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dimanche 31 janvier 2021

La santé avec Santé Nature Innovation - Pourquoi je me fais vacciner dès que possible....

 La santé

Jean-Marc Dupuis - Santé Nature Innovation

Pourquoi je me fais vacciner dès que possible

Chère lectrice, cher lecteur,

C’est décidé, je me fais vacciner contre la Covid dès que possible.

Vais-je mourir d’effets secondaires ? Je m’en fiche.

Ce n’est plus la question.

La question, la vraie, c’est qu’on est en train de détruire nos pays, l’avenir de nos enfants, peut-être même notre civilisation, avec ces confinements qui s’enchaînent et les mesures de plus en plus restrictives sur tout.

Nous sommes en train de commettre un crime de masse avec :

  • tous ces jeunes enfermés qu’on est en train de priver de leur jeunesse
  • toutes ces entreprises ruinées, ces millions d’emplois en perdition
  • toutes ces opérations, pourtant importantes, annulées dans les hôpitaux
  • toutes ces personnes âgées privées de toutes visites
  • tous ces festivals, concerts, mariages, et même enterrements annulés, interdits.

L’être humain n’est pas fait pour vivre dans un bocal.

TOUT plutôt que de continuer sur cette autoroute vers l’enfer.

Je me fiche des risques des vaccins contre le Covid (et en plus, je n’y crois pas)

Les études scientifiques ont montré que plusieurs vaccins sont extrêmement efficaces pour réduire le risque d’attraper la Covid : Pfizer, Moderna en particulier.

Il y a des risques ?

Pas à court terme.

Pfizer/BioNTech a testé son vaccin dans le cadre d’une étude impliquant 43 000 participants. La moitié des sujets ont reçu le vaccin contre la COVID-19 et l’autre moitié, un placebo (faux vaccin). Ont été constatées de légères réactions locales autour du point d’injection, ainsi  que les effets secondaires suivants, de courte durée :

  • Fatigue
  • Maux de tête
  • Douleurs musculaires
  • Frissons
  • Fièvre

Parmi les 43 000 participants à l’étude, quatre ont souffert de problèmes graves : paralysie temporaire de la face ou des jambes et arythmie cardiaque. Mais ces affections seraient intervenues aussi souvent dans le groupe des personnes ayant reçu le vaccin que dans le groupe placebo.

Ce vaccin serait donc extrêmement sûr à court et moyen terme (on a à peine trois mois de recul).

Le vaccin de Moderna présente des données similaires : la moitié des participants à l’étude (environ 30 000 en tout) a reçu la vaccination contre la COVID-19, l’autre moitié a reçu un placebo. Les effets secondaires étaient ici aussi des plus classiques. Parallèlement à des réactions légères autour du point d’injection, il s’agissait de :

  • Fatigue
  • Maux de tête
  • Douleurs musculaires
  • Douleurs articulaires
  • Frissons

On a constaté un infarctus, une inflammation de la vésicule biliaire et des calculs rénaux, mais ces réactions ont eu lieu dans les deux groupes, vaccin et placebo (0.6 % pour chaque groupe). L’étude ne présentait aucune indication selon laquelle la vaccination contre la COVID-19 était à l’origine de ces incidents.

Ce vaccin serait donc, lui aussi, extrêmement sûr à court et moyen terme.

La question du long terme

Oui, il s’agit d’injecter en effet des substances artificielles jusque dans le sang depuis les muscles. Oui, il se pourrait qu’il y ait de terribles conséquences à long terme, que les actuelles études n’ont pas encore révélées.

Mais il n’existe à ce jour aucun vaccin qui entraîne des hécatombes à long terme. L’important est de prendre en considération le rapport bénéfice/risque sur l’ensemble de la population.

S’il y a un débat sur certains vaccins, et de gros soupçons sur l’adjuvant à l’aluminium, en aucun cas on ne peut parler actuellement d’un problème de santé publique prioritaire à l’échelle de la civilisation.

Il en va tout autrement de la Covid qui fait des centaines de morts chaque jour en France et entraîne des réactions des pouvoirs publics qui nous font un mal effroyable.

Il s’agit donc de choisir entre le risque d’effets secondaires massifs à long terme, et la certitude d’un écroulement de notre société.

Ne nous mentons pas à nous-mêmes. Si cette fichue pandémie continue, nous allons très bientôt commencer à connaître des pénuries insurmontables.

Déjà nous sommes confrontés à de gravissimes problèmes médicaux (baisse drastique du dépistage du cancer et de la prévention cardiovasculaire en particulier, causes majeures de décès) et à une souffrance psychique à grande échelle dans la population.

De mon côté, je n’hésite pas. Je choisis le vaccin (ou du moins, dès que c’est possible car je ne fais pas partie des groupes à risque).

Halte à la paranoïa

Certains prétendent que le vaccin serait l’occasion d’injecter à toute la population une micropuce pour les contrôler à distance. Baliverne évidemment.

D’autres craignent que le vaccin à ARNm modifie notre ADN : c’est n’importe quoi pour la plupart des scientifiques ayant un avis autorisé sur ce sujet extrêmement compliqué. Ceux qui s’inquiètent n’ont pas prouvé l’existence d’un risque mais affirment qu’on ignore s’il existe un risque de ce côté.

D’autres enfin se plaignent que le vaccin fait gagner des milliards à Big Pharma. D’accord. Mais préfèrent-ils cela à ce que nous perdions des milliers de milliards et que des centaines de millions de personnes soient précipitées dans la grande pauvreté à l’échelle mondiale à cause des mesures anti-Covid ?

Les réactions des pouvoirs publics sont certainement exagérées, mais elles sont compréhensibles

Bien sûr, on peut estimer que la Covid elle-même n’est pas si grave et ne justifie pas une campagne générale de vaccination forcée, puisque ce sont en fait les mesures sociales anti-Covid qui provoquent l’essentiel des problèmes de long terme mentionnés ci-dessus.

Le problème est que nous vivons dans une société hyper-sécuritaire. La moindre imprudence de la part d’une autorité entraîne immanquablement des procès. Les responsables politiques ne veulent tout simplement pas se faire poursuivre en Justice toute leur vie. Les chefs d’entreprise qui ferment leurs établissements se protègent eux aussi contre d’éventuelles attaques de leurs collaborateurs. 

On peut le regretter. Mais c’est comme ça et ce problème ne va pas changer du jour au lendemain. Que ferions-nous à leur place ??

Le mot de la fin 

Permettez-moi de préciser, à toute fin utile que je n’ai à titre personnel pas peur de la Covid : ni pour moi ni pour mon entourage.

C’est que, voyez-vous, je connais “un peu” la question des maladies graves, de la souffrance, des hôpitaux et des soins palliatifs. Beaucoup de problèmes médicaux me semblent bien pires que la Covid, ne serait-ce que parce qu’elles touchent les jeunes en bonne santé. Un an après son apparition, la Covid est de mieux en mieux traitée surtout pour la population en excellente santé (dont j’ai la chance de faire partie du moins au moment où je vous écris).

Si je veux me faire vacciner, ce n’est donc pas pour éviter cette maladie, que je ne crains pas, mais pour tenter de réduire la contagion et protéger nos aînés. 

Mais c’est aussi que, si nous sommes tous vaccinés, il sera infiniment plus difficile pour les Etats de continuer à justifier les mesures de contrôle social dictatorial qu’ils sont en train d’imposer un peu partout à cause de cette fichue maladie.

Ce n’est bien sûr que mon avis.

A votre santé !

Jean-Marc Dupuis

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