éducation
Rythmes scolaires: une quarantaine de communes de Drôme-Ardèche demandent le report de la réforme
Une quarantaine de maires de la Drôme et de l'Ardèche ont décidé "d'entrer en résistance" contre la réforme des rythmes scolaires, demandant son report à la rentrée 2015, "voire son abrogation", ont-ils annoncé dans un communiqué, ce mardi 3 juin. Le reportage à suivre.
© France 3 RA Le nouveau maire UMP de Valence, Nicolas Daragon, est le porte-parole du collectif (archives)
Ces édiles, dont le porte-parole est le nouveau maire UMP de Valence, Nicolas Daragon, représentent principalement des communes drômoises mais aussi des localités ardéchoises comme Tournon-sur-Rhône et Guilherand Granges. Le collectif créé à l’initiative de Christian Gauthier, Maire de Chatuzange le Goubet, s'est réuni lundi soir à l'Hôtel de Ville de Valence.
Selon eux, la réforme des rythmes scolaires "prend en otage les parents, les enseignants et les élus sans pour autant apporter d'amélioration au bien-être de l'enfant". Parmi les "difficultés rencontrées" pour sa mise en oeuvre, les élus citent notamment "l'incapacité à obtenir un consensus sur l'horaire hebdomadaire", le recrutement des encadrants, le manque de locaux ou encore "le coût financier exorbitant pour les communes, donc pour les contribuables ou les parents".
Ils annoncent qu'ils vont tous présenter une délibération à leur prochain conseil municipal"pour demander le report de la réforme à la rentrée 2015, voire son abrogation". Les maires font toutefois part de leur intention de "mettre en place un service minimum de garderie à la rentrée afin de ne pas laisser les parents sans solution de garde".
Selon eux, la réforme des rythmes scolaires "prend en otage les parents, les enseignants et les élus sans pour autant apporter d'amélioration au bien-être de l'enfant". Parmi les "difficultés rencontrées" pour sa mise en oeuvre, les élus citent notamment "l'incapacité à obtenir un consensus sur l'horaire hebdomadaire", le recrutement des encadrants, le manque de locaux ou encore "le coût financier exorbitant pour les communes, donc pour les contribuables ou les parents".
Ils annoncent qu'ils vont tous présenter une délibération à leur prochain conseil municipal"pour demander le report de la réforme à la rentrée 2015, voire son abrogation". Les maires font toutefois part de leur intention de "mettre en place un service minimum de garderie à la rentrée afin de ne pas laisser les parents sans solution de garde".
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire