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mercredi 30 juillet 2025

Les massacres des personnes âgées à coups de piqûres vont-ils reprendre ? le 30.07.2025

 

La question à le mérite d'être posée ...( BV)

Les massacres des personnes âgées à coups de piqûres vont-ils reprendre ?

Par Patrick Ledrappier

   À gauche : Monsieur Catherine Vautrin, ministre de plein de trucs - Encadré : L’Éborgneur de l’Élysée, Emmanuel Macron - À droite : Madame Yannick Neuder, ministre de la Santé du protecteur des pédophiles François Bayrou (placée sous la tutelle de Monsieur Catherine Vautrin).

   Madame Yannick Neuder nous avait promis un été caniculaire (juré, craché, c’était absolument certain : le GIEC l’affirmait, et il ne peut pas se tromper, ce sont des scientifiques).

   En arrière-plan : leurs futures victimes en EHPAD, qui seront assassinées sur leurs ordres par des blouses blanches à coups de piqûres de produits mortels appelés « vaccins », qu’ils rendent obligatoires.


Réduire les dépenses de santé des français, ou éliminer

les personnes âgées en fin de vie ?

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Le 30 juillet 2025


   Sur « Sud Radio », le 22 avril 2025 Catherine Vautrin, ministre du Travail, de la Santé, des Solidarités et des Familles, a déclaré : « Lorsque vous arrivez en Ehpad, il y a des règles de vie collective. La vaccination contre la grippe, contre le Covid, fait partie de ces règles… »


   Dans une interview accordée au Monde et publiée le 26 juillet 2025, elle précise que les résidents d'EHPAD sont actuellement vaccinés contre la grippe à hauteur de 85 %, et qu'elle souhaite rendre cette vaccination obligatoire pour les personnes âgées en établissement, dans le cadre d'une stratégie de prévention visant à réduire les dépenses de santé.


   En 2025, le discours n’est plus celui de 2020 : à l’époque, il fallait « éviter d’encombrer les hôpitaux » (qui, rappelons-le, étaient vides dans 95 % des cas). Aujourd’hui, l’argument est devenu : « nous devons réduire les dépenses de santé ».


   Catherine Vautrin l’affirme, la vaccination obligatoire chez les personnes âgées en EHPAD va permettre de faire des économies en matière de santé, puisque les « vaccins » sont sûrs et qu’ils empêchent de tomber malade…


  Oui, bien sûr. Et le père Noël existe, Jésus a marché sur l’eau (l’homme s’est contenté de marcher sur la lune), Monsieur Brigitte est une femme, et moi je suis miss Univers.


   Naturellement, aucun journaliste ne lui a demandé s’il ne serait pas plus simple, si l’objectif est de réduire les dépenses de santé, de supprimer la prise en charge à 100 % des clandestins, comme cela se fait dans tous les autres pays du monde, et de ne réserver les soins gratuits aux étrangers qu’aux interventions médicales qui relèvent de l’urgence vitale.


   Il conviendrait d’ajouter à ces coûts médicaux ceux de l’hébergement d’urgence qui leur est réservé (hôtels, centres d’accueils) ainsi que les aides « connexes ». Le tout évalué par différents rapports de la Cour de Comptes à plus de 3 milliards d’euros, mais à 54 milliards d’euros selon l’Observatoire de l’immigration qui les coûts de la délinquance générés par cette immigration illégale.


   Faire des économies ? Vraiment ?


   On pourrait aussi questionner la cohérence : pourquoi ne pas commencer par supprimer la prise en charge à 100 % des « transitions de genre » par la Sécurité sociale ?

Ces transitions sont actuellement classées en « Affection longue durée », incluant des traitements hormonaux à vie et des interventions chirurgicales ou esthétiques lourdes, dont le coût total peut atteindre 100 000 € par personne.


   En 2023, on estime à 22 000 le nombre de personnes ayant obtenu le statut d’Affection longue durée pour une dysphorie de genre — une condition autrefois considérée comme trouble psychiatrique.

   Cela représenterait 2,2 milliards d’euros pris en charge par la Sécurité sociale, sans compter le coût cumulé des traitements à long terme.


   Les politiciens nous expliquent que la dysphorie de genre n’est plus une maladie mentale. Et pourtant, ils continuent d’autoriser la prise en charge à 100 % de tous les actes médicaux qu’elle implique — comme s’il s’agissait d’une pathologie lourde nécessitant un traitement. Or, depuis 2022, le désir de changement de sexe ne relève plus du champ de la psychiatrie, ni des soins liés à une maladie.


