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lundi 6 juillet 2015

à lire sur le Monde.fr , lundi 6 juillet 2015


                                 


LUNDI 6 JUILLET 2015 
 
 Yanis Varoufakis a annoncé sa démission sur son blog, lundi matin. 
Grèce : à la demande de Tsipras, le ministre des finances Varoufakis démissionne
 
Suivez la situation en direct, au lendemain du non grec, à 61,31 %, au référendum sur la proposition des créanciers d'Athènes.
 
 
 
 Place Syntagma, rassemblement des partisans du Non. 
Les Grecs disent « non » au plan d’aide des créanciers
 
Le non, largement vainqueur avec plus de 61 % des voix, a été salué par le premier ministre, Alexis Tsipras, qui compte relancer immédiatement les discussions avec ses créanciers.
 
 
 
 Rassemblement des partisans du non dimanche place Syntagma à Athènes. 
Grèce : à Athènes, les partisans du non célèbrent un moment « historique »
 
Une foule de soutien à la coalition de gauche radicale Syriza s’est rassemblée place Syntagma après les résultats du référendum.
 
 
 
 Angela Merkel et François Hollande, le 22 juin à Bruxelles. 
Un sommet de la zone euro sur la Grèce se tiendra dès le 7 juillet
 
Le président français et de la chancelière allemande, qui ont demandé la tenue de cette réunion après le non des Grecs, doivent d’abord se rencontrer lundi à l’Elysée.
 
 
 
 Dimanche 5 juillet, les Grecs ont dit « oxi » (non) à la dernière proposition de réformes formulée par les créanciers du pays. 
« On peut estimer à 50 % le risque d’une sortie de la Grèce de la zone euro »
 
François Heisbourg, conseiller spécial à la Fondation pour la recherche stratégique, analyse les conséquences du référendum grec sur le plan géopolitique.
 
 
 
 Jean-Luc Mélenchon, député européen du Parti de gauche. 
Grèce : « L’échec d’un projet sournois » pour Mélenchon, « un non de liberté » selon Marine Le Pen
 
Les responsables politiques français ont réagi à une probable victoire du non au référendum grec.
 
 
 
 
En images
Les partisans du « non » au référendum en Grèce fêtaient leur victoire dimanche sur la place Syntagma, devant le Parlement à Athènes.
 
A Athènes, les partisans du non fêtent leur victoire
Les partisans du « non » au référendum en Grèce fêtaient leur victoire dimanche sur la place Syntagma, devant le Parlement à Athènes.
 
Tsipras : « Dès demain, la Grèce retournera à la table des négociations »
 
Tsipras : « Le peuple grec envoie un message de dignité et de détermination »
 
Recette de saison : une délicieuse tarte aux fraises et basilic
 
Thomas Piketty : ceux qui cherchent le Grexit « sont de dangereux apprentis-sorciers »
 
 
 
 
 
 Et aussi 
 
 Marion Marechal Le Pen, députée FN du Vaucluse, a lancé sa campagne pour les régionales dimanche 5 juillet au Pontet. 
Pour les régionales, Marion Maréchal-Le Pen met la pression sur Christian Estrosi
 
La candidate du Front national a lancé sa campagne pour les élections de décembre, dimanche au Pontet, dans le Vaucluse.
 
 
 
 Passage du Tour dans les rues d'Utrecht, le 5 juillet. 
Le Tour de France 2015 a-t-il bien commencé ? Huy !
 
Adieu les plaines hollandaises et leurs bourrasques capricieuses, place aujourd'hui à la seule étape de montagne belge du Tour.
 
 
 
 Les Américaines avec la Coupe du monde, le 5 juillet à Vancouver, Canada. 
Football féminin : les Américaines championnes du monde
 
Les Etats-Unis ont remporté la Coupe du monde féminine pour la troisième fois de leur histoire après 1991 et 1999 en battant le Japon 5-2 en finale.
 
 
  
 | LE JOURNAL DATÉ DU 6 JUILLET
 
 
La dette, sujet tabou mais incontournable
 
Le sujet de la dette grecque avait jusqu’à présent été soigneusement évité par les pays de la zone euro et par les principaux créanciers d’Athènes – à l’exception notable de la France.
 Lire le journal
 
 Les infos qu'il ne fallait pas rater ce week-end. 
Grèce, Tunisie et Tour de France : les infos qu’il ne fallait pas rater ce week-end
 
Vous avez décroché de l’actu ce week-end ? Petite séance de rattrapage avec les informations à retenir de samedi et dimanche.
 
