Cette gazette vous plaît ? Transférez-là à votre carnet d’adresses… Ils vous remercieront et nous aussi. | | Samedi dernier, Candace Owens a accusé publiquement sur X le couple présidentiel d’avoir commandité son assassinat via un groupe issu du GIGN. Bien qu’aucune preuve n’ait encore été apportée par l’influenceuse américaine, son message a fait le tour de la planète et a été relayé par des personnalités de premier plan, telles que Pavel Durov. Alors que les médias mainstream français font l’autruche ou bien dénigrent, sans chercher plus loin, les accusations de Candace Owens, Tocsin et Florian Philippot préfèrent déterminer quels intérêts sont à l’œuvre dans la guerre cachée de l’information qui se joue. À entendre le fondateur des Patriotes, il n’y a pas de doute : « Ce fait a un impact dramatique sur l’image de la France, et les Macron en sont responsables. ». En gardant arbitrairement Pavel Durov sur le territoire français, en lui faisant subir quatre jours de garde à vue et en l’empêchant de voir sa famille, en intentant un procès à Candace Owens sur le territoire américain au sujet de l’affaire Brigitte, le couple présidentiel s’est attiré les foudres de puissances qui les dépassent. Ils ont joué avec l’image de la France et, par leur faute, celle-ci est entachée aux yeux du monde. Rappelons quand même un fait depuis longtemps oublié, à savoir que Donald Trump s’était vanté publiquement d’avoir un dossier sur Emmanuel Macron. Pour Florian Philippot, il est « très possible que Trump joue de manière assez discrète là dessus à des moments où il en a besoin. On sait que cet homme n’est pas libre. ». Mais, immédiatement, une question se pose : pourquoi l’Élysée n’a-t-il toujours pas réagi, 72 heures plus tard, à des propos qui ont fait le tour du monde (non-réaction confirmée par le Daily Mail) ? Florian Philippot subodore là une machination machiavélique de l’Élysée pour justifier ses velléités de censure : « Je les crois très pervers. Je pense qu’ils ont très envie qu’il y ait une soupe qui prenne sur les réseaux sociaux pour qu’ensuite Macron aille nous faire un petit discours en pointant du doigt les réseaux sociaux et en disant : “Vous voyez bien qu’il faut les encadrer, qu’on a besoin du règlement européen DSA.” ». Tout converge, au final, vers une urgence : organiser la chute d’Emmanuel Macron le plus rapidement possible. Le président des Patriotes ne se prive pas de rappeler qu’une première motion de destitution a échoué à l’Assemblée nationale, notamment parce que le RN s’est abstenu : « Ils ont sauvé la mise à Macron… Là, il ne faut pas s’abstenir, il faut voter pour. Si rien ne bouge, il nous reste un an et demi avant le départ de Macron et de ces espèces de ténors de l’Élysée qui sont en train de ruiner l’image de la France. ». |
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