Il n'avait que 24 ans. C’était un jeune homme brillant, étudiant en médecine, à Nantes.
Anthony a été foudroyé par une thrombose quelques jours après s’être fait injecter le vaccin contre le covid-19.
Il était en pleine forme : aucun antécédent de santé connu.
Anthony pensait bien faire, protéger ses patients.
Cette même histoire s’est répétée ce lundi à Toulouse.
Elle avait 38 ans. Elle était assistante sociale dans un institut médico-éducatif.
On lui a injecté le vaccin au milieu du mois de mars, juste avant que les premiers doutes n’éclatent sur la sécurité de ce vaccin.
Elle est morte 14 jours après.
Et ce n’est pas tout.
Quelques jours plus tôt, Joël Crochet, un homme de 63 ans est décédé à l'hôpital d'Annecy en Haute-Savoie.
"30 minutes après l'injection, il a commencé à avoir de gros troubles respiratoires" a expliqué son frère.
Dix jours plus tard… Joël est décédé.
En France, on dit “circulez il n’y a rien à voir”.
L’agence européenne du médicament dit que “le bénéfice risque est favorable”.
En Allemagne, la prudente Angela Merkel a fait en sorte qu’on arrête de vacciner les moins de 60 ans avec ce vaccin.
Mais la vraie question c’est encore autre chose.
Est-ce que VOUS, vous avez envie de prendre ce risque ?
Chacun devrait être libre de décider si OUI ou NON il accepte ce risque.
Au-delà de ce vaccin… ou de tout autre conçu et fabriqué en quelques mois… comment peut-on dans ces circonstances forcer tout un peuple à se faire vacciner ?
sans aucun recul scientifique
sans garantie qu’il n’y ait pas de danger
sans savoir s’il protège vraiment du virus (et de ses nouveaux variants)
Cela paraît totalement insensé et contraire aux principes de précaution et de la démocratie.
Car ne nous trompons pas, ils sont bien en train de mettre en place une “obligation déguisée”, via le passeport vaccinal ou certificat sanitaire numérique.
Bizarrement, personne ne bouge.
Personne ne réagit et bientôt il sera trop tard.
Dès le mois de juin, si vous n’êtes pas vacciné, vous ne pourrez quasiment plus rien faire.
Imaginez un instant que vous arriviez devant le magasin où vous faites vos courses habituellement.
En franchissant la porte, le portail sonne.
Bip bip bip… Bip bip bip… Bip bip bip...
Un vigile vient vers vous en fronçant les sourcils, comme si vous aviez volé quelque chose.
“Désolé, votre certificat sanitaire n’est pas valide, vous ne pouvez pas entrer”.
Ce mauvais cauchemar était impensable il y a quelques mois.
Et aujourd’hui, il est à deux doigts de devenir réalité.
Mercredi 17 mars, la Commission européenne a officiellement lancé le certificat sanitaire.
Et à peine 6 jours après... les députés européens ont voté ce jeudi 25 mars pour une procédure d'urgence afin que cette proposition puisse être adoptée plus rapidement (468 voix pour et 203 contre).
Ils veulent que ce soit prêt d’ici le mois de juin.
Vraiment, je suis plus inquiet que jamais.
Quand j’ai commencé à vous alerter sur la vaccination obligatoire au milieu de l’été dernier, dans la chaleur de juillet… je ne pensais pas que ça irait si vite.
Mais ça y est, la machine est en marche.
Cette fois, ils ont été très malins.
Plutôt que d’imposer frontalement à tous l’injection d’un vaccin, ils ont opté pour une méthode plus sournoise.
Ils ont imaginé le “certificat sanitaire” ou “passeport vaccinal”.
- ce document dira si vous êtes vacciné contre le covid-19
- et si vous avez été testé négativement
- et sans ça, vous pourriez être interdit de séjour à peu près partout.
Finis les restaurants, les cafés
Finis les voyages
Finies les sorties et le théâtre…
Finies les écoles et les crèches peut-être aussi pour nos enfants
Peut-être même que les entreprises vous empêcheront d’aller au travail si vous n’avez pas votre “carte verte”.
Ce sera alors le chômage forcé…
Et pour tous ceux qui refusent le “carnet vert”...
… une sorte d’auto-confinement 365 jours par an
Vous deviendrez un “citoyen de seconde zone”.
Un peu comme les “pestiférés” autrefois.
Ou comme les “intouchables” de la culture indienne.
A un détail près : vous n’êtes pas malade.
Mais peu importe, ils vous traitent comme si vous l’étiez…
Sauf bien sûr, si vous acceptez de vous faire vacciner !
C’est imparable comme stratégie.
En France, cette idée a fait son chemin depuis plusieurs mois déjà.
Car le Premier ministre Jean Castex et Emmanuel Macron avaient compris dès le début que l’immense majorité des Français étaient contre la vaccination obligatoire.
Ils ont donc inventé la “vaccination obligatoire déguisée”.
