Acouphènes : comment chasser ce « parasite » de votre vieChère lectrice, cher lecteur, L’acouphène est un squatteur. Un parasite. Il entre discrètement dans votre vie, l’air de rien. Ça commence par un léger sifflement dans les oreilles que vous entendez parfois le soir. Il est tellement discret que la plupart du temps, vous l’oubliez. Mais avec le temps, il prend de plus en plus de place. Il ne vous lâche pas. Il vous suit partout où vous allez. Vous avez toujours un bourdonnement en arrière-plan, quand vous lisez, quand vous méditez… Et peu à peu, vous devez allumer la radio ou la télévision pour ne plus l’entendre. Les bruits de la ville vous agressent. Vous n’osez plus aller au cinéma, ou à un concert. C’est un monstre qui grandit jour après jour… et qui devient toujours plus envahissant… Une alarme dans la tête qu’on ne peut pas arrêterJusqu’au jour où il prend totalement possession de vous : - Vous avez l’impression d’avoir une machine à laver dans votre crâne, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7
- Le son est tellement intense que vous en avez la tête qui tourne et de violentes migraines
- Vous avez beau tomber de fatigue, impossible de vous endormir : vous restez éveillé des heures sans réussir à « oublier » ce bruit de fond insupportable
- Vous devenez hypersensible aux sons : vous ne supportez plus quand les gens parlent trop fort. La terrasse d’un café, un restaurant bondé et le bruit des voitures deviennent un supplice. Vous renoncez à voir vos proches. Vous n’osez plus sortir de chez vous
- Vos amis ne comprennent pas ce qui vous arrive. Ils ne prennent pas votre souffrance au sérieux. Ils ne vous invitent plus, ne vous appellent plus. Vous vous isolez de plus en plus.
Vous pensez peut-être que j’exagère. Vous vous dites que vous n’arriverez jamais à de tels extrêmes. Mais détrompez-vous ! Il suffit de faire un tour sur Internet pour vous rendre compte que je suis encore loin de la vérité.... Pour lire la suite et recevoir ma série de lettres sur les acouphènes, je vous invite à cliquer ici ou sur le bouton ci-dessous. Lire la suite Amicalement Florent Cavaler |
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