Encrochat, SkyECC et maintenant, Telegram. Aux yeux du monde, la justice et les équipes d’enquête françaises se sont distinguées ces dernières années par d’intenses coups de butoir contre les services de messageries sécurisées et leurs créateurs. Le fait que la France soit à chaque fois l’origine des poursuites ne doit rien au hasard mais procède, selon nous, d’une conception liberticide de la notion de complicité. Par Gabriel Vejnar et Romain Ruiz, avocats. |
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