans toutes les villes et tous les départements du pays. Nous la soumettons à toutes les organisations et tous les partis du mouvement ouvrier et démocratique, à tous les responsables qui se sont prononcés les uns pour un référendum, les autres pour d’autres initiatives, mais tous contre la ratification du pacte budgétaire. Nous proposons qu’une nouvelle rencontre ait lieu après l’annonce du calendrier gouvernemental (qui devrait intervenir le 22 ou le 29 août). Nous proposons de mettre à la disposition de tous une lettre argumentée en direction des parlementaires pour qu’ils refusent de ratifier le TSCG. Paris, le 21 août 2012

Les Estivales du Front de Gauche et le bilan des 100 jours de François Hollande

Les Estivales du Front de Gauche et le bilan des 100 jours de François Hollande

jeudi 23 août 2012

POI PARTI OUVRIER I N D É P E N D A N T Pour le socialisme, la République et la démocratie Membre de l’Entente internationale des travailleurs et des peuples E-mail : poi@fr.oleane.com Internet : www.parti-ouvrier-independant.fr 87, rue du Faubourg-Saint-Denis, 75010 Paris Tél : 01 48 01 85 85 23 août 2012 APRÈSLECONSEIL DESMINISTRES DU 22 AOÛT, UNE PROPOSITION Le Conseil des ministres du 22 août a adopté son « programme de travail du gouvernement ». On y lit que le 19 septembre, le projet de loi portant ratification duTSCG (pacte budgétaire) sera adopté auConseil desministres,pour être soumis,le 1 er ou 8 octobre,pour ratification au Parlement. Ce « programme de travail » comprend également de nombreux projets de lois et de contre-réformes qui, dans tous les domaines (Sécurité sociale, droit du travail, école, flexibilité de l’emploi, etc.) visent à traduire en mesures d’austérité le contenu du TSCG. Depuis plus de sixmois, le POImène campagne contre cette ratification. Six mois durant lesquels nous n’avons eu de cesse d’expliquer les raisons pour lesquelles ce traité devait être rejeté : parce qu’il inscrit l’austérité comme une contrainte incontournable (la « règle d’or ») ; parce qu’il subordonne toutes les décisions politiques prises en France à l’approbation et au contrôle des institutions supranationales de la troïka (Union européenne-Banque centrale européenne-FMI) ; parce que, de ce fait, il menace de faire disparaître ce quireste de démocratie et de souveraineté du peuple ; parce qu’il entraîne notre pays sur la voie de la situation qui est celle aujourd’hui de la Grèce et de l’Espagne ; parce qu’il prétend subordonnerles organisations ouvrières et en faire de simples rouages de l’Union européenne. Plus de 60 000 signatures ont été recueillies contre la ratification. Dans tout le pays, des initiatives ont été prises pour forger l’unité contre la ratification, des appels ont été lancés, des comités se sont constitués,rassemblant très largement militants du POI et militants (et responsables à différents niveaux) — du PCF, du PG, du PS, etc. —, des militants associatifs, de très nombreux militants syndicalistes, des élus, tous désireux, par-delà les différences légitimes, de rassembler la force la plus large qui mettrait en échec le TSCG. Tout au long de cette campagne, nous n’avons cessé de mettre l’accent surla nécessité d’unirles efforts de tous ceux qui se sont prononcés, sous une forme ou sous une autre, contre la ratification duTSCG. A quatre reprises, nous avons écrit aux partis et organisations qui avaient pris position en ce sens pourleur proposer de nous rencontrer afin de prendre les dispositions de mobilisation qui s’imposent. Force est de constater que si les représentants d’organisations pré- sentes à la réunion convoquée le 21 août se sont prononcés, avec le POI, pour l’unité contre la ratification et pour la tenue d’une manifestation nationale, il reste que les principales organisations invitées étaient absentes (1). (1) Lire le communiqué commun adopté à l’issue de la réunion du 21 août. Comment interpréter ce refus de répondre à la proposition de mobilisation dans l’unité ? S’agirait-il, au-delà des déclarations verbales, de laisser passerle traité, et, à la suite, les contre-réformes que le gouvernement voudrait imposer en application du TSCG ? A quelques semaines de la ratification, que signifierait ne pas répondre à la proposition demobilisation dans l’unité, sinon, de fait, renoncer à mettre en échec le traité, se disposer, audelà des déclarations verbales, à laisser passer cette attaque sans précédent contre la démocratie et la souveraineté ? Pour notre part, nous avons depuis des mois formulé la proposition d’une manifestation nationale à Paris, qui rassemble tous ceux qui s’opposent à cette ratification. A quelques semaines de la ratification, nous déclarons notre refus de laisser faire et notre volonté que cela soit dit ! Nous nous adressons aujourd’hui aux plus de 80 comités pour l’unité recensés dans tout le pays, à tous les militants et responsables de toutes tendances qui sont engagés dans le combat contre la ratification, à tous les partis, groupes et associations au plan national ou local. A tous, nous soumettons la proposition de manifester à Paris, le 29 septembre,dans l’unité,pour dire :non à la ratification du TSCG.Cette proposition ne s’oppose à aucune autre. Une telle manifestation signifiera qu’une force se regroupe pour aider au combat contre l’austérité que la troïka veut imposer, et cela sous toutes les formes : le TSCG lui-même, et chacune des mesures antisociales que le gouvernement voudrait imposer en son nom. Nous proposons que partout les adhérents et comités du POI, sous les formes qu’ils jugeront appropriées, se réunissent avec les travailleurs et militants de toutes tendances avec qui ils ont constitué des comités pour l’unité contre la ratification, que la discussion se mène librement et à égalité, personne ne cherchant à imposer son point de vue. Cela, dans l’objectif que, de ce débat, se dégagent les décisions permettant d’assurer le succès le plus large d’une manifestation nationale à Paris le 29 septembre qui dira clairement, publiquement, l’exigence qui est celle de millions de travailleurs : non à la ratification du TSCG ! Paris, le 23 août 2012, Les secrétaires nationaux du Parti ouvrier indépendant Claude Jenet, Daniel Gluckstein, Gérard Schivardi, Jean Markun