   130 milliards d’euros d’économies pourraient être faits demain matin, sans rendre la moindre vaccination obligatoire pour les personnes âgées dans les EHPAD


   La question qu’il est donc légitime de poser est la suivante : justifier une future obligation vaccinale contre la grippe et le C-19 dans les EHPAD au nom d’arguments économiques est-il vraiment crédible ?

   Permettez-nous d’en douter.


   Par ailleurs, aucun journaliste n’a interrogé la ministre sur la « corruption » que représentent les plus de 1 400 agences publiques dénoncées par Charles Gaves : des structures inutiles, incapables de soutenir le développement économique ou simplement d’améliorer l’état catastrophique des services publics, notamment celui des urgences — où l’on peut mourir sur un brancard oublié pendant plus de dix heures, comme ce fut le cas au CHU de Nantes, en janvier 2025, pour une personne âgée de plus de 80 ans.


   Selon Charles Gaves, la suppression de ces 1 400 officines parasites, qui ne servent qu’à offrir des sinécures à des amants, maîtresses, enfants recalés des concours et amis de politiciens, permettrait d’économiser 130 milliards d’euros par an.

   Non, la justification économique n’est pas crédible. Il y a infiniment plus à économiser ailleurs que dans les EHPAD.


   Mais l’argument « la vaccination obligatoire leur évitera de tomber malade, c’est pour leur bien et leur santé » n’est-il pas tout aussi mensonger ?


   Mais qui, et au nom de quoi — ou plutôt de quels intérêts — a décidé que « la vaccination contre la grippe, contre le Covid, fait partie de ces règles de vie collective » ? Si l’on comprend bien l’allusion derrière cette affirmation, ces injections « vaccinales » seraient censées protéger les personnes âgées en EHPAD de la grippe et du Covid-19.

   Est-ce vraiment le cas ?

   Rappelons que le virus de la grippe humaine a été isolé pour la première fois au Royaume-Uni, en 1933, par Wilson Smith, Christopher Andrewes et Patrick Laidlaw.

Et c’est en 1945, aux États-Unis, que la première autorisation de mise sur le marché d’un vaccin antigrippal a été donnée.


   70 ans de vaccinations contre la grippe humaine, et toujours autant de cas et de décès… Plus on serait « vacciné » contre la grippe, plus on l’attraperait, et plus on serait victime d’autres infections…


   Après 70 ans de vaccination, la grippe n’aurait-elle pas dû être éradiquée de la surface du globe, comme ce fut le cas de la variole grâce au Programme intensif d’éradication lancé par l’OMS en 1967, qui a déclaré la maladie éradiquée en 1980 ?


   Les « vaccins » contre la grippe seraient de véritables accélérateur d’infections


   Quatre études remettent sérieusement en cause les discours officiels et démontrent que les politiciens français mentent — et les autorités de santé avec eux — car les vaccins antigrippaux affaibliraient l’immunité, favorisant ainsi les infections grippales et non grippales :

   - Chez les enfants, la vaccination entraîne un risque accru d'infections respiratoires non grippales, via une perte d'immunité non spécifique (Cowling et al. - 2012) (1).

   - Chez du personnel militaire, la vaccination contre la grippe augmente le risque d'autres infections virales (coronavirus, métapneumovirus) par interférence virale ; elle protège partiellement contre grippe mais élève le risque global (Wolff – Department of Defense personnel during the 2017–2018 influenza season - 2020) (2).

   - Les employés, vaccinés présentent un risque plus élevé d'infection grippale, avec une efficacité négative de -26,9% (Shrestha et al. - 2025) (3).

   - Le Tamiflu et les vaccins antigrippaux multiplient par 5 le risque d’infections respiratoires aiguës non grippales (OR 4,91) et augmentent le risque global d’infection virales respiratoires aiguës, en raison d’une altération de l’immunité (Jefferson - 2020 -BMJ) (4) .


   Les produits à ARNm de Pfizer & Co. contre le C-19 seraient responsables de millions de morts


   Si les vaccins antigrippaux posent de sérieux problèmes, les produits à ARNm aggraveraient encore la situation. Plusieurs experts de renom — Peter McCullough, Jessica Rose, Michael Yeadon, Ryan Cole ou encore Luc Montagnier — ont tiré la sonnette d’alarme.

