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lundi 14 mai 2018

Les Crises.fr - [Vidéo] Criminalisation de la lutte sociale ? Jérémie Assous : Affaire Tarnac, par Thinkerview (+ Le Jugement de l’affaire Tarnac)


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14.mai.2018 // Les Crises





[Vidéo] Criminalisation de la lutte sociale ? Jérémie Assous : Affaire Tarnac, par Thinkerview (+ Le Jugement de l’affaire Tarnac)


Très intéressante interview de Maître Jérémie Assous, avocat des accusés de l’affaire Tarnac dont les clients viennent d’être acquittés à l’issue d’une instruction déplorable. (soir sa fiche sur grands-avocats.com)
Nous en profitons pour le remercier, vu qu’il est également notre avocat contre Le Mondeet autres diffamateurs.
Comme on me demande régulièrement, je précise que son cabinet parisien est généraliste : en plus du pénal et du droit de la presse, il traite de nombreux autres dossiers, comme en matière de droit du travail (c’est l’avocat de Tex), droit des affaires, droit immobilier, droit public, droit de l’environnement (il défend vos poumons devant le Tribunal de l’Union européenne), droit de la propriété intellectuelle, etc.
Donc si vous cherchez un très bon avocat, n’hésitez pas à le contacter… 😉 (pour les avocats stagiaires et collaborateurs, c’est ici)

I. Interview de Maître Jérémie Assous

Source : Thinkerview, Youtube, 04-05-2018
Jérémie Assous est avocat Pénaliste au barreau de Paris, en direct le 04/05/2018.
Source : Thinkerview, Youtube, 04-05-2018

II. Le jugement de l’affaire Tarnac

Comme on en parle dans l’interview, voici le jugement de l’affaire Tarnac :
Nous vous proposons cet article afin d'élargir votre champ de réflexion. Cela ne signifie pas forcément que nous approuvions la vision développée ici. Dans tous les cas, notre responsabilité s'arrête aux propos que nous reportons ici. [Lire plus]
lemoine001 // 14.05.2018 à 11h17
Les ressorts de cette affaire Tarnac sont pourtant faciles à comprendre : quelques écervelés, habituels supplétifs de la police en matière de provocations, se sont trouvés en possession d’un petit appareil capable de détruire un caténaire et de bloquer durablement le trafic. L’idée était qu’ils l’utilisent au moment d’un conflit social de manière à ce qu’on puisse accuser la CGT (on avait déjà essayé de lui attribuer quelques incendies). Mais ces “incontrôlés” l’ont utilisé trop vite et à contretemps. Ils étaient suivis de près par les renseignements généraux vraisemblablement grâce à un petit appareil glissé sous leur voiture et peut-être aussi quelques taupes). Le pouvoir ayant besoin de se montrer fort, il a été décidé de les arrêter. Seulement au moment de les juger, un problème s’est posé : les preuves n’étaient pas présentables puisqu’elles auraient impliqué les forces de police. D’où pas de preuve et surtout la nécessité d’éviter que la justice aille fouiner dans les rapports entre la police et ces groupes censés être ses pires ennemis. D’où cafouillage et déroute aussi discrète que possible.

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