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mardi 3 juin 2014

à lire sur le Monde .fr , mardi 3 juin 2014



                            

MARDI 3 JUIN 2014 
 
 François Hollande à l'Elysée, en avril. 
La France à 14 régions de François Hollande
 
Après des semaines de tergiversations, François Hollande a tranché. Dans une tribune, le président a dévoilé les détails de son projet de réforme territoriale.
 
 
 
  
Redécoupage des régions : le scénario de François Hollande
 
Voilà la carte des douze super-régions imaginée par François Hollande samedi 31 mai, à en croire le "JDD".
 
 
 
 Lors d'une manifestation à Nantes, le 31 mai. 
Bretagne, Pays de la Loire : le statu quo ne satisfait pas tout le monde
 
Si les Pays de la Loire ne devraient finalement pas fusionner avec le Poitou-Charentes, ce statu quo ne satisfait pas tous les élus locaux.
 
 
 
  
Réforme territoriale : le président du conseil de Picardie est « très surpris » par le scénario Hollande
 
L'hypothèse de la fusion entre la Picardie et la Champagne-Ardenne n'avait « jamais évoquée » selon Claude Gewerch (PS).
 
 
 
 Carte de France des régions. 
Le redécoupage proposé par Hollande est-il cohérent selon vous ?
 
Redécoupage des régions : le scénario de François Hollande vous semble-t-il faire sens ?
 
 
 
 « Il n’y a pas de source d’économie de fonctionnement à attendre de la fusion des régions », estime Alain Rousset, président d’Aquitaine et de l’Association des régions de France.  
Alain Rousset (PS) : « La fusion des régions ne sera pas source d'économies »
 
Alain Rousset, président socialiste d'Aquitaine et président de l'Association des régions de France, affiche ses doutes sur la réforme territoriale du gouvernement.
 
 
 
 
 
En images
Le célèbre humoriste égyptien Bassem Youssef a annoncé, lundi 2 juin, avoir annulé son émission de satire politique, qui se moquait de l'ex-chef de l'armée et président élu Abdel Fattah al-Sissi, évoquant d'« énormes pressions ».
 
Pressions sur un humoriste égyptien qui se moquait de Sissi
Le célèbre humoriste égyptien Bassem Youssef a évoqué d'énormes pressions.
 
Yannick Noah donne un concert pour les détenus de Fresnes
 
Juan Carlos Ier : de la transition démocratique aux scandales familiaux
 
Le « très brutal » shin-kicking a un nouveau champion
 
Premier vol d'essai pour « Solar-Impulse 2 »
 
 
 
 
 
 Et aussi 
 
 Le groupe informatique américain Apple ouvrait lundi 2 juin à San Francisco sa traditionnelle Worldwide Developers Conference. 
iOS8, Yosemite : les nouveautés d'Apple
 
Lors de sa « keynote » annuelle à San Francisco, Apple a dévoilé les capacités des prochains systèmes d'exploitations pour Mac, iPhone et iPad.
 
 
 
 Michel Platini assiste à la finale de la coupe asiatique de football, en 2011, à Doha au Qatar. 
Mondial au Qatar : la presse britannique met en cause Michel Platini
 
Le « Daily Telegraph » assure que Michel Platini, actuel président de l'UEFA, a rencontré en 2010 en secret le Qatarien Mohamed Bin Hammam.
 
 
 
 A Damas, le 1er juin. 
Syrie : une élection pour empêcher toute transition
 
Bachar Al-Assad est assuré d’un troisième mandat à l’issue du scrutin présidentiel du 3 juin, qui a démarré tôt mardi matin.
 
 
  
 | LE JOURNAL DATÉ DU 3 JUIN
 
 
La réforme pénale est-elle juste ?
 
Le projet de loi sur « la prévention de la récidive et l'individualisation des peines » est examiné à l'Assemblée nationale à partir du mardi 3 juin. Point de vue.
 Lire le journal
 
 Christiane Taubira, le 22 mai à Paris. 
Réforme pénale : ce qu'il faut savoir sur la loi Taubira qui arrive à l'Assemblée
 
Le climat des débats sera serein, veut croire le gouvernement, alors que la droite est vent debout contre la réforme.
 