   Leurs analyses convergent vers un danger majeur :

   - Jessica Rose évoque des centaines de milliers à plusieurs millions d’effets indésirables graves, corrélés au calendrier « vaccinal » ARNm ;

   - Peter McCullough, cardiologue, incrimine ces produits dans de nombreux cas de décès subits d’origine cardiaque ;

   - Ryan Cole signale une augmentation massive de cancers post-injections, ainsi qu’une explosion des cas de myocardites, d’inflammations endothéliales et de thromboses.

   - Le docteur Michael Yeadon (ancien directeur scientifique chez Pfizer), opposé aux injections à ARNm, considère que ces produits sont de véritables « outils de dépopulation », et affirme que des millions de personnes injectées pourraient en mourir à moyen terme.


   Quant à Luc Montagnier (Prix Nobel de médecine), hostile publiquement aux produits à ARNm, il les qualifiait de « toxiques », et peu avant sa mort, il déclarait : « Les non-vaccinés sauveront l’humanité (…) les vaccinés vont développer des variants, et mourront à cause de la répétition des doses. »


   Par ailleurs, une étude néerlandaise intitulée « Surmortalité à travers les pays durant la période pandémique » (Excess mortality across countries in the pandemic era) révèle environ 3,2 millions de décès en excès inexpliqués depuis 2021 dans 47 pays.


   En France, le nombre de naissances d’enfants vivants — ce qui exclut les morts-nés des statistiques — révèle une chute de la natalité difficile à dissocier de la surmortalité post-pandémique :

   2020 : 735 196

   2021 : 742 052

   2022 : 725 997

   2023 : 677 803

   2024 : 663 000



   Les vaccins sont sûrs ? Vraiment ?


   Les « vaccins » sont mis sur le marché sans être soumis à la rigueur des tests exigés pour les autres médicaments.

   Par exemple — et cela est véritablement criminel — Robert F. Kennedy Jr. (RFK Jr.), actuel secrétaire à la Santé aux États-Unis, a déclaré le 14 mai 2025 devant la Commission de la santé, du travail, de l’éducation et des retraites du Sénat américain :

   « Au sujet des 76 injections que les enfants de ce pays ont reçues entre la naissance et l'âge de 18 ans, aucune d'entre elles n'a été testée pour sa sécurité dans des études de pré-licence contre placebo. Cela signifie que nous ne comprenons pas le profil de risque de ces produits — et c’est quelque chose auquel j’ai l’intention de remédier. »


   RFK Jr. avait déjà tenu des propos similaires en 2023, lors d’un entretien avec Jesse Watters sur Fox News :

   « Les vaccins sont exemptés des essais contrôlés par placebo préalables à l'octroi de licences. Il n’y a donc aucun moyen de connaître le profil de risque de ces produits, ni même leurs avantages relatifs, avant qu’ils ne soient rendus obligatoires. Et nous devrions avoir ce genre de tests. »


   Les vaccins sont « inévitablement dangereux »


   Lors d’une conversation autour du « National Childhood Vaccine Injury Act » (la loi de 1986 sur les préjudices causés par les vaccins administrés aux enfants), qui accorde une immunité juridique aux fabricants de vaccins, Ronald Reagan aurait demandé à un dirigeant de Wyeth (aujourd’hui Pfizer) :

   - « Why don't you make the vaccines safe? » (« Pourquoi ne rendez-vous pas les vaccins plus sûrs ? »)

   Ce à quoi il aurait été répondu :

   - « Because vaccines are unavoidably unsafe. » (« Parce que les vaccins sont inévitablement dangereux. »)


   Robert F. Kennedy Jr. aime rappeler cette anecdote, que ses détracteurs qualifient régulièrement de spéculation, faute de traces écrites ou sonores — une affirmation sans preuve formelle, selon eux.


   Pourtant, cette expression est bien ancrée dans l’héritage juridique de la loi de 1986 : le rapport de la Chambre des représentants (House Report 99‑908) comprend le « Comment K » (Commentaire K), selon lequel certains produits — comme les vaccins — peuvent être jugés « inévitablement dangereux » malgré une fabrication conforme, sans pour autant engager la responsabilité du fabricant.


   D’ailleurs, la Cour suprême des États‑Unis, dans l’arrêt Bruesewitz v. Wyeth (2011), a confirmé que ce principe préempte les recours pour défaut de conception lorsque le vaccin est correctement fabriqué, étiqueté avec les avertissements nécessaires, même s’il comporte des effets secondaires jugés inévitables selon l’état actuel des connaissances scientifiques…


   Leur projet de « vaccination » obligatoire des personnes âgées en EHPAD est-il de recommencer l’opération « Épuration des personnes âgées » à coups de piqûres de « Ri‑vos‑tril » ?


