La santé
A partir de combien de doses cesse-t-on de compter ?Chers amis,
Voici le type de conversation que nous aurons en France d’ici un an si le projet de loi sur le Pass vaccinal est voté en janvier. Nous ne parlerons plus de 3ème dose ou de 4ème dose (comme en Israël actuellement[1]) : nous aurons arrêté de compter car ces rappels seront devenus une formalité pour mettre à jour le pass vaccinal, sans lequel nous ne pourrons ni entrer dans un café, ni voyager, ni sans doute même travailler. Les vaccins sur abonnement pour 2022, 2023 et au-delàCes doses de rappel ad nauseam n’ont rien de fictif : l’Union européenne ne s’était pas cachée, il y a quatre mois, d’avoir passé commande de 900 millions de doses de vaccin Pfizer pour 2022 : 15% de cette commande est destinée à la France, soit 165 millions de doses[2]. 165 millions de doses pour un pays de 67 millions d’habitants. Et ces 165 millions de doses ne concernent qu’un seul fabricant ! Car l’Europe a également commandé 150 millions de doses de Moderna et aurait passé une commande sur 3 ans pour le Novavax[3]. Nous avons donc devant nous des centaines de millions de doses pour l’année qui arrive, l’année qui suivra, et probablement au-delà. Il est inimaginable que les dirigeants européens, qui ont engagé des fonds record dans ces achats, laissent ces doses se périmer dans un entrepôt. Le plus grave, outre la perfusion vaccinale sous laquelle cette politique entend mettre la population, c’est son inutilité sanitaire, et pire encore : sa contre-productivité. « Aucun pays ne pourra se sortir de la pandémie à coups de doses de rappel »Il y a quelques jours, le Directeur Général de l’OMS a averti : « aucun pays ne pourra se sortir de la pandémie à coups de doses de rappel (…) La vaccination doit rester axée sur la diminution des décès et des maladies graves[4] ». Je vous avoue que je suis quelque peu soulagé d’entendre enfin la voix de la raison reprendre la parole au sein de l’Organisation Mondiale de la Santé. Le directeur général de l’OMS a même martelé ce que je répète depuis plusieurs semaines dans mes lettres : Les épidémiologistes nous avaient prévenu : vacciner massivement en pleine épidémie, c’est favoriser la mutation du virus, l’apparition de variants et l’échappement immunitaire. Pourquoi les gouvernements, et notamment celui de Jean Castex, ne reviennent-ils pas à la raison au lieu de s’acharner dans cette course en avant vaccinale ? Celle-ci est d’autant plus insensée qu’Omicron change la donne. Les deux « nouvelles » raisons sanitaires pour cesser de vacciner en sérieLa progression exponentielle d’Omicron comme variant dominant rend doublement caduque la commande de vaccins pour des mois et des mois. Pourquoi ? D’abord, parce que ces vaccins ont, je vous le rappelle, été conçus pour combattre la souche originelle du virus : celle-ci ne circule plus depuis des mois, supplantée par Delta, puis à présent par Omicron. Chacun de ces variants est un peu plus éloigné de la souche d’origine et c’est ce qui explique la chute libre de l’efficacité de ces vaccins (contre les formes graves, car contre la contagiosité : efficacité zéro) et les doses de rappel à répétition. Ensuite, parce qu’Omicron est très contagieux, mais très peu dangereux – ce qui, je le redis pour la énième fois, est normal pour un virus qui « s’adapte » afin de contaminer le plus de personnes possible, en en tuant le moins possible. Cette très grande contagiosité liée à une faible dangerosité est confirmée par les populations où Omicron est déjà dominant : des données écossaises démontrent qu’Omicron occasionnerait 3 fois moins d’hospitalisations que Delta[5]. Et nous savons également qu’en France, il y a proportionnellement beaucoup moins d’admissions en réanimation pour Omicron que pour Delta. Le paradoxe est donc que c’est Omicron qui pourrait nous faire acquérir l’immunité collective tant recherchée depuis près de deux ans… … et que la vaccination de masse ralentit ce processus d’immunisation naturelle par une immunisation artificielle et pourvue d’effets secondaires ! La politique d’obligation vaccinale, à coups de doses de rappel récurrentes sans fin programmée, est donc non seulement absurde, mais dangereuse. Nous pouvons encore exprimer notre refus de participer à ce gâchis en signant d’urgence la pétition ci-dessous : |
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Le Pass vaccinal consiste à mettre les Français sous perfusion illimitéeLe pass vaccinal est plus grave qu’une obligation vaccinale simple. Au départ, l'idée était de contraindre toute la population à faire 2 à 3 doses de vaccins contre le Covid-19. Le pass vaccinal, lui :
Nous ne devons pas laisser faire cela. L’inoculation régulière d’un produit pharmaceutique devient un traitement et pas un vaccin. L’article R.4127-36 du code de la santé publique est clair : "Le consentement de la personne examinée ou soignée doit être recherché dans tous les cas.” “Lorsque le malade, en état d'exprimer sa volonté, refuse les investigations ou le traitement proposés, le médecin doit respecter ce refus après avoir informé le malade de ses conséquences.” On comprend la manœuvre du gouvernement : l’obligation est illégale… alors ils la contournent en faisant en sorte que nous soyons obligés de nous y soumettre ! C’est inacceptable. |
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Le Pass vaccinal est l’aboutissement d’un an de mensonges successifs…Depuis un an, le gouvernement fait “passer la pilule” à coup de promesses non tenues, et même de mensonges.
