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jeudi 26 janvier 2017

Elections 2017 - Les 5 infos de la présidentielle aujourd'hui - vendredi 26 janvier 2017

Logo Francetv info26 janvier 2017
Drapeau français Elections 2017
Les #5 infos de la présidentielle aujourd'hui
Com' de crise à droite après le Penelope Gate, dernières heures de campagne pour Hamon et Valls, Macron dans la tourmente...
com' de crise à droite après le Penelope Gate, dernières heures de campagne pour Hamon et Valls, Macron dans la tourmente...
Grands discours, petites phrases, propositions-chocs ou anecdotes… Chaque jour, jusqu'au 7 mai 2017, date du second tour de l'élection présidentielle, franceinfo résume ce qu'il ne faut pas rater de l'actualité de la campagne. Voici l'essentiel à retenir de ce jeudi 26 janvier.

#1"Penelope Gate" : la droite organise la riposte

Depuis 24 heures, les principaux ténors de droite sont en pleine com' de crise. L'objectif : déminer ce que les réseaux sociaux appellent le "Penelope Gate". Selon Le Canard enchaîné d'hier, Penelope Fillon a été rémunérée huit ans comme attachée parlementaire par son époux puis par son suppléant à l'Assemblée nationale. Problème : si ce n'est pas illégal, le journal soupçonne la femme de François Fillon d'avoir occupé un emploi fictif. "C'est une manœuvre politique", a réagi ce matin sur RTL Valérie Pécresse. "François Fillon dément et veut défendre son honneur. Il considère qu'il est victime d'une campagne basse et calomnieuse", a ajouté la présidente de la région Ile-de-France. De son côté, le président du groupe Les Républicains au Sénat, Bruno Retailleau, a assuré surEurope 1 qu'ils donneraient "très vite à la justice l'ensemble des éléments" alors que le parquet national financier a ouvert une enquête hier.

#2Valls continue d'attaquer Hamon sur la laïcité

Invité des "4 Vérités" sur France 2 jeudi matin, Manuel Valls a répété que le député des Yvelines n'avait pas levé "l'ambiguïté" sur "la laïcité et la place des femmes". Une petite phrase qui fait écho à la passe d'armes qu'ont eue les deux candidats lors du débat de l'entre-deux tours"Il ne faut rien céder, mais il faut faire attention. Dire aux femmes : 'Nous sommes là pour vous aider à vous émanciper'", avait affirmé l'ancien chef du gouvernement sur le plateau de TF1 et de France 2.

#3Hamon réplique et se défend

De son côté, Benoît Hamon a répliqué dans la matinale de RMC. Face à Jean-Jacques Bourdin, le député a estimé que "si le voile est imposé à une femme, il faut le combattre. Quand elle le porte librement, la loi la protège". Il a aussi répondu à la petite phrase d'un ministre dans Libération, qui l'avait qualifié de"candidat des Frères musulmans". "Moi, sur la laïcité, je ne mets pas d'adjectif. 'Le candidat des Frères musulmans', c'est une injure", a-t-il dénoncé. Enfin, Benoît Hamon a promis qu'il irait "jusqu'au bout" : "on n'est pas candidat à la présidentielle pour faire un tour de piste".

#4Peillon refuse de dire pour qui il votera

Tout comme Stéphane Le Foll hier, Vincent Peillon a joué au jeu du chat et de la souris avec les journalistes de franceinfo. Impossible de lui faire dire pour qu'il allait voter dimanche. "J'irai voter, je ne vous dirai pas pour qui", a affirmé l'ex-candidat à la primaire, arrivé quatrième au premier tour. Fabienne Sintes a tenté une ultime tentative à la fin de l'interview. Peine perdue. "Je vous trouve incroyablement indiscrète, je ne vous connais pas beaucoup mais je vous le dis", a-t-il encore déclaré.

#5Frais de représentation : Macron contre-attaque

François Fillon n'est pas le seul à vivre une mauvaise séquence. Les équipes d'Emmanuel Macron ont fait parvenir ce matin un communiqué de presse dans lequel elles battent en brèche l'idée que le candidat se soit servi de ses frais de représentation (120 000 euros) pour lancer sa candidature à la présidentielle. C'est ce qu'affirment les chefs de file des députés LR et UDI, Christian Jacob et Philippe Vigier, qui se fondent pour cela sur le livre Dans l'enfer de Bercy, des journalistes Marion L'Hour et Frédéric Says. "Aucun centime du budget du ministère de l’Economie, de l’Industrie et du Numérique n’a jamais été utilisé pour En Marche !. Toute affirmation du contraire est purement et simplement diffamatoire", ont répliqué ce matin les équipes du candidat. "C'est la rançon de la gloire", expliquait hier à franceinfo un proche d'Emmanuel Macron.
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