Jeudi 23 Août 2012 | POI | Commentaires Fermés “A tous, nous soumettons la proposition de manifester à Paris, le 29 septembre, dans l’unité, pour dire : non à la ratification du TSCG” Après le conseil des ministres de mercredi, une proposition des quatre secrétaires nationaux du POI (communiqué du 23 août – 18h) Le Conseil des ministres du 22 août a adopté son « programme de travail du gouvernement ». On y lit que le 19 septembre, le projet de loi portant ratification du TSCG (pacte budgétaire) sera adopté au Conseil des ministres, pour être soumis, le 1er ou 8 octobre, pour ratification au Parlement. Ce « programme de travail » comprend également de nombreux projets de lois et de contre-réformes qui, dans tous les domaines (Sécurité sociale, droit du travail, école, flexibilité de l’emploi, etc.) visent à traduire en mesures d’austérité le contenu du TSCG. Cliquez pour télécharger et imprimer Depuis plus de six mois, le POI mène campagne contre cette ratification. Six mois durant lesquels nous n’avons eu de cesse d’expliquer les raisons pour lesquelles ce traité devait être rejeté : parce qu’il inscrit l’austérité comme une contrainte incontournable (la « règle d’or ») ; parce qu’il subordonne toutes les décisions politiques prises en France à l’approbation et au contrôle des institutions supranationales de la troïka (Union européenne-Banque centrale européenne-FMI) ; parce que, de ce fait, il menace de faire disparaître ce qui reste de démocratie et de souveraineté du peuple ; parce qu’il entraîne notre pays sur la voie de la situation qui est celle aujourd’hui de la Grèce et de l’Espagne ; parce qu’il prétend subordonner les organisations ouvrières et en faire de simples rouages de l’Union européenne. Plus de 60 000 signatures ont été recueillies contre la ratification. Dans tout le pays, des initiatives ont été prises pour forger l’unité contre la ratification, des appels ont été lancés, des comités se sont constitués, rassemblant très largement militants du POI et militants (et responsables à différents niveaux) — du PCF, du PG, du PS, etc. —, des militants associatifs, de très nombreux militants syndicalistes, des élus, tous désireux, par-delà les différences légitimes, de rassembler la force la plus large qui mettrait en échec le TSCG. Tout au long de cette campagne, nous n’avons cessé de mettre l’accent sur la nécessité d’unir les efforts de tous ceux qui se sont prononcés, sous une forme ou sous une autre, contre la ratification du TSCG. A quatre reprises, nous avons écrit aux partis et organisations qui avaient pris position en ce sens pour leur proposer de nous rencontrer afin de prendre les dispositions de mobilisation qui s’imposent. Force est de constater que si les représentants d’organisations présentes à la réunion convoquée le 21 août se sont prononcés, avec le POI, pour l’unité contre la ratification et pour la tenue d’une manifestation nationale, il reste que les principales organisations invitées étaient absentes (1). Comment interpréter ce refus de répondre à la proposition de mobilisation dans l’unité ? S’agirait-il, au-delà des déclarations verbales, de laisser passer le traité, et, à la suite, les contre-réformes que le gouvernement voudrait imposer en application du TSCG ? A quelques semaines de la ratification, que signifierait ne pas répondre à la proposition de mobilisation dans l’unité, sinon, de fait, renoncer à mettre en échec le traité, se disposer, audelà des déclarations verbales, à laisser passer cette attaque sans précédent contre la démocratie et la souveraineté ? Pour notre part, nous avons depuis des mois formulé la proposition d’une manifestation nationale à Paris, qui rassemble tous ceux qui s’opposent à cette ratification. A quelques semaines de la ratification, nous déclarons notre refus de laisser faire et notre volonté que cela soit dit ! Nous nous adressons aujourd’hui aux plus de 80 comités pour l’unité recensés dans tout le pays, à tous les militants et responsables de toutes tendances qui sont engagés dans le combat contre la ratification, à tous les partis, groupes et associations au plan national ou local. A tous, nous soumettons la proposition de manifester à Paris, le 29 septembre, dans l’unité, pour dire : non à la ratification du TSCG. Cette proposition ne s’oppose à aucune autre. Une telle manifestation signifiera qu’une force se regroupe pour aider au combat contre l’austérité que la troïka veut imposer, et cela sous toutes les formes : le TSCG lui-même, et chacune des mesures antisociales que le gouvernement voudrait imposer en son nom. Nous proposons que partout les adhérents et comités du POI, sous les formes qu’ils jugeront appropriées, se réunissent avec les travailleurs et militants de toutes tendances avec qui ils ont constitué des comités pour l’unité contre la ratification, que la discussion se mène librement et à égalité, personne ne cherchant à imposer son point de vue. Cela, dans l’objectif que, de ce débat, se dégagent les décisions permettant d’assurer le succès le plus large d’une manifestation nationale à Paris le 29 septembre qui dira clairement, publiquement, l’exigence qui est celle de millions de travailleurs : non à la ratification du TSCG ! Paris, le 23 août 2012, Les secrétaires nationaux du Parti ouvrier indépendant Claude Jenet, Daniel Gluckstein, Gérard Schivardi, Jean Markun (1) Lire le communiqué commun adopté à l’issue de la réunion du 21 août. Faites le savoir Facebook8 Twitter Email Print Tags:N2 Catégories: Communiqué du POI, Non à la ratification du TSCG