Et maintenant, voici ce qui s’est passé (depuis 6 mois seulement) : 31 mai 2021 : mise en place du pass sanitaire ; 5 août 2021 : extension à de nombreux lieux publics du pass sanitaire jusqu'au 15 novembre 2021 ; 15 octobre 2021 : fin de la gratuité des tests de dépistage ; 10 novembre 2021 : prolongation du pass sanitaire jusqu'au 31 juillet 2022 ; 25 novembre 2021 : réduction du délai de validité des tests de dépistage de 72 heures à 24 heures ; 17 décembre 2021 : annonce de la mise en place du pass vaccinal. Ces manipulations accumulées leur permettent d’aller toujours plus loin pour violer notre consentement ! |
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… et de la manipulation de masse à visage découvertNos dirigeants sont passés maîtres dans une technique appelée “le pied dans la porte”. Elle consiste à faire une demande peu coûteuse qui sera vraisemblablement acceptée, suivie d'une demande plus coûteuse. La deuxième demande a plus de chance d'être acceptée si elle a été précédée de l'acceptation de la première, qui crée une sorte de palier et un phénomène d'engagement. Voilà comment on a commencé par vous demander des choses “simples” comme porter un masque et faire une première dose de vaccin. La porte était ouverte vers une deuxième dose, puis une 3ème dose, avant une 4ème déjà annoncée par les experts pour le printemps. Le Pass vaccinal exerce un chantage pour violer notre consentementVoilà comment le gouvernement gère la crise : vous n’êtes pas obligé d’accepter, mais si vous refusez, vous n’avez plus le droit de vivre normalement. Que le pass vaccinal soit bien compris par chacun : si au bout de la Xème dose, vous décidez d’arrêter de suivre les mesures, votre pass vaccinal s’annulera et vous n’aurez immédiatement plus le droit d’aller dans des :
Le ministre Olivier Véran a même proposé le 18 décembre[1] que vous puissiez perdre votre travail si vous n’êtes pas vacciné. C’est une honte ! |
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Les mesures du gouvernement n’ont pas fait leurs preuvesEt le pire dans tout ça, c’est que ce viol de votre droit le plus précieux, votre droit sur votre corps, ne repose pas sur une réalité scientifique. La CNIL, organisme chargé de la protection des données des citoyens, à publié 4 avis pour demander au gouvernement de prouver l’efficacité de ses mesures. Mais elle n’a toujours pas reçu de réponse du gouvernement ! Voici un retour sur les incohérences scientifiques de ces mesures : 1. Le vaccin n'empêche pas la transmission du Covid, c’est maintenant prouvé[2]2. Le vaccin ne vous empêche pas de tomber malade[3]Son efficacité se dilue à chaque nouveau variant. Et comme tous les virus mutent, tant que le Covid existera, il faudra toujours de nouvelles doses pour que ça “marche” 3. Le vaccin ne vous empêchera pas d’aller à l'hôpital[4]Les vaccinés représentent désormais 57% des admissions, contre 43% pour les non-vaccinés. 4. Les hôpitaux n’ont jamais été saturés à cause du Covid[5]Au pic de l'épidémie, un rapport l’a prouvé, seulement 2% des admissions concernaient des cas Covid. Par contre, les soignants se plaignent des suppressions de lits dans les hôpitaux et du manque de place… depuis des années ! 5. Les mesures sanitaires (distances sociales, confinements…) ont affaibli notre immunité [6]Alors si le vaccin :
… pourquoi obliger toute la population à se faire perfuser sans limite de durée ? C’est absurde ! Et c’est le jackpot pour Big Pharma, qui s’enrichit sur le dos de la nation : Stéphane Bancel, PDG de Moderna Grâce à la pandémie, Pfizer, Moderna et BioNTech ont réalisé 34 MILLIARDS de dollars cette année ! Soit 65 000 $ par minute ! |
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Pouvons-nous faire confiance au Conseil constitutionnel ?Le pass sanitaire avait été exceptionnellement validé par le Conseil constitutionnel dans sa décision du 5 août 2021[7] Mais plusieurs points justifiant cette autorisation exceptionnelle et temporaire sont aujourd’hui obsolètes : “En adoptant les dispositions contestées, le législateur a entendu permettre aux pouvoirs publics de prendre des mesures visant à limiter la propagation de l'épidémie de covid-19. Il a ainsi poursuivi l'objectif de valeur constitutionnelle de protection de la santé" -> Obsolète ! Nous sommes à plus de 60 000 cas par jour de Covid-19, ça n’a absolument pas limité les contaminations ! "Les dispositions contestées prévoient que les obligations imposées au public peuvent être satisfaites par la présentation aussi bien d'un justificatif de statut vaccinal, du résultat d'un