   Si l’on en croit les études citées ci-dessus — notamment celle de Jefferson — les effets de la vaccination antigrippale multiplieraient par cinq le risque d’infections respiratoires aiguës non grippales et virales…


   Le 18 novembre 2020, le reportage « Pièces à conviction » (France 3), intitulé « Covid‑19 : que se passe‑t‑il vraiment dans les Ehpad ? », présentait des témoignages de soignants évoquant un recours systématique à la sédation par « Ri‑vos‑tril » dès l’apparition de signes respiratoires graves — sans soins actifs, sans hospitalisation, sans intervention médicale.

   Autrement dit : aucune chance de survie laissée aux personnes âgées.


   Des témoins assimilaient cette pratique à une « euthanasie passive » — c’est-à-dire, pour parler normalement, à des assassinats.


   Avec ces injections que les politiciens au pouvoir souhaitent désormais rendre obligatoires, en violation flagrante du « libre consentement éclairé », l’objectif réel ne serait-il pas, tout comme lors de la fausse pandémie de C-19, l’élimination programmée des personnes âgées en EHPAD ?


   Utiliser les nouveaux vaccins et médicaments pour réduire la population : une idée développée publiquement par Bill Gates en 2010 (« Innovating to zero! » – « Innover pour aller au zéro [carbone] »)


   Cela rappelle la déclaration de Bill Gates lors de sa conférence TED de février 2010, dans laquelle il affirmait que les « nouveaux vaccins, soins médicaux et services de santé reproductive » pourraient permettre de réduire la population mondiale de 10 à 15 %, mais que cela ne suffirait pas.


   Qu’on ne s’y trompe pas : depuis la fausse pandémie de C-19, toutes les mesures liberticides et criminelles prises en France l’ont été au nom de la « santé » — un prétexte qui fonctionne avec une facilité déconcertante.


   La « santé » est devenue l’argument suprême des politiciens, qui poursuivent un programme d’élimination des « inutiles », des « superflus », de « Big Reset », de destruction des structures économiques et sociales de la vieille Europe, et de dépopulation planétaire si chère à Bill Gates et à ses amis milliardaires qui aiment se retrouver entre psychopathes à Davos.


   Les enfants et les personnes âgées sont leurs cibles prioritaires


   Les enfants subissent les terribles effets des injections vaccinales, qui ont profondément modifié leur état de santé aux États-Unis depuis la fin des années 1980 (en France, c’est toujours un sujet tabou).


   Il suffit de consulter les écrits de Robert Francis Kennedy Jr. pour mesurer l’ampleur de cette triste réalité : les vaccins, combinés à la nourriture industrielle, sont devenus des destructeurs de santé — voire de vie.


   Les personnes âgées, elles, ont été la cible privilégiée lors de la fausse pandémie de C-19, notamment par le recours au « Ri‑vos‑tril » injectable, recommandé par le décret n° 2020‑360 du 28 mars 2020, complétant le décret n° 2020‑293 du 23 mars 2020, « prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire ».


   Ces textes ont été signés par le Premier ministre Édouard Philippe — dont les Gilets jaunes gardent un souvenir ému, tout comme les murs de Notre-Dame de Paris — ainsi que par le ministre de la Santé Olivier Véran.



   Éliminer les « inutiles », les « superflus » en assassinant les personnes âgées dans les EHPAD


   Il ne faut surtout pas oublier les monstruosités imposées aux personnes âgées dans les EHPAD à partir de mars 2020, ni les considérer comme de simples « incidents » liés à une période exceptionnelle.

   Ce fut bien plus que cela. Ce fut l’expression d’une volonté politique constante : celle d’éliminer ceux que les milliardaires adeptes de la dépopulation considèrent comme « inutiles », « superflus ».


   Une forte hausse de la mortalité dans les EHPAD


   Le statisticien Pierre Chaillot, dont nous avons régulièrement cité les travaux, a observé que le « protocole palliatif » mis en place dès 2020 a provoqué une forte hausse de la mortalité en EHPAD.

   Selon le professeur Christian Perronne, cela aurait conduit à des dizaines de milliers de décès, assimilables à une forme d’« euthanasie organisée » (on parle bien d’assassinats).


   Pour éliminer les « inutiles », au nom de l’Agenda 2030 des Nations Unies, les politiciens français ont-ils transformé les EHPAD en camps de la mort ?

   En camps de la mort où la maltraitance, la sous-nutrition et les « vaccins » auraient discrètement remplacé le Zyklon B ?


Patrick Ledrappier

Président co-fondateur

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