31.juillet.2018
[Vidéo Arte] La guerre des gazoducs
Source :Arte, Christian F. Trippe, Ulli Wendelmann, 24-07-2018
Nous vous proposons cet article afin d'élargir votre champ de réflexion. Cela ne signifie pas forcément que nous approuvions la vision développée ici. Dans tous les cas, notre responsabilité s'arrête aux propos que nous reportons ici. [Lire plus]
DUGUESCLIN // 31.07.2018 à 07h35
C’est donc ça l’Europe?
L’interdiction aux pays européens, par les rapaces étasuniens, d’échanger entre eux leurs ressources?
L’Allemagne semble passer outre les injonctions washingtoniennes, mais le fait-elle dans l’intérêt de l’ensemble des européens?
L’européisme est un mensonge, une tricherie, il exclu d’un côté la plus grande puissance européenne par des sanctions stupides qui lui coutent cher, mais ne peut se passer des ressources de “l’exclu” sauf à payer encore plus cher.
L’européisme est une imposture et n’est pas représentatif de l’Europe réelle.
Il en est même l’ennemi, puisqu’il renie la réalité de son continent, de ses ressources, de ses cerveaux, de sa culture, de ses intérêts communs, de sa vaste population, de son ouverture vers l’Asie et au reste du monde en épousant une culture anglo-américaine impérialiste qui n’est pas la sienne qui ne concerne qu’une partie de l’Europe puisque, pour s’imposer, cette culture impérialiste la coupe en deux.
L’interdiction aux pays européens, par les rapaces étasuniens, d’échanger entre eux leurs ressources?
L’Allemagne semble passer outre les injonctions washingtoniennes, mais le fait-elle dans l’intérêt de l’ensemble des européens?
L’européisme est un mensonge, une tricherie, il exclu d’un côté la plus grande puissance européenne par des sanctions stupides qui lui coutent cher, mais ne peut se passer des ressources de “l’exclu” sauf à payer encore plus cher.
L’européisme est une imposture et n’est pas représentatif de l’Europe réelle.
Il en est même l’ennemi, puisqu’il renie la réalité de son continent, de ses ressources, de ses cerveaux, de sa culture, de ses intérêts communs, de sa vaste population, de son ouverture vers l’Asie et au reste du monde en épousant une culture anglo-américaine impérialiste qui n’est pas la sienne qui ne concerne qu’une partie de l’Europe puisque, pour s’imposer, cette culture impérialiste la coupe en deux.