examen de dépistage virologique ne concluant pas à une contamination ou d'un certificat de rétablissement à la suite d'une contamination. Ainsi, ces dispositions n'instaurent, en tout état de cause, ni obligation de soin ni obligation de vaccination" -> Obsolète ! Les tests de dépistage ne sont plus pris en compte, la vaccination est rendue obligatoire par la force des choses ! Olivier Veran n’en rougit pas, déclarant que que le "passe vaccinal est une forme déguisée d'obligation vaccinale"[8] ! "En cinquième lieu (...) la présentation des documents est réalisée sous une forme ne permettant pas de connaître « la nature du document détenu » et ne s'accompagne d'une présentation de documents d'identité que lorsque ceux-ci sont exigés par des agents des forces de l'ordre" -> Obsolète ! Olivier Véran, souhaite désormais intégrer dans le projet de Loi la possibilité pour n’importe quel vérificateur de contrôler notre identité ! Le Conseil constitutionnel censurera-t-il le projet de loi du pass vaccinal en vertu de ses critères piétinés ? Nous devons, pour nous en assurer, alerter nos élus ! |
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NON AU PASS VACCINALNon à la discrimination dans notre pays !Adressé à : Mesdames et Messieurs les députés de l’Assemblée Nationale, Mesdames et Messieurs les Sénateurs Mesdames et Messieurs les élus de l’Assemblé Nationale et du Sénat, Le projet du gouvernement de Jean Castex d’instaurer un Pass vaccinal qui remplacera le Pass sanitaire est une atteinte à l’état de droit. C’est aussi un contresens scientifique. Nous vous demandons solennellement, vous élus du peuple français auxquels sera soumis ce projet de loi début janvier, d’assumer votre rôle de garants d’une loi équitable pour tous les citoyens. Votre responsabilité est historique : si vous donnez votre feu vert au gouvernement sur le pass vaccinal, vous posez les bases d’un modèle de société où le contrôle du statut médical conditionnera la vie sociale. Si vous autorisez cette mesure,
Vous ne pouvez pas laisser faire cela. Ces dispositions portent gravement atteinte à notre constitution et à nos lois, qui spécifient que tout acte médical doit être consenti de façon libre et éclairée, et non contraint[1]. Ces dispositions violent la loi de l’Union Européenne encadrant l’instauration du pass sanitaire, qui a expressément interdit qu’un pass puisse aboutir à une discrimination entre vaccinés et non-vaccinés[2]. Ces dispositions méprisent les avertissements du Conseil Constitutionnel qui exigeait que le pass sanitaire soit temporaire. Allez-vous accepter, vous représentants de la légalité publique, une telle atteinte à la légalité? Facteur aggravant, ce pass vaccinal n’a pas de fondement scientifique. Le Pr Delfraissy a admis lors de sa dernière audition au Sénat que le pass sanitaire n’avait pas endigué l’épidémie de Covid, son but étant de contraindre les citoyens à la vaccination[3]. Le pass sanitaire n’a eu aucun effet sur la contagiosité virale et les hôpitaux débordent maintenant de doubles et triples vaccinés. La loi portée par M. Castex est une obligation vaccinale pure et simple, assortie d’un dispositif punitif. Un tel schéma ne s’est jamais produit dans l’histoire de notre République. L’accepter, c’est accepter une discrimination du peuple français. Nous vous demandons solennellement de ne pas voter cette loi qui reviendra à discriminer les citoyens en fonction de leur statut vaccinal et nous enfermera dans un cercle de mesures toujours plus coercitives. Le moment est grave, chers élus. Il vous appartient aujourd’hui de défendre la liberté républicaine et la justice sociale. Le peuple français tout entier compte sur vous. Veuillez recevoir, Mesdames et Messieurs les élus de l’Assemblée Nationale et du Sénat, l’expression de notre très haute considération. Rodolphe Bacquet |
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Cliquez ici pour voir les sources. |
[1] Le Point Santé (22.12.2021). Vaccin : Israël autorise la 4ème dose pour les soignants et les séniors. https://www.lepoint.fr/sante/ [2] Leroy T (20.08.2021). Deux milliards d’euros pour l’achat de vaccins en 2022 : à quoi vont servir toutes ces doses ? BFM TV. https://www.bfmtv.com/ [3] Ibid [4] Nations Unies, ONU Info. Covid-19 : « Aucun pays ne s’en sortira à coups de rappels », prévient le Chef de l’OMS. https://news.un.org/fr/story/ [5] Journal International de Médecine (23.12.2021). Omicron : un risque d’hospitalisation réduit des 2/3… même en Europe. https://www.jim.fr/medecin/ |
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