Communiqué commun POI, M’PEP, Gauche communiste du PCF et PRCF

MPEP logologo-GC-coul-sitePRCF

NON À LA RATIFICATION DU TSCG !

Réunis le 21 août, à la suite de la proposition de rencontre adressée par le POI à tous les partis et organisations du mouvement ouvrier et démocratique, nous, POI, M’PEP, Gauche communiste du PCF, PRCF constatons qu’il y a urgence.
Le président de la République, François Hollande, a annoncé son intention de faire ratifier dans les plus brefs délais le TSCG de Sarkozy-Merkel. Le Parlement pourrait être saisi avant la fin du mois de septembre.
Il faut empêcher la ratification de ce traité, car ce serait un pas supplémentaire dans le démantèlement de la démocratie, dans la remise en cause de la souveraineté du peuple et des droits sociaux.
Il y a urgence. Dans tout le pays, des initiatives sont prises, des comités se forment, des appels sont lancés pour bloquer la ratification. Au plan national, des organisations politiques, syndicales, associatives, des élus, des responsables politiques prennent position.
Il est urgent que, sans préjuger du point de vue des uns et des autres sur l’Union européenne, ses traités successifs, toutes ces initiatives puissent converger dans l’unité sur un mot d’ordre : non à la ratification !
C’est pourquoi nous soumettons la proposition d’une manifestation nationale contre la ratification avant le vote au Parlement. Cette proposition n’est contradictoire à aucune autre.
  • Nous soumettons cette proposition à tous ceux qui, sous des formes diverses, organisent des assemblées, des réunions publiques, des initiatives dans toutes les villes et tous les départements du pays.
  • Nous la soumettons à toutes les organisations et tous les partis du mouvement ouvrier et démocratique, à tous les responsables qui se sont prononcés les uns pour un référendum, les autres pour d’autres initiatives, mais tous contre la ratification du pacte budgétaire.
  • Nous proposons qu’une nouvelle rencontre ait lieu après l’annonce du calendrier gouvernemental (qui devrait intervenir le 22 ou le 29 août).
  • Nous proposons de mettre à la disposition de tous une lettre argumentée en direction des parlementaires pour qu’ils refusent de ratifier le TSCG.
Paris, le 21 août 2012

Carte postale de retour

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   la rentrée de Jean-Luc Mélenchon

« Le changement, c’est maintenant » disait-il au printemps. Nous disons en été : « le changement, c’est pour quand ? »

« Le changement, c’est maintenant » disait-il au printemps. Nous disons en été : « le changement, c’est pour quand ? »