 
 
 portrait de Mehdi Nemmouche.  
« Le cas de Nemmouche ne sera pas le dernier »
 
Pour Farhad Khosrokhavar, directeur d'études à l'EHESS, Mehdi Nemmouche, le tueur présumé du Musée juif de Bruxelles,  s’est davantage radicalisé en Syrie qu’en prison.
 
 
 
 Le prince Felipe avec la femme, la princesse Letizia, le 29 avril.  
Le « mystère » Felipe, futur roi d'Espagne
 
Sérieux, posé, discret, le futur roi ressemble davantage à sa mère, la reine Sofia, qu'à Juan Carlos. Préparé depuis l'enfance à la succession, il s'est toujours gardé de prêter le flanc à la critique.


Syrie : le "triomphe" annoncé de Bachar Al-Assad
"Une élection ? Quelle élection ?" Pour l'opposition syrienne, comme pour les dirigeants occidentaux, le scrutin présidentiel de ce mardi s'apparente à une vaste pantalonnade (NPR). Et pour cause : alors même que le pays est passé depuis trois ans au laminoir de la guerre civile (plus de 160 000 morts, selon le décompte de l'Observatoire syrien des droits de l'homme), le président Bachar Al-Assad est assuré de décrocher un troisième mandat de sept ans, souligne l'Irish Times. Certes, note le Washington Post, le chef de l'Etat sortant devra, pour la première fois, faire face à d'autres candidats – en l'occurrence Maher Hajjar, député communiste d'Alep, et Hassan Al-Nouri, homme d'affaires issu d'une riche famille damascène et ex-ministre. Mais ceux-ci n'ont pour unique rôle que de donner un vernis de légitimité démocratique à un vote déjà largement discrédité. D'ailleurs, observe le Daily Star, aucun des deux hommes n'a décoché la moindre flèche contre Assad au cours de sa campagne... L'élection a beau relever de"l'imposture", la capacité de résilience du maître de Damas n'en demeure pas moins étonnante, juge NBC. Qui aurait pensé qu'Assad pût résister à la déferlante des "printemps arabes" de 2011 ? Soucieux d'obtenir un plébiscite, le régime n'a pas ménagé ses efforts pour encourager une participation élevée (Al-Monitor). Dans une tribune à Al-Jazira, l'universitaire et écrivain syrien Marwan Kabalan s'alarme de l'avenir de son pays, estimant qu'une fois réélu Bachar Al-Assad – protégé par les Russes, les Iraniens et même, en un sens, les Américains – va poursuivre dans la voie du tout-sécuritaire, autrement dit de la répression. Une seule question demeure, conclut The National : "Combien de temps va encore s'écouler avant que la communauté internationale ne s'implique vraiment de manière significative ?"  
Monarque discrédité, Juan Carlos abdique 
Le roi d'Espagne Juan Carlos, affaibli par des ennuis de santé, sa popularité ternie par les scandales, a annoncé hier à la surprise générale qu'il abdiquait au profit de son fils, le prince Felipe, lui laissant la lourde tâche d'œuvrer au "renouveau" d'une monarchie discréditée. Le prince des Asturies doit devenir à 46 ans le prochain roi, sous le nom de Felipe VI. Epargné par la chute de popularité qui touche son père, il devra néanmoins convaincre l'Espagne de sa légitimité alors que celle-ci, meurtrie par la crise économique et le chômage, doute de ses institutions. Agé de 76 ans, monté sur le trône à la mort du dictateur Francisco Franco en novembre 1975, Juan Carlos a bâti sa popularité en menant la transition de l'Espagne
vers la démocratie, avant de connaître une fin de règne éclaboussée par les scandales – sa fille cadette Cristina est inculpée de fraude fiscale – et marquée par les problèmes de santé. Juan Carlos a révélé hier que c'était à l'époque de son anniversaire, le 5 janvier, qu'il avait "estimé que le moment était venu de préparer en quelques mois la relève". Dans un discours solennel retransmis à la télévision, il a confirmé son abdication, annoncée peu avant par le chef du gouvernement Mariano Rajoy, exprimant toute sa "gratitude" à son peuple. Un conseil des ministres doit se réunir aujourd'hui pour approuver un projet de loi fixant la procédure d'abdication, qui devra être voté par le Parlement avant que le nouveau souverain prête serment. Un processus qui pourrait prendre plusieurs semaines.

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