Et pour éviter toute contestation, ils ont demandé au Conseil économique et social (CESE) d’organiser une consultation sur cette question très sensible.
Le résultat a été très clair : 67,1% des personnes qui ont répondu se sont déclarées très défavorables à cette mesure.
Croyez-vous qu’ils ont abandonné l’idée ?
Non...
Ils se moquent royalement de votre avis
Les résultats de cette consultation n’ont aucune valeur pour nos dirigeants
Pire, ils se serviront de ça pour que les ministres puissent clamer sur les plateaux télé qu’une consultation a été organisée.
Mais depuis ce 17 mars 2021, la menace ne vient même plus de l’Elysée.
La menace vient de Bruxelles.
Et elle a pris une autre tournure.
Ce sont les fonctionnaires européens qui ont pris les choses en main.
Oui, votre santé est maintenant gérée par une poignée de hauts fonctionnaires en lien avec les états-majors des grands laboratoires pharmaceutiques.
Et, sauf si on se mobilise très rapidement, dans quelques jours il sera difficile de faire marche arrière.
Ils sont en train de créer le “certificat vert numérique”.
Ils vont très vite : les outils de propagande ont déjà été lancés, sur Twitter, Facebook et bientôt à la télévision et les journaux.
Je vous préviens : quand la grande machine européenne est lancée, c’est difficile de l’arrêter.
Si on ne se mobilise pas maintenant : ils vont gagner.
Que ça vous plaise… ou non, vous devrez être vaccinés !
Je ne vais pas ici débattre de l’efficacité des vaccins.
Honnêtement, on n’a pas le recul pour ça.
Ni me prononcer sur leurs éventuels dangers..
Car au-delà des premiers effets secondaires observés ces dernières semaines... il faudra attendre des années pour savoir si OUI ou NON ils sont dangereux.
On pourra alors étudier les effets à long terme de ces nouveaux vaccins conçus en quelques mois et fabriqués en quelques semaines.
Mais c’est un autre débat.
Ici, ce qui est en jeu, c’est plus largement notre liberté.
Depuis 1 an, au nom d’un virus, on a mis tout un pays “sous cloche”, du jour au lendemain.
La France est sous-tutelle : les décisions sont dictées par l’administration sanitaire… et soufflées par les laboratoires
Et les Français sont contrôlés grâce aux lois d’exception permises par l’état d’urgence sanitaire.
On a interdit à nos enfants d’aller à l’école.
On a fermé les cafés, les restaurants.
On a fermé les théâtres et les cinémas.
Enfermé des personnes âgées dans des EPHAD.
On a laissé des personnes mourir seules, sans visite
On a interdit aux familles d’enterrer correctement leurs proches.
Et envoyé des dizaines de milliers de personnes au chômage.
Et même empêché des médecins de prescrire des traitements inoffensifs qui semblaient fonctionner
Les mesures les plus choquantes ont été prises, sans jamais la moindre opposition.
Et tout ça pour quoi ??
Pour finir par forcer tout un pays… tout un continent même… à s’injecter des vaccins qui ont été développés en quelques mois.
Sur lesquels on a “zéro” recul.
Et il faudrait accepter tout ça les yeux fermés ?
Comme c’est le cas dans les pays autoritaires comme la Chine ?
Eh bien NON.
Nous sommes des centaines de milliers à refuser d’être traités comme dans les pires dictatures et nous avons le droit de refuser d’être traités comme des enfants.
Le problème : c’est qu’ils sont malins.
Vous l’avez sans doute lu ou entendu à la télévision, le Gouvernement s’est attaché les services des plus grands cabinets de conseils en stratégie comme l’américain McKinsey.
Ils ont imaginé un scénario redoutable.
Et on risque bien de se faire “avoir” si on ne fait pas attention, c’est qu’ils jouent la carte de la sortie de crise.
Ce certificat permettra ENFIN de sortir de la crise, disent-ils :
De reprendre l’avion.
De passer les frontières.
D’aller au restaurant.
D’être libre.
Et ceux qui refuseront ce système se puniront tout seul.
C’est redoutable comme stratégie.
Voilà pourquoi cette mesure a toutes les chances de s’imposer en France et en Europe.
Après des mois de confinement.
D’angoisse diffusée 7j/7 en direct à la télé.
Et après avoir réussi à imposer le masque dans la rue…
… cette mesure totalement scandaleuse et contraire à nos libertés fondamentales risque de s’imposer avec une facilité inouïe.
Voilà pourquoi il faut se mobiliser aujourd’hui pour éviter ce scénario du pire et refuser toute forme de vaccination obligatoire déguisée :
Je vous invite donc à signer aujourd’hui la pétition contre la vaccination obligatoire et à la transférer ensuite à tous vos contacts (par mail, par whatsapp, Facebook).
Si les Français s’y opposent, l’Europe ne pourra pas mettre ça en place.
Il faut atteindre 100 000 signatures pour qu’on soit entendus.
Aidez-moi.
Car si on laisse passer ça, demain ils nous imposeront pire encore.
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