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lundi 27 février 2017

Elections 2017 - Les 5 infos de la présidentielle aujourd'hui lundi 27 février 2017

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Drapeau français Elections 2017
Les #5 infos de la présidentielle aujourd'hui
Pas d'alliance Hamon-Mélenchon, Macron creuse l'écart, la "quasi-guerre civile" de Fillon fait bondir le gouvernement...
pas d'alliance Hamon-Mélenchon, Macron creuse l'écart, la "quasi-guerre civile" de Fillon fait bondir le gouvernement...
Grands discours, petites phrases, propositions-chocs ou anecdotes… Chaque jour, jusqu'au 7 mai 2017, date du second tour de l'élection présidentielle, franceinfo résume ce qu'il ne faut pas rater de l'actualité de la campagne. Voici l'essentiel à retenir de ce lundi 27 février.

#1Pas de candidature commune entre Hamon et Mélenchon

Le feuilleton autour d'un éventuel accord entre les deux principaux candidats de la gauche est en passe de se clôturer. Sans succès. Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon se sont rencontrés vendredi soir et n'ont pas convenu d'une candidature commune. "Jean-Luc Mélenchon a décidé d’être candidat jusqu’au bout. J’aurais préféré qu’on se rassemble autour de ma candidature", explique le socialiste ce matin sur France Inter.

#2L'alliance Macron-Bayrou profite au candidat d'En marche !

L'hypothèse d'un second tour opposant Emmanuel Macron et Marine Le Pen sort renforcée d'un nouveau sondage réalisé à la suite de l'alliance conclue entre l'ancien ministre de l'Economie et François Bayrou. Le candidat d'En marche ! obtiendrait 25% des voix lors du premier tour, soit quatre points de plus par rapport à janvier, selon l'enquête Kantar Sofres pour RTL, Le Figaro et LCI."L'électorat MoDem qui aurait pu se disperser parmi plusieurs autres candidats semble assez bien canalisé par l'offre d'En marche !", analyse Emmanuel Rivière, directeur général du pôle Opinion de Kantar Sofres. La présidente du Front national est toujours positionnée en tête, avec 27% des intentions de vote.

#3Fillon décrit un climat de "quasi-guerre civile", le gouvernement riposte

Ciblé par une enquête sur l'emploi fictif présumé de sa femme, François Fillon a accusé, dimanche 26 février, le gouvernement de laisser se développer un"climat de quasi-guerre civile" dans le pays. Prenant en exemple des incidents à l'encontre de plusieurs candidats, il "accuse solennellement le Premier ministre et le gouvernement de ne pas assurer les conditions d'un exercice serein de la démocratie". Ce lundi matin, le Premier ministre Bernard Cazeneuve et le ministre de l'Intérieur Bruno Le Roux ont tous deux jugé "irresponsables" les propos du candidat de la droite.

#4Dray dénonce l'accord entre Hamon et EELV

Validée par les militants écologistes dimanche 26 février, l'alliance entre Benoît Hamon et le parti de Yannick Jadot n'a pas fait que des heureux dans les rangs socialistes. Le conseiller régional PS d'Ile-de-France Julien Dray a publié un message sur Facebook où il estime qu'"un groupe a pris en otage le candidat désigné par deux millions d'électeurs... Pour permettre à tous ses sortants d'avoir une circonscription électorale". L'accord prévoit notamment aux députés EELV sortants de se présenter sans candidat socialiste face à eux aux élections législatives de juin.

#5Le Pen met en garde les fonctionnaires qui participent aux "persécutions" contre les candidats

La candidate du Front national, en meeting à Nantes dimanche, s'est montrée menaçante envers certains fonctionnaires. Accusant le gouvernement "d'utiliser les pouvoirs d'Etat pour surveiller les opposants" et d'"organiser à leur encontre des persécutions", elle a affirmé que les fonctionnaires qui participeraient à "ces méthodes illégales" devront en "assumer le poids".
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