Depuis quelque temps, des révélations continuent de faire surface, mettant en évidence les pressions exercées par la Maison Blanche sur les grands réseaux sociaux pour contrôler le discours public. Mark Zuckerberg, PDG de Meta, a récemment rejoint Jack Dorsey, ancien PDG de Twitter, en admettant publiquement que leurs plateformes avaient été contraintes de supprimer ou de limiter l'accès à des contenus critiques vis-à-vis de la gestion de la crise sanitaire de 2020. Ces dirigeants reconnaissent avoir été forcés de censurer des informations, y compris des discussions scientifiques légitimes et des opinions dissidentes, sous l'influence directe des autorités.
Ces aveux révèlent comment les réseaux sociaux ont été utilisés pour manipuler l'opinion publique durant une période de crise, en étouffant toute remise en cause du narratif officiel. Ainsi, ces plateformes se sont transformées en outils de propagande, supprimant systématiquement toute voix discordante.
Mais ce n’est pas tout. Meta et Twitter admettent également avoir joué un rôle clé dans la protection de Hunter Biden, le fils du président Joe Biden, de révélations potentiellement dévastatrices. En effet, les réseaux sociaux ont délibérément étouffé les informations concernant les activités controversées de Hunter Biden, notamment ses affaires avec des entités étrangères et ses transactions financières suspectes en Ukraine et en Chine. Hunter Biden aurait exploité l'influence de son père pour obtenir des contrats lucratifs, des allégations qui, si elles avaient été rendues publiques, auraient pu gravement nuire à l'administration Biden.
En censurant ces révélations, les plateformes ont empêché le public d'accéder à des informations essentielles pour une prise de décision éclairée. Cette complicité entre la Big Tech et le pouvoir politique soulève de graves inquiétudes quant à l'objectivité des réseaux sociaux et leur rôle dans la manipulation de l’opinion publique.
Alors que ces révélations font trembler les États-Unis, l’Europe semble suivre la même voie de régulation stricte de la liberté d’expression sur les réseaux sociaux. En prenant pour modèle les États-Unis, les autorités européennes montrent une volonté croissante de contrôler les discours en ligne, souvent sous le prétexte de lutter contre la désinformation. Cependant, cette tendance soulève des préoccupations sérieuses quant à la censure potentielle des opinions divergentes et à la liberté de parole.
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LES CHAPITRES DE LA VIDÉO :
00:00:00 Introduction
Musique : Mozart - Lacrimosa (From the Requiem Mass in D Minor), Licence achetée à Leo Symphony Orchestra, Numéro de la piste : 424634
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