 
 
 Le Pape à Quito, en Equateur, le 5 juillet 2015. 
Le pape François entame en Équateur sa tournée sud-américaine
 
Le pape entame son périple sud-américain en Équateur au moment où le pays connaît d’importantes manifestations antigouvernementales.
 
 
 
 Le président de l'UEFA, Michel Platini, et Nicolas Sarkozy lors d'un match entre le PSG et Chelsea au Parc des Princes, à Paris, le 17 février 2015. 
Mondial au Qatar : Blatter charge Sarkozy (et Platini)
 
Le président de la FIFA accuse l’ex-président français d’avoir influencé le vote de Michel Platini en faveur du Qatar lors du scrutin d’attribution du Mondial 2022.



Les Grecs disent largement "non" aux créanciers
Les Grecs ont défié l'Eurogroupe dimanche en votant à 61,31 % contre 38,69 % en faveur du non aux propositions des créanciers internationaux d'Athènes lors d'un référendum dont le résultat pose la question du maintien de leur pays dans la zone euro et accentue le fossé avec les "institutions". Néanmoins, le premier ministre grec, Alexis Tsipras, a souligné que le non n'était pas "une rupture" avec l'UE et a assuré qu'il allait œuvrer pour un accord le plus tôt possible. Berlin a cependant réagi durement, le ministre de l'économie allemand, Sigmar Gabriel, jugeant"difficilement imaginables" de nouvelles négociations avec Athènes. Il a même considéré qu'Alexis Tsipras avait "coupé les derniers ponts" entre son pays et l'Europe, dans un entretien au Tagesspiegel lundi. Difficile de comprendre qui se berçait d'illusions dans cette affaire. Hier matin néanmoins, Paris et Rome avaient envisagé la reprise des négociations même en cas de non. François Hollande s'est entretenu hier soir avec M. Tsipras, et devait recevoir lundi soir à Paris la chancelière allemande, Angela Merkel, "pour évaluer les conséquences du référendum en Grèce". Les dirigeants de la zone euro se réuniront mardi à Bruxelles pour un sommet. La Grèce n'a plus d'argent, ses banques sont fermées, et fragilisées par les retraits massifs récents. Selon le porte-parole du gouvernement, Gabriel Sakellaridis, la Banque de Grèce devait envoyer dès hier soir une demande à la BCE, car il y a selon lui "des arguments solides pour faire remonter [le plafond de] l'ELA", l'aide d'urgence aux banques grecques. Mais sans perspective d'accord d'Athènes avec ses créanciers, "la BCE n'a pas de base pour continuer à envoyer des euros à Athènes", estimait Holger Schmieding, économiste de Berenberg. Le ministre des finances grec, Yanis Varoufakis, a annoncé sa démission, lundi matin, dans l'espoir de faciliter les négociations.

Le "pape des pauvres" en Amérique latine
Un coup de vent a soufflé la calotte du pape François à sa descente de l'avion lors de son arrivée hier à Quito, première étape de sa tournée sud-américaine. Un vent d'enthousiasme, à l'image de celui suscité par sa venue dans une région où 67 % des habitants – contre 80 % il y a vingt ans – se disent catholiques ? Après l'Equateur, le premier pape sud-américain se rendra en Bolivie puis au Paraguay. Trois pays "mineurs" sur la scène internationale mais où son périple suscite des"attentes singulières", souligne Clarin. Ce choix répond à sa volonté de "privilégier la périphérie, d'où l'on voit mieux l'ensemble", et d'insister sur le sort des plus pauvres et la lutte contre les inégalités. Des thèmes qui ont déjà fait de lui un acteur politique dans la région – il a aussi soutenu la rétablissement des relations entre Cuba et les Etats-Unis. Dans son premier message, à Quito, le pape a affirmé que dans l'Evangile se trouvaient les "clés pour répondre aux défis actuels, valoriser les différences et promouvoir le dialogue". L'Equateur connaît depuis un mois d'importantes manifestations contre un projet de hausse des impôts et le style jugé autocratique de Rafael Correa. Si le pape est accueilli comme une rock star en Amérique latine, il n'échappera pas à des "questions épineuses", note toutefois le Guardian : au Paraguay, il pourrait avoir à se prononcer sur le cas d'une fillette de 10 ans, à qui l'avortement a été refusé après un viol. Pour la première fois, un militant du mariage homosexuel a aussi été invité à participer à une table ronde. Pour lui, François n'est pas plus progressiste que ses prédécesseurs. C'est un pape ouvert, mais est-il réformiste ? s'interroge BBC Mundo.

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