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| | | Bonjour ,
Aujourd’hui, on voulait vous parler du travail du Dispensaire Vétérinaire Étudiant, une association lyonnaise qui s’occupe des animaux des plus démunis. On les a suivis le temps d’une journée pour voir comment ils travaillent et ce que ça apporte aux propriétaires d’avoir des animaux en bonne santé. | | |
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| | | Cette association lyonnaise a été créée en 2008 par des étudiants de l’école vétérinaire VetAgro Sup et compte aujourd’hui 115 bénévoles. Ils organisent ce type de permanence une à deux fois par semaine.
Ce jour-là, on a suivi la consultation de Micro, le chien de Guillaume : “C’est lui qui m’a fait sortir de la rue. Je l’ai fait pour lui car lui, il n’a pas demandé à vivre dans la rue. Ce n’est pas le véto qu’on va voir une fois dans l’année, c’est tous les mois, donc ça rassure.”
Guillaume vit avec Micro dans un des trois seuls foyers d’accueil à accepter des animaux à Lyon. Ici, les bénévoles reçoivent des personnes hébergées sur place mais aussi des personnes venues pour la journée.
Si l’association se rend dans des foyers sociaux pour effectuer ses soins vétérinaires, c’est parce qu’elle n’a pas le droit de le faire dans la rue.
Léa Primot, la coprésidente du Dispensaire Vétérinaire Étudiant, nous a expliqué que le gros des consultations relevait de la médecine préventive, c’est-à-dire de la vaccination et de l’identification des animaux : “C’est ce qui permet aux propriétaires d’être en règle et de ne pas être embêtés après pour des questions administratives concernant leurs animaux.”
Sur place, les bénévoles sont les témoins directs des liens qui unissent animaux et maîtres. “Il y a vraiment une fusion, c’est hyper important pour eux. Et on se rend compte qu’il y a plutôt des animaux qui sont trop nourris ou mal nourris que des animaux qui sont maltraités.” explique Ana, coprésidente du dispensaire.
En plus des permanences vétérinaires, l’association effectue des maraudes pour distribuer des croquettes, des jouets, des gamelles, des laisses...
“Il y a un vrai travail de médiation sociale. On s’est rendu compte que quand on passait par l’animal, on arrivait plus souvent à discuter et à créer du lien. C’est ça que j’aime bien, c’est qu’on n’a pas un temps de consultation défini. Du coup, on peut prendre le temps de boire un café, de discuter. Et puis il y a des personnes que je suis depuis plusieurs années. Par exemple, ce chien était hyper stressé au début et maintenant, on sent qu’il est beaucoup plus détendu. Et ça c’est vraiment chouette”, raconte Ana. | | |
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| | | | | | | | | Au Mans, plus de 50 SDF relogés en moins d'un an Pendant ce temps-là, au Mans, comme Ludo, une cinquantaine de SDF ont bénéficié d’un logement en moins d’un an. Voilà comment. | |
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