Cette semaine sur l’INA - samedi 20 avril 2024

 

Cette semaine sur l’INA 20 avril 2024  Bonjour à toutes et à tous, La bande son du week-end : Sarà perché ti amo, le tube italien des années 80 qui est devenu l'hymne des stades de foot italiens ! Le zoom de la semaine est consacré à l'entrée très «star» de Marcel Pagnol à l'Académie française. L'auteur de la trilogie marseillaise rêvait de dépoussiérer la vieille institution. Découvrez comment il a réussi son pari.  Les archives qui ont fait l'actu cette semaine : Vassieux-en-Vercors détruit par les nazis en 1944, la mode olympique des grands couturiers et le stade d'Olympie reconstruit par un retraité dans son jardin des Yvelines. Dans adn, l'émission de l'INA, Lio parle de son image, de sa conception de la vie et de ses combats au service femmes. Dans madelen, Madame ex, avec Emmanuelle Riva. Dans les podcasts de l'INA, un ado féru de verlan. Enfin, notre mot de la fin est consacré au Nobel de littérature Gabriel García Márquez. Bonne lecture, bonne écoute et, surtout : bon week-end ! La chanson Un hymne de foot ! « Che confusione, Sarà perché ti amo. È un'emozione, Che cresce piano piano... ». Même si vous ne parlez pas italien, impossible de ne pas connaître ces paroles sans les fredonner. Plus de quarante-cinq ans après sa sortie, la célèbre chanson italienne Sarà perché ti amo est devenue intergénérationnelle, et ce, grâce au foot. Mais rien ne vaut la saveur de l'originale. Regarder Les archives Poursuivons avec une sélection de trois vidéos que nous avons diffusées cette semaine. Témoignages de l'attaque de Vassieux-en-Vercors par les nazis en juillet 1944 Incursion dans le maquis. Dans le cadre de son périple mémoriel du 80e anniversaire de la Libération, Emmanuel Macron s'est rendu à Vassieux-en-Vercors mardi. Le plateau de Vassieux, et ce village en particulier, furent victimes de deux attaques meurtrières, celle de la milice d'abord, en avril 44 et des troupes SS, en juillet 44. Des archives d'époque, ou reconstituées et commentées par des survivants, témoignent de l'épreuve que maquisards et civils traversèrent. Regarder Aux Jeux olympiques, c'est aussi (et surtout) une histoire de style Anneaux et allure. Mercredi, la marque Berluti a dévoilé les tenues officielles que porteront les athlètes français lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris. Les tenues des athlètes et du staff sont depuis toujours un moment très attendu, immanquablement relayé par les médias. Des présentations qui ont laissé des archives parfois truculentes. Regarder Daniel Deschâtres, celui qui avait construit un stade olympique miniature dans son jardin Un fan de Coubertin. Le père des Jeux olympiques modernes, pensait que pour populariser le sport, il fallait l'internationaliser. Un siècle plus tard, un ancien athlète et admirateur du grand homme suivait ses traces en créant le stade d'Olympie dans son jardin. « Bon client », il fit les belles heures de la télé. Portrait. Regarder À la une de l'actualité en avril 1964 Que s'est-il passé y a 60 ans ?  De Gaulle opéré, une fusée individuelle, l'hélicoptère remplace l'échelle des pompiers, un pont tunnel dans la baie de Chesapeake, cours de pilotage sur un circuit, le ruban dernier chic des coiffures. Enfin, un long reportage sur les artistes noirs américains exilés en France, car victimes de racisme aux Etats-Unis, avec les chanteuses Nancy Holloway, Hazel Scott, Mae Mercer, le photographe Emil Cadoo et l'écrivain William Gardner Smith. Regarder Le zoom Le jour où Marcel Pagnol fit entrer le cinéma à l'Académie française Un rebelle sous la coupole. Il y a cinquante ans, le 18 avril 1974, disparaissait Marcel Pagnol. Écrivain, dramaturge, cinéaste, il donna ses lettres de noblesse à Marseille à travers sa fameuse trilogie : Marius, Fanny et César. En 1947, il entrait à l'Académie française comme une star de cinéma. Les archives témoignent encore de la révolution qui souffla ce jour-là quai Conti. Regarder Une madelen à déguster Ce week-end, prenez le temps de voir madelen, la plateforme à remonter le temps. Sur madelen, Madame ex Aline (Emmanuelle Riva) et Louis (Jean-Pierre Darras) divorcent. Elle obtient la garde de leurs quatre enfants, et une rancœur difficile à mettre de côté dans un quotidien difficile. Alors que Louis refait sa vie avec une femme plus jeune, la relation se détériore. Une œuvre d'Hervé Bazin adaptée pour la télé en 1978 par Michel Wyn. Regarder «adn», l'émission de l'INA Les mots de Lio, la combattante Elle a chanté que les brunes ne comptaient pas pour des prunes, aujourd'hui, à 70 ans, Lio l'affirme : « Les grises sont pleines de surprises ». L'artiste est l'invitée de « adn », l'émission de l'INA. Avec sa verve, son franc-parler et sa grâce naturelle, elle revient sur sa vie, ses douleurs et ses sources d'engagement, notamment  pour la cause des femmes. Lire Les podcasts de l'INA Dans «La vie d'avant», découvrez la vie des générations passées comme si vous y étiez vraiment. Des secrets de leurs émois amoureux à la découverte de leur vocation, les personnages de ce podcast vous dévoilent leur regard sur le monde. Hassen expert en verlan En 1989, Hassen est un jeune homme du nord de la France qui s'est installé à Paris et y a découvert le verlan qu'il a tout suite adopté. Le «keum» nous donne une vraie leçon sur cette façon de parler. Écouter Un dernier mot Gabriel García Márquez : «J'essaie de restituer une réalité révoltante» Un maître du réalisme magique. Il y a 10 ans, le 17 avril 2014, mourait l'auteur colombien Gabriel García Márquez. En 1982, il avait reçu le prix Nobel de littérature. Juste après la remise de son prix, TF1 l'interrogeait sur son écriture, son rapport à l'Amérique latine et l'engagement. Regarder Merci de votre attention et à la semaine prochaine ! Florence Dartois pour la rédaction de l’INA. 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